Caen : un tableau du prestigieux peintre Soulages vendu aux enchères

L’œuvre de Pierre Soulages est une œuvre « lumineuse avec des contrastes incroyables et un travail de la matière et de la texture subjuguant » pour l’experte Agnès Sevestre-Barbé, à gauche sur la photo. (photo Dorothée Brimont/PN)

Une oeuvre de Pierre Soulages ayant appartenu à Léopold Senghor, sera vendu le 23 janvier 2021. Elle est estimée entre 800 000 et 1 M d’euros.

C’est un tableau historique de Pierre Soulages que Solène Lainé et Jean Rivola, commissaires-priseurs de Caen Enchères, vendront aux enchères le 23 janvier 2021.

L’œuvre titrée Peinture 81 x 60 cm, 3 décembre 1956, avait été choisie et acquise par Léopold Sédar Senghor dans l’atelier de l’artiste en décembre 1956.

Elle est vendue dans le cadre de la succession de Colette Senghor, épouse de Léopold Sédar Senghor depuis 1957, et est estimée 800.000/1.000.000€.

Initié à l’art moderne par Pompidou

Poète, écrivain, membre de l’Académie Française, homme d’état français puis sénégalais et premier Président de la République du Sénégal de 1960 à 1980, Léopold Sédar Senghor, a été initié à l’art moderne par Georges Pompidou, son compagnon de Khâgne rencontré en 1928 au Lycée Louis-Le-Grand et son meilleur ami en France.

Senghor fut l’un des grands admirateurs de l’artiste qu’il rencontra à la fin des années 50. Il ne cessa de défendre son travail et écrivit dès 1958 des lignes d’une grande beauté et d’une infinie justesse sur son ami Pierre Soulages. Dans les Lettres Nouvelles en 1958, on peut lire : « Soulages est incontestablement un de nos grands peintres classiques. On sent à travers ses tableaux, un tempérament riche et généreux, un homme du XXème siècle, qui porte en lui le sens tragique de notre destin. (…) On le devine, le drame qui est le nôtre, la peinture figurative aux moyens dérisoires n’est plus en mesure de l’exprimer. Il y faut un langage nouveau et très ancien à la fois : le langage des signes ».

Léopold Sédar Senghor lui consacre, en 1974, une exposition rétrospective dans le tout nouveau Musée d’art contemporain de Dakar crée à son initiative, le Musée Dynamique. Cette importante exposition voyagera de Dakar à Caracas, en passant par Madrid, Lisbonne, Montpellier, Mexico, Rio et São Paulo. Le magnifique discours prononcé par le Président Senghor lors de l’inauguration en 1974, fait état de son ancienne et profonde amitié avec l’artiste et se termine par « Pierre Soulages est le Poète des Temps nouveaux ».

Il est fondamental pour la mémoire du couple, que ce tableau soit vendu en Normandie, dans une région où Léopold Sédar Senghor et son épouse Colette, d’origine normande, séjournèrent fréquemment avant de s’y retirer après qu’il ait quitté le pouvoir.

Édouard Philippe convie Omar Sy au Havre, malgré une réplique cinglante de « Lupin »

Omar Sy sera toujours le bienvenu au Havre: c’est la promesse que fait Edouard Philippe, maire de la ville, à l’acteur de Lupin. Et ce malgré une réplique peu flatteuse à l’encontre de cette ville de Seine-Maritime dans la série diffusée sur Netflix depuis le 8 janvier dernier.

« Le Havre, c’est pas terrible », lâche le fils d’Assane Diop, le personnage d’Omar Sy, dans l’un des épisodes. Quelques mots qui ont provoqué des réactions (gentiment) outrées des Havrais sur les réseaux sociaux, comme le rapporte le site actu.fr. Ces messages ont inspiré une caricature au dessinateur Emmanuel Chaunu, publiée lundi sur Twitter: on y voit Omar Sy, portant sur son dos un sac siglé Netflix, fuir le courroux des habitants du Havre: « Tu nous voleras pas notre fierté Arsène! » lui crient-ils.

