Le nombre d’accidents aux passages à niveau a diminué de moitié
- Le nombre de tués aux passages à niveau a diminué de moitié.
- Mais pour le secrétaire d’état à la mobilité, Melchior Wathelet, c’est encore trop
- Infrabel, le gestionnaire du réseau a lancé un jeu éducatif pour sensibiliser les jeunes à ce type de danger
L’année dernière, 42 accidents ont eu lieu à un passage à niveau. C’est deux fois moins qu’en 2012. Parmi les victimes, on dénombre 6 morts contre 13 un an plus tôt.
Mais pour le secrétaire d’état à la mobilité, Melchior Wathelet, c’est encore 6 de trop: « Six tués sur des voies de chemin de fer simplement parce que certains citoyens n’ont pas le bon comportement, soit avec leur véhicule, soit avec leur vélo, soit à pied, simplement parce qu’ils ne respectent pas les signaux, c’est vraiment trop bête ».
Il faut donc, selon lui, continuer à sensibiliser la population pour que ces chiffres diminuent encore, en commençant par les plus jeunes. Il reste en Belgique environ 1600 passages à niveau publics. Ne faudrait-il pas dès lors les adapter? « Certainement » répond Melchior Wathelet. « Il y a encore eu 15 passages à niveau supprimés sur l’ensemble du territoire l’année dernière. On aménage de plus en plus des passerelles, mais c’est toujours avec des permis, c’est toujours en coordination avec les communes. On sait qu’il y a encore des endroits où des gens traversent de manière totalement aléatoire ».
Pour sensibiliser les jeunes aux dangers des passages à niveau, Infrabel, le gestionnaire du réseau a lancé un jeu à destination de plus de 7000 écoles primaires en Belgique. C’est à l’école communale de Cheratte-bas que des élèves de 5e et 6e primaire ont pour la première fois pu tester « les experts du rail », un jeu de plateau destiné à prévenir les enfants des risques aux passages des voies. Le reportage de RTL-TVi ci-dessous
Accidents aux passages à niveau: moins de victimes mais la sensibilisation doit continuer
Sensibiliser les jeunes aux dangers des passages à niveau. C’est l’objectif d’un jeu éducatif lancé par Infrabel pour plus de 7000 écoles primaires en Belgique. C’est à l’école communale de Cheratte-bas que des élèves de 5e et 6e primaire ont pour la première fois pu tester « les experts du rail », un jeu de plateau destiné à prévenir les enfants des risques aux passages des voies. L’occasion aussi de dresser un bilan statistique des accidents aux passages à niveau.
L’année dernière, 42 accidents ont eu lieu à un passage à niveau. Parmi les victimes, on dénombre 6 morts et 7 blessés graves. Des chiffres en diminution par rapport à 2012, une année durant laquelle 13 victimes sont décédées. Mais pour le secrétaire d’état à la mobilité, Melchior Wathelet, en 2013, c’est encore 6 de trop: « Six tués sur des voies de chemin de fer simplement parce que certains citoyens n’ont pas le bon comportement, soit avec leur véhicule, soit avec leur vélo, soit à pied, simplement parce qu’ils ne respectent pas les signaux, c’est vraiment trop bête ». Il faut donc, selon lui, continuer à sensibiliser la population pour que ces chiffres diminuent encore, en commençant par les plus jeunes.
Encore 1600 passages
Il reste en Belgique environ 1600 passages à niveau publics. Ne faudrait-il pas dès lors les adapter? « Certainement » répond Melchior Wathelet. « Il y a encore eu 15 passages à niveau supprimés sur l’ensemble du territoire l’année dernière. On aménage de plus en plus des passerelles, mais c’est toujours avec des permis, c’est toujours en coordination avec les communes. On sait qu’il y a encore des endroits où des gens traversent de manière totalement aléatoire ». En 2013, 9 personnes sont mortes en traversant des voies de chemins de fer de manière illicite en dehors des passages à niveau.
A Cheratte, il existe encore des passages à niveau dangereux pour les piétons. Dans son reportage, RTL-TVI s’y est rendu avec les enfants de l’école voisine et Melchior Wathelet, le secrétaire d’état à la mobilité.
Moins d’accidents aux passages à niveau
Sensibiliser les jeunes aux dangers des passages à niveau: c’est l’objectif d’un jeu éducatif lancé par Infrabel pour plus de 7000 écoles primaires en Belgique.
C’est à l’école communale de Cheratte-bas que des élèves de 5e et 6e primaire ont pour la première fois pu tester « les experts du rail », un jeu de plateau destiné à prévenir les enfants des risques aux passages des voies. L’occasion aussi de dresser un bilan statistique des accidents aux passages à niveau. L’année dernière, 42 accidents ont eu lieu à un passage à niveau. Parmi les victimes, on dénombre 6 morts et 7 blessés graves. Des chiffres en diminution par rapport à 2012, une année durant laquelle 13 victimes sont décédées. Mais pour le secrétaire d’état à la mobilité, Melchior Wathelet, en 2013, c’est encore 6 de trop: « Six tués sur des voies de chemin de fer simplement parce que certains citoyens n’ont pas le bon comportement, soit avec leur véhicule, soit avec leur vélo, soit à pied, simplement parce qu’ils ne respectent pas les signaux, c’est vraiment trop bête ». Il faut donc, selon lui, continuer à sensibiliser la population pour que ces chiffres diminuent encore, en commençant par les plus jeunes.
