Un joggeur a été hospitalisé hier soir au CHU de Sochaux . Un homme d’une vingtaine d’années a fait une chute de près de 6 mètres en contrebas de la piste cyclable entre Sochaux et Exincourt. Il souffre de multiples contusions. Les circonstances de cet accident restent inexpliquées. 

Beaucoup de doutes sur les circonstances

Malaise, accident, acte délibéré… aucune hypothèse n’est écartée. Les enquêteurs n’ont toujours pas déterminés les raisons de cette chute. Il était 17 h 20 lorsque le Centre opérationnel d’incendie et de secours du Doubs est avisé de l’accident. Rapidement, d’importants moyens sont mis en place

L’état de santé du blessé est inquiétant

Sur place, les pompiers était question de traumatisme crânien avec perte de connaissance mais aussi de membres  brisé s

Devant la gravité des blessures, il a été décidé de faire appel à l’hélicoptère de la Sécurité civile, en provenance d’Alsace

C’est un homme à l’allure sportive

rapporte cet habitant de Grand-Charmont, arrivé parmi les premiers sur les lieux

 

 

et le service d’ordre était particulièrement strict pour empêcher l’accès aux lieux. Pour les geler ?

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. « Il avait un bras déjà tout bleu », 
. L’état de la victime étant particulièrement délicat, il a fallu attendre de longues minutes avant de pouvoir le déplacer et la circulation était bloquée sur cet axe particulièrement emprunté.
L’âge de la victime et son identité demeurent secrets. Les secours parlaient d’un homme d’une vingtaine d’années. On devrait en savoir davantage aujourd’hui.

Que s’est-il passé ?

C’est un accident qui pose beaucoup de questions. Comment un joggeur qui courait le long de la route très fréquentée, reliant Sochaux à Exincourt, a-t-il pu chuter, sur la piste cyclable située six mètres plus bas ?

 

Les enquêteurs s’interrogent toujours. Malaise ? Accident ? Acte délibéré ? Aucune hypothèse n’était écartée et le service d’ordre était particulièrement strict pour empêcher l’accès aux lieux. Pour les geler ?

 

Il avait un bras déjà tout bleu

Il était 17 h 20 lorsque le Centre opérationnel d’incendie et de secours du Doubs est avisé de l’accident. Rapidement, d’importants moyens sont mis en place.
Le blessé semble dans un état particulièrement grave. Sur place, il était question de traumatisme crânien avec perte de connaissance mais aussi de membre (s) brisé (s). « Il avait un bras déjà tout bleu », rapporte cet habitant de Grand-Charmont, arrivé parmi les premiers sur les lieux. « C’est un homme à l’allure sportive », complète-t-il.

 

Il a fallu attendre de longues minutes pour déplacer la victime

Devant la gravité des blessures, il a été décidé de faire appel à l’hélicoptère de la Sécurité civile, en provenance d’Alsace. L’état de la victime étant particulièrement délicat, il a fallu attendre de longues minutes avant de pouvoir le déplacer et la circulation était bloquée sur cet axe particulièrement emprunté.
L’âge de la victime et son identité demeurent secrets. Les secours parlaient d’un homme d’une vingtaine d’années. On devrait en savoir davantage aujourd’hui.

Il ne voulait pas commencer une nouvelle carrière. Et pourtant, ce joggeur est tombé sur une piste cyclable. Mais 6 mètres plus bas. Le joggeur souffre d’un traumatisme cranien avec perte de connaissance, et de multiples fractures. Il a été héliporté au CHU de Besançon.

Joggeur inattentif ou pris de malaise ?

Que s’est-il passé ? Comment ce joggeur qui semblait courir le long de la route très fréquentée, reliant Sochaux à Exincourt, a-t-il pu chuter en contrebas, sur la piste cyclable située six mètres plus bas ?
C’est la question que se posent les enquêteurs. Malaise ? Accident ? Acte délibéré ? Aucune hypothèse n’était écartée et le service d’ordre était particulièrement strict pour empêcher l’accès aux lieux. Pour les geler ?

