Ondes électromagnétiques dans le métro, la déferlante à l’heure de pointe

6867173

Le métro parisien, vous le préférez sans onde ou avec smartphone ? Alors que la RATP s’apprête à déployer, d’ici trois ans, un vaste réseau 3G et 4G, une étude rendue ces derniers jours pourrait refroidir certains partisans de la connectivité à tout prix.

Le rapport, réclamé il y a un an par le syndicat Sud-RATP, a été transmis au Comité d’hygiène et de sécurité (CHSCT) de la régie.

Des résultats déjà alarmants avec la 2G

Les mesures, effectuées depuis une cabine de conduite en mouvement de la ligne 3, font état de niveaux de champs électromagnétiques pouvant aller de 1 à 8V/mètre, au-delà du seuil fixé, quelques mètres plus haut, pour les rues de Paris, par la Charte de la téléphonie mobile.

Or, ces mesures ne concernent que le vieux réseau 2G. Il n’en fallait pas tant pour alerter le syndicat Sud-RATP. « L’arrivée de la 4G dans le métro va entraîner un doublement des valeurs actuelles, assure le délégué syndical François-Xavier Arouls. Nous demandons une étude d’impact sanitaire avant son déploiement, dans l’intérêt des salariés mais aussi des voyageurs. »

L’association Robin des toits réclame de son côté la suspension provisoire de la 4G, rappelant les effets « possiblement cancérigènes » de ces ondes. « La norme préconisée par le Conseil de l’Europe est de 0,6 V/m », rappelle à metronews Etienne Cendrier, son porte-parole.

De son côté, la RATP se veut rassurante.

« 8V/m, c’est la valeur maximale qui a été constatée lors de ces mesures, insiste Olivier Salson, référent sur le sujet à la régie. Les valeurs sont largement inférieures aux normes nationales. »

Dans le cadre du déploiement de la 4G, la RATP se veut transparente et s’engage au strict respect des seuils actuels. « Nous réalisons de façon continue une surveillance des niveaux de champs », assure l’intéressé. A Châtelet et à la Gare de Lyon, où la 4G est déployée, les niveaux d’ondes resteraient « nettement inférieurs » aux normes.

Les ondes magnétiques, au cœur de l’actualité

Ces résultats tombent alors que les députés s’apprêtent à plancher sur une proposition de loi écologiste, amendée par la PS, visant à instaurer un principe de précaution en matière d’ondes électromagnétiques. « Ce texte pose le principe de la modération en matière d’exposition aux ondes, indique le député EELV Denis Baupin. Les niveaux constatés dans le métro sont inquiétants, d’autant plus qu’il s’agit d’un espace clos. Cela mérite une réflexion et une concertation avec les salariés et les usagers. »

Des seuils réglementaires inadaptés à la réalité

Pour l’association Robin des toits, le seul respect des normes actuelles est insuffisant. « Les seuils réglementaires actuels en France sont si élevés qu’ils sont inatteignables, juge Etienne Cendrier.

C’est comme si on recommandait aux automobilistes de ne pas dépasser les 800 km/h. 

Mao Péninou, adjoint PS au maire et artisan de la Charte parisienne de la téléphonie mobile, réclame lui aussi « une réglementation nationale plus stricte ». « A Paris, précise-t-il, nous avons négocié les seuils avec les opérateurs. Dans le métro, de l’autre côté du périph’ ou ailleurs, c’est autre chose. » Pour l’adjoint, la « modération » consisterait également à mutualiser les antennes entre opérateurs pour réguler leur déploiement et garder le contrôle sur les niveaux d’émission. Il cite en exemple Aéroports de Paris, propriétaire de ses antennes-relais, qui loue les infrastructures aux opérateurs de téléphonie mobile.

Le réseau du métro parisien compte actuellement 2.500 antennes-relais, soit autant que dans les rues de Paris. Leur nombre devrait doubler d’ici trois ans avec l’arrivée de la 4G, réparties pour moitié en antennes émettrices et en antennes réceptrices. D’ici là, la réglementation nationale pourrait être amenée à bouger.

Facebook: Pour notre santé, devrons nous nous passer de notre smartphone dans le métro?

twitter: l’arrivée de la  #4G crée la polémique dans le #métro 

 ou « un rapport tue la 4G dans le métro »

Onde de choc à la RATP: l’étude qui fait trembler en sous-sol !

Les salariés et syndicats de la RATP s’inquiétent d’une étude qui fait l’effet d’une bombe. Ils seraient soumis à des ondes électromagnétiques dans le métro à Paris bien plus importantes qu’en surface. A la clé, des cancers potentiels. La direction réfute et minimise: le niveau serait inférieur aux seuils tolérés.