Aménager des passerelles
Il reste en Belgique environ 1600 passages à niveau publics. Ne faudrait-il pas dès lors les adapter? « Certainement » répond Melchior Wathelet. « Il y a encore eu 15 passages à niveau supprimés sur l’ensemble du territoire l’année dernière. On aménage de plus en plus des passerelles, mais c’est toujours avec des permis, c’est toujours en coordination avec les communes. On sait qu’il y a encore des endroits où des gens traversent de manière totalement aléatoire ». En 2013, 9 personnes sont mortes en traversant des voies de chemins de fer de manière illicite en dehors des passages à niveau.
Vidéo à insérer:
http://www.rtl.be/videos/video/474518.aspx
Sensibiliser les enfants au danger des passages à niveau, c’est le principal objectif de la video ci-dessous.
Infrabel met en garde sur les dangers des passages à niveau
- Sensibiliser les jeunes aux dangers des passages à niveau. C’est l’objectif d’un jeu éducatif lancé par Infrabel pour plus de 7000 écoles primaires en Belgique.
- Le nombre de victimes d’accidents a fortement régressé en 2013 (6 morts, contre 13 en 2012).
- Pour le secrétaire d’Etat à la mobilité, Melchior Wathelet, c’est encore trop.
C’est à l’école communale de Cheratte-bas que des élèves de 5e et 6e primaire ont pour la première fois pu tester « les experts du rail », un jeu de plateau destiné à prévenir les enfants des risques aux passages des voies.
A leurs côtés, le secrétaire d’Etat à la mobilité, Melchior Wathelet, dresse un bilan. L’année dernière, 42 accidents ont eu lieu à un passage à niveau. Parmi les victimes, on dénombre 6 morts et 7 blessés graves. Des chiffres en diminution par rapport à 2012, une année durant laquelle 13 victimes sont décédées.
Pour Melchior Wathelet, il faut poursuivre la sensibilisation
Pour Melchior Wathelet, 6, c’est encore trop: « Six tués sur des voies de chemin de fer simplement parce que certains citoyens n’ont pas le bon comportement, soit avec leur véhicule, soit avec leur vélo, soit à pied, simplement parce qu’ils ne respectent pas les signaux, c’est vraiment trop bête ». Il faut donc, selon lui, continuer à sensibiliser la population pour que ces chiffres diminuent encore, en commençant par les plus jeunes.
Il reste en Belgique environ 1600 passages à niveau publics. Ne faudrait-il pas dès lors les adapter? « Certainement » répond Melchior Wathelet. « Il y a encore eu 15 passages à niveau supprimés sur l’ensemble du territoire l’année dernière. On aménage de plus en plus des passerelles, mais c’est toujours avec des permis, c’est toujours en coordination avec les communes. On sait qu’il y a encore des endroits où des gens traversent de manière totalement aléatoire ».
En 2013, 9 personnes sont mortes en traversant des voies de chemins de fer de manière illicite en dehors des passages à niveau.
RTL TVI a été voir sur le terrain en quoi consiste le jeu éducatif d’Infrabel, et comment réagissent les enfants:
Passages à niveau: attention danger
- Le nombre de victimes d’accidents lors des passages à niveau est en nette baisse
- Six personnes y ont perdu la vie l’an dernier
- Infrabel a lancé une campagne de sensibilisation auprès des élèves de primaire
Sensibiliser les jeunes aux dangers des passages à niveau: c’est l’objectif d’un jeu éducatif lancé par Infrabel pour plus de 7000 écoles primaires en Belgique. C’est à l’école communale de Cheratte-bas que des élèves de 5e et 6e primaire ont pour la première fois pu tester « les experts du rail », un jeu de plateau destiné à prévenir les enfants des risques aux passages des voies. L’occasion aussi de dresser un bilan statistique des accidents aux passages à niveau. L’année dernière, 42 accidents ont eu lieu à un passage à niveau. Parmi les victimes, on dénombre 6 morts et 7 blessés graves. Des chiffres en diminution par rapport à 2012, une année durant laquelle 13 victimes sont décédées. Mais pour le secrétaire d’état à la mobilité, Melchior Wathelet, en 2013, c’est encore 6 de trop: « Six tués sur des voies de chemin de fer simplement parce que certains citoyens n’ont pas le bon comportement, soit avec leur véhicule, soit avec leur vélo, soit à pied, simplement parce qu’ils ne respectent pas les signaux, c’est vraiment trop bête ». Il faut donc, selon lui, continuer à sensibiliser la population pour que ces chiffres diminuent encore, en commençant par les plus jeunes. Il reste en Belgique environ 1600 passages à niveau publics. Ne faudrait-il pas dès lors les adapter? « Certainement » répond Melchior Wathelet. « Il y a encore eu 15 passages à niveau supprimés sur l’ensemble du territoire l’année dernière. On aménage de plus en plus des passerelles, mais c’est toujours avec des permis, c’est toujours en coordination avec les communes. On sait qu’il y a encore des endroits où des gens traversent de manière totalement aléatoire ». En 2013, 9 personnes sont mortes en traversant des voies de chemins de fer de manière illicite en dehors des passages à niveau.