Il était 17 h 20 lorsque le Centre opérationnel d’incendie et de secours du Doubs est avisé de l’accident. Rapidement, d’importants moyens sont mis en place.

Transporté à l’hôpital, dans un état grave, par un hélicoptère venu d’Alsace.

Le blessé semble dans un état particulièrement grave. Sur place, il était question de traumatisme crânien avec perte de connaissance mais aussi de membre (s) brisé (s).

 Il avait un bras déjà tout bleu », rapporte cet habitant de Grand-Charmont, arrivé parmi les premiers sur les lieux. « C’est un homme à l’allure sportive », complète-t-il.

Devant la gravité des blessures, il a été décidé de faire appel à l’hélicoptère de la Sécurité civile, en provenance d’Alsace. L’état de la victime étant particulièrement délicat, il a fallu attendre de longues minutes avant de pouvoir le déplacer et la circulation était bloquée sur cet axe particulièrement emprunté.

L’âge de la victime et son identité demeurent secrets. Les secours parlaient d’un homme d’une vingtaine d’années. On devrait en savoir davantage aujourd’hui.

C’est la stupéfaction à l’école d’ingénieurs de Cluny. Un élève ingénieur de 21 ans est toujours hospitalisé dans un état grave après une chute de 4 mètres.  Il sortait d’une soirée étudiante. 

Il existe encore peu d’éléments pour déterminer les circonstances exactes de l’accident.

 

Florent Voldoire, 21 ans, élève ingénieur en première année à l’école nationale supérieur des Arts et Métiers (Ensam) de Cluny

 

 L’école d’ingénieurs de Cluny sous le choc après la chute accidentelle d’un élève à la fin d’une soirée étudiante arrosée. Un geste inexpliqué qui laisse la communauté de l’Ensam dans le désarroi.

L’élève ingénieur de l’Ecole nationale supérieure des Arts et métiers gravement blessé, lors d’une chute, après une soirée festive dans l’établissement, est toujours hospitalisé au CHU de Dijon. Les circonstances de l’accident restent floues.

L’état de santé de Florent Voldoire, 21 ans, élève ingénieur en première année à l’école nationale supérieur des Arts et Métiers (Ensam) de Cluny est toujours préoccupant. Le jeune homme présente des traumatismes au thorax et aux jambes. Mais des signes d’amélioration ont rassuré ses proches et toute la communauté de l’Ensam.

« Florent est extrêmement bien soigné. Il y a des signes d’évolution positive sur son état de santé et nous sommes contents même si on ne peut pas se prononcer. Aujourd’hui, tout le monde pense à lui  » a assuré le chef d’établissement Laurent Arnaud.

Une chute incompréhensible

Le jeune homme a fait une chute accidentelle de plus de 4 mètres dans la nuit de dimanche à lundi alors qu’il participait à un repas de fin d’année avec quinze autres élèves de première et deuxième années. Une chute spectaculaire dont la cause n’a pas été encore clairement établie.

« Selon ses amis présents, la soirée amicale et conviviale s’était très bien passée. On a une cuisine pour les élèves en résidence. Ils ont préparé un repas et disent avoir consommé de la bière, mais il n’y avait aucun élément qui pouvait prévenir le drame. Ses amis l’ont vu marcher tout seul, normalement. Florent est sorti de la salle, et certains l’ont vu enjamber la rambarde et il est tombé. Ses collègues ne comprennent pas. On ne connaît pas la raison », a expliqué, hier, Laurent Arnaud très présent aux côtés des parents de la victime dans cette épreuve.

L’école sous le choc

« Florent a rejoint l’école après ses deux ans de classe préparatoire au lycée La Martinière de Lyon. C’est un bon élève très bien intégré, un volontariste dans son engagement. Il s’était impliqué dans le grand Gala. » Le responsable de l’établissement, suite au choc au sein de l’école, a décidé de mettre en place dès lundi dernier une cellule psychologique avec la présence d’un médecin praticien de Mâcon présent chaque jour depuis les faits.