LES SMARTPHONES POINTES DU DOIGT

Une étude remise à la RATP fait état de niveaux d’ondes électromagnétiques parfois plus élevés dans le métro parisien qu’en surface. Les résultats inquiètent les salariés, au moment où les députés planchent sur une proposition de loi visant à encadrer le déploiement de la 4G. Pour la RATP, le niveau constaté reste très inférieur aux seuils en vigueur.

Le métro parisien, vous le préférez sans onde ou avec smartphone ? Alors que la RATP s’apprête à déployer, d’ici trois ans, un vaste réseau 3G et 4G, une étude rendue ces derniers jours pourrait refroidir certains partisans de la connectivité à tout prix.

DES NIVEAUX DE CHAMPS ELECTROMAGNETIQUES DE 1 A 8V/METRE, AU-DESSUS DU SEUIL ETABLI

Le rapport, réclamé il y a un an par le syndicat Sud-RATP, a été transmis au Comité d’hygiène et de sécurité (CHSCT) de la régie. Les mesures, effectuées depuis une cabine de conduite en mouvement de la ligne 3, font état de niveaux de champs électromagnétiques pouvant aller de 1 à 8V/mètre, au-delà du seuil fixé, quelques mètres plus haut, pour les rues de Paris, par la Charte de la téléphonie mobile.

Or, ces mesures ne concernent que le vieux réseau 2G. Il n’en fallait pas tant pour alerter le syndicat Sud-RATP. « L’arrivée de la 4G dans le métro va entraîner un doublement des valeurs actuelles, assure le délégué syndical François-Xavier Arouls. Nous demandons une étude d’impact sanitaire avant son déploiement, dans l’intérêt des salariés mais aussi des voyageurs. »

L’association Robin des toits réclame de son côté la suspension provisoire de la 4G, rappelant les effets « possiblement cancérigènes » de ces ondes. « La norme préconisée par le Conseil de l’Europe est de 0,6 V/m », rappelle à metronews Etienne Cendrier, son porte-parole.

De son côté, la RATP se veut rassurante. « 8V/m, c’est la valeur maximale qui a été constatée lors de ces mesures, insiste Olivier Salson, référent sur le sujet à la régie. Les valeurs sont largement inférieures aux normes nationales. » Dans le cadre du déploiement de la 4G, la RATP se veut transparente et s’engage au strict respect des seuils actuels. « Nous réalisons de façon continue une surveillance des niveaux de champs », assure l’intéressé. A Châtelet et à la Gare de Lyon, où la 4G est déployée, les niveaux d’ondes resteraient « nettement inférieurs » aux normes.

CES INTERROGATIONS POUSSENT LE LEGISLATEUR A INSTAURER UN PRINCIPE DE PRECAUTION

Ces résultats tombent alors que les députés s’apprêtent à plancher sur une proposition de loi écologiste, amendée par la PS, visant à instaurer un principe de précaution en matière d’ondes électromagnétiques. « Ce texte pose le principe de la modération en matière d’exposition aux ondes, indique le député EELV Denis Baupin. Les niveaux constatés dans le métro sont inquiétants, d’autant plus qu’il s’agit d’un espace clos. Cela mérite une réflexion et une concertation avec les salariés et les usagers. »

Pour l’association Robin des toits, le seul respect des normes actuelles est insuffisant. « Les seuils réglementaires actuels en France sont si élevés qu’ils sont inatteignables, juge Etienne Cendrier. C’est comme si on recommandait aux automobilistes de ne pas dépasser les 800 km/h. »

Mao Péninou, adjoint PS au maire et artisan de la Charte parisienne de la téléphonie mobile, réclame lui aussi « une réglementation nationale plus stricte ». « A Paris, précise-t-il, nous avons négocié les seuils avec les opérateurs. Dans le métro, de l’autre côté du périph’ ou ailleurs, c’est autre chose. » Pour l’adjoint, la « modération » consisterait également à mutualiser les antennes entre opérateurs pour réguler leur déploiement et garder le contrôle sur les niveaux d’émission. Il cite en exemple Aéroports de Paris, propriétaire de ses antennes-relais, qui loue les infrastructures aux opérateurs de téléphonie mobile.

Le réseau du métro parisien compte actuellement 2.500 antennes-relais, soit autant que dans les rues de Paris. Leur nombre devrait doubler d’ici trois ans avec l’arrivée de la 4G, réparties pour moitié en antennes émettrices et en antennes réceptrices. D’ici là, la réglementation nationale pourrait être amenée à bouger.