- Découvrez ici le reportage du JT de RTL au sujet de la campagne de sensibilisation aux dangers des passages à niveau:
Moins d’accidents aux passages à niveau en 2013
Sensibiliser les jeunes aux dangers des passages à niveau. C’est l’objectif d’un jeu éducatif lancé par Infrabel pour plus de 7000 écoles primaires en Belgique. C’est à l’école communale de Cheratte-bas que des élèves de 5e et 6e primaire ont pour la première fois pu tester « les experts du rail », un jeu de plateau destiné à prévenir les enfants des risques aux passages des voies. L’occasion aussi de dresser un bilan statistique des accidents aux passages à niveau. L’année dernière, 42 accidents ont eu lieu à un passage à niveau. Parmi les victimes, on dénombre 6 morts et 7 blessés graves. Des chiffres en diminution par rapport à 2012, une année durant laquelle 13 victimes sont décédées. Mais pour le secrétaire d’état à la mobilité, Melchior Wathelet, en 2013, c’est encore 6 de trop: « Six tués sur des voies de chemin de fer simplement parce que certains citoyens n’ont pas le bon comportement, soit avec leur véhicule, soit avec leur vélo, soit à pied, simplement parce qu’ils ne respectent pas les signaux, c’est vraiment trop bête ». Il faut donc, selon lui, continuer à sensibiliser la population pour que ces chiffres diminuent encore, en commençant par les plus jeunes. Il reste en Belgique environ 1600 passages à niveau publics. Ne faudrait-il pas dès lors les adapter? « Certainement » répond Melchior Wathelet. « Il y a encore eu 15 passages à niveau supprimés sur l’ensemble du territoire l’année dernière. On aménage de plus en plus des passerelles, mais c’est toujours avec des permis, c’est toujours en coordination avec les communes. On sait qu’il y a encore des endroits où des gens traversent de manière totalement aléatoire ». En 2013, 9 personnes sont mortes en traversant des voies de chemins de fer de manière illicite en dehors des passages à niveau.
Découvrez le reportage de nos confrères de RTL :
50% de tués en moins sur les passages à niveaux
1130 citoyens européens expulsés de Belgique en 2013
De plus en plus de ressortissants de l’Union européenne, dont de nombreux citoyens français, sont expulsés de Belgique, même après un long séjour dans le royaume, en raison de la «charge déraisonnable» qu’ils feraient peser sur le système d’aide sociale belge, selon des chiffres rendus publics cette semaine.
«En 2013, et ce jusqu’en août, il a été mis fin au séjour de 1.130 citoyens européens», a indiqué la secrétaire d’Etat belge chargée de l’Asile et de la Migration, Maggie De Block, interrogée sur ce sujet par un parlementaire belge.
Les expulsions de ressortissants européens ont explosé au cours de ces dernières années. En 2010, à peine 343 citoyens de l’UE avaient été expulsés de Belgique. En 2011, leur nombre est passé à 989 et a ensuite doublé en 2012, avec 1.918 expulsions.
Voir la vidéo
http://www.francetvinfo.fr/monde/europe/video-ces-francais-indesirables-en-belgique_512025.html
Même des citoyens français sont persona non grata en Belgique, quelle que soit leur couleur de peau. Parce qu’ils constituent une charge déraisonnable pour le pays. Suivez cette vidéo et donnez-nous votre avis sur la question.
Belgique: explosion du nombre d’expulsions de ressortissants européens
De plus en plus de ressortissants de l’Union européenne, dont de nombreux citoyens français, sont expulsés de Belgique, même après un long séjour dans le royaume, en raison de la «charge déraisonnable» qu’ils feraient peser sur le système d’aide sociale belge, selon des chiffres rendus publics cette semaine. «En 2013, et ce jusqu’en août, il a été mis fin au séjour de 1.130 citoyens européens», a indiqué la secrétaire d’Etat belge chargée de l’Asile et de la Migration, Maggie De Block, interrogée sur ce sujet par un parlementaire belge. Les expulsions de ressortissants européens ont explosé au cours de ces dernières années. En 2010, à peine 343 citoyens de l’UE avaient été expulsés de Belgique. En 2011, leur nombre est passé à 989 et a ensuite doublé en 2012, avec 1.918 expulsions.
Voir la vidéo France 2 s’est intéressé au sort de Français vivant en Belgique et menacés d’expulsions. L’année passée, 180 français ont été priés de quitter le territoire. Mais personne n’a encore été expulsé de force.
Belgique: de plus en plus d’expulsions de ressortissants européens
Même un professeur d’université français n’échappe pas à l’ordre d’expulsion. Comme ses compatriotes vivant et travaillant chez nous, il représente une charge jugée déraisonnable sur le système d’aide sociale belge. Témoignage.