« Cher Omar Sy »

L’acteur d’Intouchables a lui-même réagi au dessin sur Twitter: « Assane Diop taquine peut être Les Havrais mais moi j’adore Le Havre », a-t-il assuré. Et c’est ce message qui lui a valu une réponse d’Édouard Philippe: « Et vous y serez toujours bien accueilli, cher Omar Sy! », lui lance l’ancien Premier ministre.

https://twitter.com/OmarSy/status/1351167528320565250

Lupin s’est imposée comme le succès série français de ce début d’année. Elle suit le personnage d’Assane Diop, qui s’inspire du gentleman cambrioleur pour venger son père, mort après avoir été accusé d’un crime qu’il n’a pas commis. Le programme a relancé les ventes de Maurice Leblanc, l’auteur des aventures d’Arsène Lupin, est arrivé en tête des séries les plus vues de Netflix aux États-Unis (une première pour une production française de la plateforme) et a valu à Omar Sy les félicitations de Sharon Stone.

Normandie impressioniste

2020 restera une année particulière dans l’histoire du festival Normandie impressionniste. La quatrième édition a démarré le 4 juillet au lieu du 3 avril et, si elle s’est officiellement terminée le 15 novembre, les expositions dans les musées ont fermé au public dès le 30 octobre. Pourtant, en dépit des deux confinements, les visiteurs ont été au rendez-vous. « Entre 1 et 1,2 million », précise Selma Toprak, la directrice du festival.

Cette quatrième édition est donc un succès du point de vue des organisateurs. Avec 500 rendez-vous proposés et 67 communes impliquées, le président de la Région Normandie, Hervé Morin, estime que ce n’était pas un festival « en peau de chagrin ». Le président de la Métropole Rouen Normandie, Nicolas Mayer Rossignol, juge également que « au vu du contexte particulier, c’est une vraie réussite. »

Certes, les jauges dans les musées ont été réduites et il est arrivé qu’ils refusent des visiteurs. Quelques expositions et des spectacles ont également été annulés. Enfin, toujours à cause de la crise sanitaire, le nombre de visiteurs étrangers a énormément chuté. Ils n’étaient que 10% cette année. 

En revanche, les Français ont été nombreux à profiter du festival. Et en particulier les Normands. 60% des lieux labellisés Normandie Impressionniste ont remarqué que le public était différent cette année : « un public plus local, plus familial et plus jeune », note Selma Toprak. 

L’autre réussite de cette édition, c’est sur Internet.  Normandie Impressionniste a mis en ligne des visites virtuelles d’expositions, des interviews d’artistes ou encore des activités pour les enfants le mercredi. Et c’est là que le festival a retrouvé son public international : « On s’est rendu compte sur notre site internet que les deuxièmes visiteurs, en termes de pays, ce sont les Américains. On sent que l’intérêt est toujours là », explique Selma Toprak.

A l’heure où les musées, cinémas et salles de spectacle restent fermés, voilà qui fait dire à l’écrivain Erik Orsenna, président de Normandie Impressionniste : « La culture, c’est comme la vie. Ce n’est pas une sorte de cerise sur le gâteau, c’est l’énergie même. C’est ce qui nous permet d’être plus grand que nous mêmes. Et si on n’est pas plus grand que nous mêmes, on est plus petit! »

La prochaine édition de Normandie Impressionniste aura lieu en 2024. Pour en connaître le thème, il faudra attendre le printemps prochain. 

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Publiée par Paris-Normandie sur Jeudi 14 janvier 2021

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2020 restera une année particulière dans l’histoire du festival Normandie impressionniste. La quatrième édition a démarré le 4 juillet au lieu du 3 avril et, si elle s’est officiellement terminée le 15 novembre, les expositions dans les musées ont fermé au public dès le 30 octobre. Pourtant, en dépit des deux confinements, les visiteurs ont été au rendez-vous. « Entre 1 et 1,2 million », précise Selma Toprak, la directrice du festival.