Facebook: Plein la gueule pour pas un rond. Ca vous tente ? C’est un concert d’ondes électromagnétiques dans le métro. Les syndicats de la RATP dénoncent cette mélodie en sous-sol.

Twitter:  Pris au piège des #ondes électromagnétiques dans le #métro de #Paris. Les salariés et syndicats de la #RATP agitent le risque de #cancer.

Brevet des Collèges : l’édition 2013 revue et corrigée par l’Education Nationale

Ce n’est pas encore le bac et pourtant les collègiens devront faire comme si. En 2013, le brevet s’étoffe. Un classique revisité par l’Education Nationale. Déjà,en 2011, les 750.000 élèves de 3ième qui avaient passé l’examen du brevet, avaient planché sur une nouvelle matière obligatoire : l’histoire des arts à l’oral.

Premier grand diplôme de la scolarité française, le diplôme national du brevet (DNB) évalue les connaissances et compétences acquises à la fin du collège. Il est constitué des épreuves nationales de fin d’année ainsi que d’un contrôle continu tout au long de l’année scolaire.

Une épreuve de français plus complète d’une durée de 3 heures

Dictée plus longue, plus de mathématiques, épreuve d’histoire, de géographie et d’instruction civique, l’édition 2013 du brevet des collèges évolue après décision du Ministère de l’Education Nationale. 

Selon nos confrères de RTL, la dictée passerait de 600 à 800 caractères; les élèves auront le choix entre deux rédactions (un d’imagination, l’autre de réflexion), mais ils ne comporteront plus de consignes explicitées, comme auparavant.

De plus, un questionnaire laissera la place aux réactions personnelles de l’élève face au texte proposé.

Les mathématiques, connaissance et savoir faire mis en avant

L’épreuve de mathématiques, qui dure deux heures, comptera un plus grand nombre d’exercices, 10 au lieu de 6. Conçus de façon indépendante, il ne sera pas nécessaire de réussir le premier pour pouvoir faire les autres.

Au moins un de ces exercices sera « une tâche complexe», pour laquelle « l’élève n’est pas guidé; il doit utiliser connaissances et savoir-faire différents », précise le ministère.

L’épreuve d’histoire géographie déclinée

L’épreuve dure toujours 2 heures. L’instruction civique fait partie cette année du volet « histoire géographie » et chaque discipline devra obligatoirement être traitée par l’élève. Auparavant il avait le choix entre histoire et géographie.

Les sujets de ce diplôme retouché porteront sur les nouveaux programmes de 3e et permettront d’évaluer les compétences du socle commun défini pour ce niveau (maîtrise de la langue française, culture humaniste…).

L’enseignement de l’histoire des arts est obligatoire dans les écoles primaires depuis 2008 et dans les collèges depuis la rentrée 2009.

Des résultats encourageants

En 2010, 623.400 élèves toutes séries confondues (séries collège, technologique et professionnelle) avaient été reçus, soit un taux de réussite globale de 83,3%, en légère augmentation par rapport à l’année précédente.

Mais que les parents se rassurent le DNB ne conditionne pas l’accès à la classe de seconde.

titre FB : Le Brevet des Collèges doit il ressembler à l’épreuve du bac ?

titre twitter : le brevet des nouveautés encore et toujours

Le brevet des collèges prend de l’ampleur, mais toujours pour du beurre

Il ne conditionne toujours pas l’accès à la classe de seconde, mais le brevet national des collèges va s’étoffer. Plus de math, une dictée plus longue et une épreuve d’histoire, de  géographie et d’instruction civique, le brevet  se transforme en mini-bac.

Le ministère de l’Education nationale vient de présenter sa réforme du brevet national des collèges. Ces changements seront effectifs en 2013 et les choses se corsent pour les collégiens.

L’accent est mis sur l’orthographe et la compréhension

En français, la dictée sera plus longue, révèle mardi RTL. Elle passera de 600 à 800 caractères; deux sujets de rédaction seront proposés au choix de l’élève (un d’imagination, l’autre de réflexion), mais ils ne comporteront plus de consignes explicitées, comme auparavant.

De plus, un questionnaire laissera la place aux réactions personnelles de l’élève face au texte proposé. L’épreuve de français dure trois heures.

Plus de maths et d’autonomie dans la réflexion

L’épreuve de mathématiques, qui dure deux heures, comptera un plus grand nombre d’exercices (dix contre six). Ceux-ci seront conçus de façon indépendante, afin qu’il ne soit pas nécessaire de réussir le premier pour pouvoir faire les autres.