« Ce type d’accidents arrive rarement et on le déplore », poursuit Laurent Arnaud qui n’avait pas été avisé de cette soirée interne. « Je n’avais pas d’obligation à l’être ». En résonance à certaines soirées alcoolisées qui peuvent parfois dégénérer dans des écoles d’excellence en France comme l’est l’Ensam, il répond qu’un travail « extrêmement important » est réalisé sur la prévention de l’alcool.

« Un plan de prévention est mis en place avec différents acteurs pour que les conditions soient le plus sécuritaire possible. Ce sont des jeunes adultes et responsables et dans de nombreuses manifestations, on travaille à leurs côtés et ça se passe bien. »

Stupeur à l’école d’ingénieurs de Cluny. Florent Voldoire, un des futurs ingénieurs, a fait une chute de 4 mètres lors d’une soirée de fin d’année. Il souffre de nombreux traumatismes. Une enquête est en cours. 

• Les circonstances et  les témoignages de cet accident rarissime
• Florent Voldoire, son parcours et ses bonnes appréciations
• Les pratiques de ces soirées arrosées en écoles d’ingénieurs
• L’état de Santé de Florent Voldoire s’améliore

Florent Voldoire, 21 ans, élève ingénieur en première année à l’école nationale supérieur des Arts et Métiers (Ensam) de Cluny est toujours hospitalisé au CHU de Dijon dans un état de santé préoccupant suite à des traumatismes au thorax et aux jambes, mais des signes d’amélioration ont rassuré ses proches et toute la communauté de l’Ensam.

« Selon ses amis présents, la soirée amicale et conviviale s’était très bien passée. On a une cuisine pour les élèves en résidence. Ils ont préparé un repas et disent avoir consommé de la bière, mais il n’y avait aucun élément qui pouvait prévenir le drame. Ses amis l’ont vu marcher tout seul, normalement. Florent est sorti de la salle, et certains l’ont vu enjamber la rambarde et il est tombé. Ses collègues ne comprennent pas. On ne connaît pas la raison », a expliqué hier le chef d’établissement, Laurent Arnaud très présent aux côtés des parents de la victime dans cette épreuve.

Le jeune homme a fait une chute accidentelle de plus de 4 mètres dans la nuit de dimanche à lundi alors qu’il participait à un repas de fin d’année dans une cuisine de l’abbatiale avec quinze autres élèves de première et deuxième années. Une chute spectaculaire dont la cause n’a pas été encore clairement établie.

« Florent a rejoint l’école après ses deux ans de classe préparatoire au lycée La Martinière de Lyon. C’est un bon élève très bien intégré, un volontariste dans son engagement. Il s’était impliqué dans le grand Gala. » Le responsable de l’établissement, suite au choc au sein de l’école, a décidé de mettre en place dès lundi dernier une cellule psychologique avec la présence d’un médecin praticien de Mâcon présent chaque jour depuis les faits.

Ce type d’accidents arrive rarement et on le déplore », selon Laurent Arnaud, le chef d’établissement qui n’avait pas été avisé de cette soirée interne.

« Je n’avais pas d’obligation à l’être », précise-t-il .En résonance à certaines soirées alcoolisées qui peuvent parfois dégénérer dans des écoles d’excellence en France comme l’est l’Ensam, il répond qu’un travail « extrêmement important » est réalisé sur la prévention de l’alcool. « Un plan de prévention est mis en place avec différents acteurs pour que les conditions soient le plus sécuritaire possible. Ce sont des jeunes adultes et responsables et dans de nombreuses manifestations, on travaille à leurs côtés et ça se passe bien. »

Et de conclure :« Florent est extrêmement bien soigné. Il y a des signes d’évolution positive sur son état de santé et nous sommes contents même si on ne peut pas se prononcer. Aujourd’hui, tout le monde pense à lui. »

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