Cette quatrième édition est donc un succès du point de vue des organisateurs. Avec 500 rendez-vous proposés et 67 communes impliquées, le président de la Région Normandie, Hervé Morin, estime que ce n’était pas un festival « en peau de chagrin ». Le président de la Métropole Rouen Normandie, Nicolas Mayer Rossignol, juge également que « au vu du contexte particulier, c’est une vraie réussite. »

Certes, les jauges dans les musées ont été réduites et il est arrivé qu’ils refusent des visiteurs. Quelques expositions et des spectacles ont également été annulés. Enfin, toujours à cause de la crise sanitaire, le nombre de visiteurs étrangers a énormément chuté. Ils n’étaient que 10% cette année. 

En revanche, les Français ont été nombreux à profiter du festival. Et en particulier les Normands. 60% des lieux labellisés Normandie Impressionniste ont remarqué que le public était différent cette année : « un public plus local, plus familial et plus jeune », note Selma Toprak. 

L’autre réussite de cette édition, c’est sur Internet.  Normandie Impressionniste a mis en ligne des visites virtuelles d’expositions, des interviews d’artistes ou encore des activités pour les enfants le mercredi. Et c’est là que le festival a retrouvé son public international : « On s’est rendu compte sur notre site internet que les deuxièmes visiteurs, en termes de pays, ce sont les Américains. On sent que l’intérêt est toujours là », explique Selma Toprak.

A l’heure où les musées, cinémas et salles de spectacle restent fermés, voilà qui fait dire à l’écrivain Erik Orsenna, président de Normandie Impressionniste : « La culture, c’est comme la vie. Ce n’est pas une sorte de cerise sur le gâteau, c’est l’énergie même. C’est ce qui nous permet d’être plus grand que nous mêmes. Et si on n’est pas plus grand que nous mêmes, on est plus petit! »

La prochaine édition de Normandie Impressionniste aura lieu en 2024. Pour en connaître le thème, il faudra attendre le printemps prochain. 

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Cette quatrième édition est donc un succès du point de vue des organisateurs. Avec 500 rendez-vous proposés et 67 communes impliquées, le président de la Région Normandie, Hervé Morin, estime que ce n’était pas un festival « en peau de chagrin ». Le président de la Métropole Rouen Normandie, Nicolas Mayer Rossignol, juge également que « au vu du contexte particulier, c’est une vraie réussite. »

Certes, les jauges dans les musées ont été réduites et il est arrivé qu’ils refusent des visiteurs. Quelques expositions et des spectacles ont également été annulés. Enfin, toujours à cause de la crise sanitaire, le nombre de visiteurs étrangers a énormément chuté. Ils n’étaient que 10% cette année. 

En revanche, les Français ont été nombreux à profiter du festival. Et en particulier les Normands. 60% des lieux labellisés Normandie Impressionniste ont remarqué que le public était différent cette année : « un public plus local, plus familial et plus jeune », note Selma Toprak. 

L’autre réussite de cette édition, c’est sur Internet.  Normandie Impressionniste a mis en ligne des visites virtuelles d’expositions, des interviews d’artistes ou encore des activités pour les enfants le mercredi. Et c’est là que le festival a retrouvé son public international : « On s’est rendu compte sur notre site internet que les deuxièmes visiteurs, en termes de pays, ce sont les Américains. On sent que l’intérêt est toujours là », explique Selma Toprak.

A l’heure où les musées, cinémas et salles de spectacle restent fermés, voilà qui fait dire à l’écrivain Erik Orsenna, président de Normandie Impressionniste : « La culture, c’est comme la vie. Ce n’est pas une sorte de cerise sur le gâteau, c’est l’énergie même. C’est ce qui nous permet d’être plus grand que nous mêmes. Et si on n’est pas plus grand que nous mêmes, on est plus petit! »

La prochaine édition de Normandie Impressionniste aura lieu en 2024. Pour en connaître le thème, il faudra attendre le printemps prochain. 