L’un au moins de ces exercices sera « une tâche plus complexe », pour laquelle « l’élève n’est pas guidé; il doit utiliser connaissances et savoir-faire différents », précise le ministère.

Histoire, géographie et instruction civique: 3 disciplines obligatoires

Autre évolution, l’épreuve d’histoire-géographie se déclinera désormais en trois disciplines (histoire, géographie et instruction civique) qui devront obligatoirement être traitées chacune par l’élève. Auparavant il avait le choix entre histoire et géographie. L’épreuve dure toujours 2 heures.

Les sujets de ce diplôme retouché porteront sur les nouveaux programmes de 3e et permettront d’évaluer les compétences du socle commun défini pour ce niveau (maîtrise de la langue française, culture humaniste…).

De plus en plus d’élèves obtiennent le DNB, diplôme national du brevet

En 2011, 750.000 élèves de 3e avaient passé l’examen du brevet, qui avait constitué un tournant, avec une nouvelle épreuve obligatoire: l’histoire des arts, qui se déroule à l’oral. L’enseignement de l’histoire des arts est obligatoire dans les écoles primaires depuis 2008 et dans les collèges depuis la rentrée 2009.

En 2010, 623.400 élèves toutes séries confondues (séries collège, technologique et professionnelle) avaient été admis à l’examen, soit un taux de réussite globale de 83,3%, en légère augmentation par rapport à l’année précédente.

Premier grand diplôme de la scolarité française, le diplôme national du brevet (DNB) évalue les connaissances et compétences acquises à la fin du collège. Il est constitué des épreuves nationales de fin d’année ainsi que d’un contrôle continu tout au long de l’année scolaire.

Titre Facebook: Et vous, seriez vous capable de passer ce nouveau brevet des collèges version XL?

Twitter: Plus gros, plus long, le brevet des collèges est un mini-bac sans enjeu

Google : De nouvelles épreuves pour les élèves de 3ème à l’examen du brevet des collèges 2013

Facebook : Une nouvelle planche pour le brevet des collèges 2013. Avec une dictée plus longue. Des exercices de maths indépendants. Et de l’histoire-géo. Plus de 750 000 élèves de 3ème sont concernés.

Twitter : #Brevetdescollèges #Examen2013 : comment vont se dérouler les #nouvellesépreuves ?

Une dictée plus longue. Des exercices de mathématiques plus nombreux. Et une épreuve d’histoire, de géographie et d’instruction civique. C’est le brevet des collèges version 2013.

L’examen du brevet des collèges va évoluer, comme le révèle RTL. En français, la dictée sera plus longue. Elle passera de 600 à 800 caractères; deux sujets de rédaction seront proposés au choix de l’élève (un d’imagination, l’autre de réflexion), mais ils ne comporteront plus de consignes explicitées, comme auparavant.

De plus, un questionnaire laissera la place aux réactions personnelles de l’élève face au texte proposé. L’épreuve de français dure trois heures.

L’épreuve de mathématiques, qui dure deux heures, comptera un plus grand nombre d’exercices (dix contre six). Ceux-ci seront conçus de façon indépendante, afin qu’il ne soit pas nécessaire de réussir le premier pour pouvoir faire les autres.

L’un au moins de ces exercices sera « une tâche +complexe+ », pour laquelle « l’élève n’est pas guidé; il doit utiliser connaissances et savoir-faire différents », précise le ministère.

Une nouvelle évaluation des compétences

Autre évolution, l’épreuve d’histoire-géographie se déclinera désormais en trois disciplines (histoire, géographie et instruction civique) qui devront obligatoirement être traitées chacune par l’élève. Auparavant il avait le choix entre histoire et géographie. L’épreuve dure toujours 2 heures.

Les sujets de ce diplôme retouché porteront sur les nouveaux programmes de 3e et permettront d’évaluer les compétences du socle commun défini pour ce niveau (maîtrise de la langue française, culture humaniste…).

Un examen déjà remodelé depuis 2011

En 2011, 750.000 élèves de 3e avaient passé l’examen du brevet, qui avait constitué un tournant, avec une nouvelle épreuve obligatoire: l’histoire des arts, qui se déroule à l’oral. L’enseignement de l’histoire des arts est obligatoire dans les écoles primaires depuis 2008 et dans les collèges depuis la rentrée 2009.

Premier grand diplôme de la scolarité française, le diplôme national du brevet (DNB) évalue les connaissances et compétences acquises à la fin du collège. Il est constitué des épreuves nationales de fin d’année ainsi que d’un contrôle continu tout au long de l’année scolaire.

En 2010, 623.400 élèves toutes séries confondues (séries collège, technologique et professionnelle) avaient été admis à l’examen, soit un taux de réussite globale de 83,3%, en légère augmentation par rapport à l’année précédente.

Le DNB ne conditionne pas l’accès à la classe de seconde.

Plus c’est long, plus c’est bon: la dictée au brevet des collèges s’allonge…

Cette célèbre maxime s’applique désormais à l’épreuve du brevet: la dictée passe de 600 à 800 caractères. De quoi apprendre aux adeptes des consoles à écrire français avant de jouer. Est-ce Jean de La Fontaine qui a insufflé cette réforme ? Parents et élèves sont perplexes… « Et bien dansez maintenant ! »

EN FRANCAIS, MATHS ET HISTOIRE-GEO? LES CHOSES SE CORSENT: DE LA DYNAMITE POUR BOUTONNEUX

L’examen du brevet national des collèges va évoluer en juin 2013, avec une dictée plus longue, des exercices de mathématiques plus nombreux et une épreuve d’histoire, de géographie et d’instruction civique, a-t-on appris mardi auprès du ministère de l’Education nationale.

En français, la dictée sera plus longue, révèle mardi RTL. Elle passera de 600 à 800 caractères; deux sujets de rédaction seront proposés au choix de l’élève (un d’imagination, l’autre de réflexion), mais ils ne comporteront plus de consignes explicitées, comme auparavant.

De plus, un questionnaire laissera la place aux réactions personnelles de l’élève face au texte proposé. L’épreuve de français dure trois heures.

L’épreuve de mathématiques, qui dure deux heures, comptera un plus grand nombre d’exercices (dix contre six). Ceux-ci seront conçus de façon indépendante, afin qu’il ne soit pas nécessaire de réussir le premier pour pouvoir faire les autres.

L’un au moins de ces exercices sera « une tâche +complexe+ », pour laquelle « l’élève n’est pas guidé; il doit utiliser connaissances et savoir-faire différents », précise le ministère.

Autre évolution, l’épreuve d’histoire-géographie se déclinera désormais en trois disciplines (histoire, géographie et instruction civique) qui devront obligatoirement être traitées chacune par l’élève. Auparavant il avait le choix entre histoire et géographie. L’épreuve dure toujours 2 heures.

Les sujets de ce diplôme retouché porteront sur les nouveaux programmes de 3e et permettront d’évaluer les compétences du socle commun défini pour ce niveau (maîtrise de la langue française, culture humaniste…).

LE TAUX DE REUSSITE DE 83 % RESTERA-T-IL LE MEME ?

En 2011, 750.000 élèves de 3e avaient passé l’examen du brevet, qui avait constitué un tournant, avec une nouvelle épreuve obligatoire: l’histoire des arts, qui se déroule à l’oral. L’enseignement de l’histoire des arts est obligatoire dans les écoles primaires depuis 2008 et dans les collèges depuis la rentrée 2009.

Premier grand diplôme de la scolarité française, le diplôme national du brevet (DNB) évalue les connaissances et compétences acquises à la fin du collège. Il est constitué des épreuves nationales de fin d’année ainsi que d’un contrôle continu tout au long de l’année scolaire.

En 2010, 623.400 élèves toutes séries confondues (séries collège, technologique et professionnelle) avaient été admis à l’examen, soit un taux de réussite globale de 83,3%, en légère augmentation par rapport à l’année précédente.

Le DNB ne conditionne pas l’accès à la classe de seconde.

Titre Facebook: « Si t’as pas ton brevet avec tout ça, non mais allo quoi ! »

Twitter: #brevet #collège #éducation « le brevet…dur, dur : breveté par #VincentPeillon »

Orages et grêle sur l’Aquitaine et les Charentes : des dégâts importants

Ou se sont abattus les orages, avec quelle violence, quels sont les dégâts ?

Un épisode orageux de forte intensité s’est abattu dans la nuit de dimanche à lundi en Aquitaine et en Charentes. Les vignobles bordelais sont endommagés au même titre que la ville de Cognac balayées par des rafales de ventes de 130kms/h. 

La Charente a essuyé dans la nuit un fort coup de vent notamment à Cognac et dans des villages avoisinants.

Le classement en catastrophe naturelle demandé par le maire

A Cognac, les dégâts sont liés à des chutes d’arbres et de branches sur les toitures. Des tuiles ont par ailleurs été arrachées des toits. Les séquelles de ce coup de vent étaient visibles dans les rues avec de nombreux branchages, feuilles déchiquetées et tuiles cassées, rapidement nettoyés par les pompiers et les services techniques de la ville, a constaté un journaliste de l’AFP.