Brexit : les camions toujours plus nombreux à Calais

A l’approche du Brexit, le Royaume-Uni fait le plein de marchandises. Cela provoque un flux massif de camions à Calais qui met en colère les transporteurs.

La Fédération Nationale des Transports Routiers du Pas-de-Calais a dénoncé jeudi une « gestion calamiteuse » des flux de poids lourds en direction du Royaume-Uni, dont la forte augmentation génère des embouteillages, les Britanniques constituant des stocks de marchandises avant que le Brexit devienne effectif.

« Le plan de gestion du trafic n’est pas à la hauteur des enjeux et on n’est pas encore au Brexit, cela promet ! C’est déjà catastrophique depuis deux semaines et cela le sera jusqu’à la fin de l’année », a déploré auprès de l’AFP le secrétaire général de la Fédération Nationale des Transports Routiers (FNTR) du Pas-de-Calais, Sébastien Rivéra.

Depuis plusieurs semaines, la préfecture constate régulièrement un engorgement des axes en direction des plateformes transmanches – ports des ferries à Calais et Eurotunnel à Coquelles -, notamment de l’autoroute A16, et tente de les résorber, entre autres par l’activation de zones de stockage des poids lourds.

Des files de poids lourds particulièrement longues s’allongent aux abords de Calais les mercredis et jeudis, jours traditionnels de forte affluence de camions, les chauffeurs cherchant à faire l’aller-retour avant le week-end.

Jeudi à la mi-journée, une journaliste de l’AFP a dénombré quelque 200 camions à l’arrêt sur l’A16 dans l’attente d’accéder à Eurotunnel, tandis que sur l’A26 dans le sens Saint-Omer-Calais, des poids lourds patientaient sur plusieurs kilomètres.

Selon M. Rivéra, les Britanniques « sont en train de remplir leurs stocks comme jamais » par crainte des droits qui risquent d’être imposés à partir du 1er janvier, quand la période de transition du Brexit aura expiré. Des transporteurs qui travaillent avec la Grande-Bretagne depuis une trentaine d’années « n’ont jamais connu de tels volumes », rapporte-t-il.

Il souligne que les chauffeurs sont excédés par les embouteillages mais aussi par les intrusions de migrants qui en profitent pour tenter de monter dans les remorques et accuse les autorités d’avoir insuffisamment anticipé cette situation.

« Nos transporteurs n’en peuvent plus, certains qui ne font que du local se retrouvent avec une activité complètement bloquée », déplore-t-il, jugeant insuffisante la capacité de stockage des camions au port et près du tunnel.

Selon la préfecture, plus de 8.000 camions franchissent aujourd’hui la Manche chaque jour dans chaque sens, contre 6.000 en moyenne habituellement. Un phénomène similaire avait été observé il y a un an lors du Brexit mais « dans des proportions moins impressionnantes », y souligne-t-on.

Le 19 novembre, un jeune migrant a été tué par une voiture sur l’A16 près de l’entrée d’Eurotunnel, où la police était intervenue à plusieurs reprises pour disperser des migrants tentant de monter à bord de camions qui patientaient dans une longue file.

Jeudi, ce sujet a été abordé au cours de la visite dans le Pas-de-Calais du Premier ministre Jean Castex, consacrée à l’avancement des préparatifs de la fin de la période de transition du Brexit.

« La proximité du Brexit incite les passeurs et les migrants à choisir la voie la plus rapide, c’est-à-dire que nous sommes soumis à de véritables invasions qui bloquent le trafic », a regretté auprès de lui Jacques Gounon, président de Getlink, l’exploitant du Tunnel sous la Manche.

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