Les pompiers de la Charente avaient en début d’après-midi encore plus de 200 interventions en attente. Face à l’ampleur des demandes, une centaine de pompiers et 50 véhicules du Codis de la Charente étaient en action.

Quelque 9.000 foyers étaient privés d’électricité en début de matinée en Charente et à 13H00 quelque 2.100 foyers attendaient toujours d’être reconnectés par ERDF qui a sollicité des renforts extérieurs afin que l’ensemble du réseau soit réalimenté en soirée.

Pour le maire, Michel Gourinchas « il a dû y avoir une sorte de tornade ». « On s’en sort plutôt bien car cela s’est passé la nuit, la veille d’un jour férié. Vu l’état des rues avec des branches, des tuiles et des cheminées effondrées, s’il y avait eu du passage comme en plein après-midi, il y aurait sûrement eu au moins des blessés », a déclaré à l’AFP le maire de Cognac, Michel Gourinchas.

C’est seulement un quartier de la ville proche de la gare qui a essuyé ce fort coup de vent. Il entend faire la demande de classement en catastrophe naturelle. La préfecture du département a de son côté mis en place une cellule de crise.

Pour M. Gourinchas, l’urgence est de « bâcher les toits » au cas où un autre orage s’abattrait sur la ville. « On a eu notre part; s’il doit y avoir de grosses pluies, j’espère que ce ne sera pas sur la ville car avec les feuilles, la terre et la boue, accumulées, les canalisations seraient vite bouchées », a-t-il dit. Le vignoble de Cognac a été victime de la grêle et quelques parcelles ont subi des dégâts.

Un nouvel épisode orageux de forte intensité est attendu entre 20H et 23H00 lundi soir en Charente.

Les vignes en appellation Margaux et Saint-Estèphe partiellement détruites

Le vignoble de Bordeaux en appellation Médoc, du côté girondin de l’estuaire de la Gironde, a de son côté également essuyé un violent orage de grêle. Interrogés par l’AFP, des viticulteurs qui ne souhaitent pas que le nom de leur propriété soit citée, ont fait état de « feuilles déchiquetées » de « branches cassées ».

« C’est irrégulier mais il y a des parcelles où il n’y a plus de feuilles sur les branches », a indiqué à l’AFP un conseiller viticole de propriétés du Médoc, Antoine Médeville, du laboratoire Oenoconseil.

Selon lui, sur une zone regroupant quatre à cinq villages au Nord des propriétés en appellation Margaux et Saint-Estèphe, « près de 50% du vignoble a été touché, 25% pour les uns et quasiment 100% pour d’autres », a-t-il dit.

Charente et aquitaine : des zones fortement touchées par les orages de grèle

Les orages qui se sont abattus sur l’Aquitaine et les Charentes dans la nuit de dimanche à lundi ont causé des dégâts notamment sur la ville de Cognac et ses alentours. De même, le vignoble bordelais, sur la rive gauche de l’estuaire de la Gironde, a été très localement grêlé. 

A Cognac, les séquelles de ce coup de vent étaient visibles dans les rues avec de nombreux branchages, feuilles déchiquetées et tuiles cassées, rapidement nettoyés par les pompiers et les services techniques de la ville

Un coup de vent de 130 km/h sur la Charente

Les dégâts sont notamment liés à des chutes d’arbres et de branches sur les toitures. Des tuiles ont par ailleurs été arrachées des toits. La préfecture du département a mis en place une cellule de crise.

« On s’en sort plutôt bien car cela s’est passé la nuit, la veille d’un jour férié. Vu l’état des rues avec des branches, des tuiles et des cheminées effondrées, s’il y avait eu du passage comme en plein après-midi, il y aurait sûrement eu au moins des blessés », a déclaré à l’AFP le maire de Cognac, Michel Gourinchas.

 Encore plus de 200 interventions en attente pour les pompiers de la Charente

Face à l’ampleur des demandes, une centaine de pompiers et 50 véhicules du Codis de la Charente étaient en action.

Quelque 9.000 foyers étaient privés d’électricité en début de matinée en Charente et à 13H00 quelque 2.100 foyers attendaient toujours d’être reconnectés par ERDF qui a sollicité des renforts extérieurs afin que l’ensemble du réseau soit réalimenté en soirée.

l’urgence est de « bâcher les toits »

Une réplique de cette tempête serait fatale pour beaucoup de foyers et pour Cognac

« On a eu notre part; s’il doit y avoir de grosses pluies, j’espère que ce ne sera pas sur la ville car avec les feuilles, la terre et la boue, accumulées, les canalisations seraient vite bouchées », explique M. Gourinchas

Selon lui, « il a dû y avoir une sorte de tornade » car seulement un quartier de la ville proche de la gare a essuyé ce fort coup de vent. Il entend faire la demande de classement en catastrophe naturelle.

Le vignoble de Bordeaux également touché

Le vignoble en appellation Médoc, du côté girondin de l’estuaire de la Gironde, a de son côté également essuyé un violent orage de grêle.

« C’est irrégulier mais il y a des parcelles où il n’y a plus de feuilles sur les branches », a indiqué à l’AFP un conseiller viticole de propriétés du Médoc, Antoine Médeville, du laboratoire Oenoconseil.

Selon lui, sur une zone regroupant quatre à cinq villages au Nord des propriétés en appellation Margaux et Saint-Estèphe,

« près de 50% du vignoble a été touché, 25% pour les uns et quasiment 100% pour d’autres », a-t-il dit.

Interrogés par l’AFP, des viticulteurs qui ne souhaitent pas que le nom de leur propriété soit citée, ont fait état de « feuilles déchiquetées » de « branches cassées ».

Un nouvel épisode orageux de forte intensité est attendu entre 20H et 23H00 lundi soir en Charente.

Question google: dégâts orage grèle sur Charente et aquitaine

De violents orages provoquent des dégâts des vignobles du Médoc jusqu’à Cognac

Google : orages/ Médoc/ Cognac/ Dégâts/Vignobles

Les orages  dans la nuit de dimanche à lundi ont provoqué d’importants dégâts. La ville de Cognac et ses alentours, ont été touchés.  Le vignoble bordelais, sur la rive gauche de l’estuaire de la Gironde, a été très localement grêlé.

La Charente a essuyé dans la nuit un fort coup de vent avec des rafales relevées à 130 km/h notamment à Cognac et dans des villages avoisinants, a indiqué la préfecture du département qui a mis en place une cellule de crise.

Les dégâts sont notamment liés à des chutes d’arbres et de branches sur les toitures. Des tuiles ont par ailleurs été arrachées des toits.

Neuf mille foyers privés d’électricité

A Cognac, les séquelles de ce coup de vent étaient visibles dans les rues avec de nombreux branchages, feuilles déchiquetées et tuiles cassées, rapidement nettoyés par les pompiers et les services techniques de la ville, a constaté un journaliste de l’AFP.

Les pompiers de la Charente avaient en début d’après-midi encore plus de 200 interventions en attente. Face à l’ampleur des demandes, une centaine de pompiers et 50 véhicules du Codis de la Charente étaient en action.

Quelque 9.000 foyers étaient privés d’électricité en début de matinée en Charente et à 13H00 quelque 2.100 foyers attendaient toujours d’être reconnectés par ERDF qui a sollicité des renforts extérieurs afin que l’ensemble du réseau soit réalimenté en soirée.

Il y a du y avoir une sorte de tornade

« On s’en sort plutôt bien car cela s’est passé la nuit, la veille d’un jour férié. Vu l’état des rues avec des branches, des tuiles et des cheminées effondrées, s’il y avait eu du passage comme en plein après-midi, il y aurait sûrement eu au moins des blessés », a déclaré à l’AFP le maire de Cognac, Michel Gourinchas.

Selon lui, « il a dû y avoir une sorte de tornade » car seulement un quartier de la ville proche de la gare a essuyé ce fort coup de vent. Il entend faire la demande de classement en catastrophe naturelle.

Pour M. Gourinchas, l’urgence est de « bâcher les toits » au cas où un autre orage s’abattrait sur la ville. « On a eu notre part; s’il doit y avoir de grosses pluies, j’espère que ce ne sera pas sur la ville car avec les feuilles, la terre et la boue, accumulées, les canalisations seraient vite bouchées », a-t-il dit.

Les vignobles touchés par la grêle

Le vignoble de Cognac a été victime de la grêle et quelques parcelles ont subi des dégâts.

Un nouvel épisode orageux de forte intensité est attendu entre 20H et 23H00 lundi soir en Charente.

Le vignoble de Bordeaux en appellation Médoc, du côté girondin de l’estuaire de la Gironde, a de son côté également essuyé un violent orage de grêle.

« C’est irrégulier mais il y a des parcelles où il n’y a plus de feuilles sur les branches », a indiqué à l’AFP un conseiller viticole de propriétés du Médoc, Antoine Médeville, du laboratoire Oenoconseil.

Selon lui, sur une zone regroupant quatre à cinq villages au Nord des propriétés en appellation Margaux et Saint-Estèphe, « près de 50% du vignoble a été touché, 25% pour les uns et quasiment 100% pour d’autres », a-t-il dit.

Interrogés par l’AFP, des viticulteurs qui ne souhaitent pas que le nom de leur propriété soit citée, ont fait état de « feuilles déchiquetées » de « branches cassées ».

Orages de grêle: des dégâts considérables à Cognac et dans le vignoble de Bordeaux

Des maisons détruites, des arbres arrachés…Cognac a subi de gros dégâts dus à l’orage de grêle. Son vignoble est en partie déchiqueté, comme dans le bordelais: 5 villages viticoles du Médoc ont été sérieusement touchés.

Des vents jusqu’à 130 km/h en rafale à Cognac

Les orages qui se sont abattus sur l’Aquitaine dans la nuit de dimanche à lundi ont causé des dégâts notamment sur la ville de Cognac et ses alentours, tandis que le vignoble bordelais, sur la rive gauche de l’estuaire de la Gironde, a été très localement grêlé, a-t-on appris lundi de sources concordantes.

La Charente a essuyé dans la nuit un fort coup de vent avec des rafales relevées à 130 km/h notamment à Cognac et dans des villages avoisinants, a indiqué la préfecture du département qui a mis en place une cellule de crise.

Les dégâts sont notamment liés à des chutes d’arbres et de branches sur les toitures. Des tuiles ont par ailleurs été arrachées des toits.

A Cognac, les séquelles de ce coup de vent étaient visibles dans les rues avec de nombreux branchages, feuilles déchiquetées et tuiles cassées, rapidement nettoyés par les pompiers et les services techniques de la ville, a constaté un journaliste de l’AFP.

Les pompiers de la Charente avaient en début d’après-midi encore plus de 200 interventions en attente. Face à l’ampleur des demandes, une centaine de pompiers et 50 véhicules du Codis de la Charente étaient en action.

Quelque 9.000 foyers étaient privés d’électricité en début de matinée en Charente et à 13H00 quelque 2.100 foyers attendaient toujours d’être reconnectés par ERDF qui a sollicité des renforts extérieurs afin que l’ensemble du réseau soit réalimenté en soirée.

 On s’en sort plutôt bien car cela s’est passé la nuit, la veille d’un jour férié. Vu l’état des rues avec des branches, des tuiles et des cheminées effondrées, s’il y avait eu du passage comme en plein après-midi, il y aurait sûrement eu au moins des blessés », a déclaré à l’AFP le maire de Cognac, Michel Gourinchas.

Selon lui, « il a dû y avoir une sorte de tornade » car seulement un quartier de la ville proche de la gare a essuyé ce fort coup de vent. Il entend faire la demande de classement en catastrophe naturelle.

Pour M. Gourinchas, l’urgence est de « bâcher les toits » au cas où un autre orage s’abattrait sur la ville. « On a eu notre part; s’il doit y avoir de grosses pluies, j’espère que ce ne sera pas sur la ville car avec les feuilles, la terre et la boue, accumulées, les canalisations seraient vite bouchées », a-t-il dit.

Le vignoble de Cognac a été victime de la grêle et quelques parcelles ont subi des dégâts.

Un nouvel épisode orageux de forte intensité est attendu entre 20H et 23H00 lundi soir en Charente.

Le vignoble de Bordeaux en appellation Médoc, du côté girondin de l’estuaire de la Gironde, a de son côté également essuyé un violent orage de grêle.

Après 2013, le vignoble bordelais à nouveau impacté par la grêle

« C’est irrégulier mais il y a des parcelles où il n’y a plus de feuilles sur les branches », a indiqué à l’AFP un conseiller viticole de propriétés du Médoc, Antoine Médeville, du laboratoire Oenoconseil.

Selon lui, sur une zone regroupant quatre à cinq villages au Nord des propriétés en appellation Margaux et Saint-Estèphe, « près de 50% du vignoble a été touché, 25% pour les uns et quasiment 100% pour d’autres », a-t-il dit.

Interrogés par l’AFP, des viticulteurs qui ne souhaitent pas que le nom de leur propriété soit citée, ont fait état de « feuilles déchiquetées » de « branches cassées ».

Recherche google: orages de grêle: dégâts à Cognac et Bordeaux


En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de Cookies pour réaliser des statistiques de visites. Plus d'informations

Nous utilisons des cookies sur le site pour suivre la fréquentation de nos contenus. Si vous poursuivez votre navigation sur le site ou si vous cliquez sur le bouton "Accepter", alors vous acceptez que nous collections des données anonymes à des fins de statistiques de fréquentation.

Fermer