Mieux se protéger contre les dérives d’Internet grâce à des assurances spécifiques

  • Quelques compagnies d’assurance proposent depuis un an des produits spécialement adaptés.
  • Au-delà de la couverture globale qui existe déjà pour tous. 

Voilà bientôt un an, Axa était la première compagnie à proposer une protection spécifique contre les dérives du monde virtuel. Arag a suivi. « Cette garantie est couverte depuis toujours dans notre police consommateur », note Marina Crasset, directrice commerciale chez DAS.

Depuis lors, le marché est resté calme : aucun nouveau joueur n’est venu compléter l’offre. « Nous estimons que le potentiel dans le segment de marché particuliers est très limité » , remarque Gerrit Feyaerts, porte-parole d’AG Insurance. Ce n’est pas, non plus, au programme de Belfius Insurance.

La protection existante pour tous

Ethias rappelle que l’assuré n’est pas totalement démuni face à des dérives sur Internet, qu’il bénéficie d’une protection spécifique ou non.

« Si une faute est commise, la familiale couvre le dommage, selon les règles habituelles de la responsabilité », souligne Benoît Rigo, porte-parole.

Exemple

 » Si un enfant écrit des commentaires désobligeants sur un professeur sur Facebook et qu’il est poursuivi en justice, la familiale intervient pour autant qu’on se place dans le cadre des Articles 1 382 et suivants du code civil (faute, dommage, lien de causalité) , explique-t-il. La protection juridique prend en charge l’action en justice si c’est notre assuré qui est cette fois la victime. »

Exemples de protection plus étendue proposée par les assureurs

  • « La garantie « Delete Service » consiste à supprimer un contenu préjudiciable et illégal présent sur le Net , explique Vincent Locus, directeur commercial chez Arag. Pour ce faire, il est fait appel à une société spécialisée sous le couvert du contrat. »
  • Il est également possible de faire appel à l’équipe, en appelant une « hot line juridique ». « Il est possible de demander un conseil en l’absence d’un litige » , rappelle-t-on chez Axa.

Comment souscrire et combien cela coûte-t-il?

  • Chez Arag,Web@ctive est un produit spécifique auquel les particuliers peuvent souscrire pour 119 euros par an. La prime peut être réduite pour les personnes disposant déjà d’une protection Bronze, Silver, Access et Gold, qui contiennent des garanties s’appliquant aussi en cas de problèmes rencontrés sur le Net.
  • C’est 110 euros pour « la police consommateur » de DAS.
  • Chez Axa, il n’est, cette fois, pas possible de souscrire directement à l’e-protection. Elle peut uniquement être souscrite comme complément de l’assurance Daylife Protect. Le surcoût est alors compris entre 8 et 12 euros par mois.

Le succès est-il au rendez-vous ?

  • Arag évoque plusieurs centaines de souscriptions.
  • Axa ne donne pas de chiffres précis.
  • DAS souligne pour sa part que « la sinistralité n’est pas spécialement importante » .

Êtes-vous assuré contre les dérives d’Internet ?

Voilà bientôt un an, Axa était la première compagnie d’assurances à proposer une protection spécifique contre les dérives du monde virtuel. Quelques semaines plus tard, Arag, lançait, à son tour, sa Web@ctive. « Cette garantie est couverte  dans notre police consommateur », note-t-on chez DAS. Si ces compagnies ont tenté le pari de « l’e-protection », le secteur ne décolle pas vraiment. Qui propose quoi et à quel prix ?  

Depuis un an, le marché de l’e-protection est resté calme : aucun nouveau joueur n’est venu compléter l’offre. « Nous estimons que le potentiel dans le segment de marché particuliers est très limité » , remarque Gerrit Feyaerts, porte-parole d’AG Insurance. Ce n’est pas, non plus, au programme de Belfius Insurance.

Facebook et vos enfants

Ethias rappelle que l’assuré n’est pas totalement démuni face à des dérives sur Internet, qu’il bénéficie d’une protection spécifique ou non. « Si une faute est commise, la familiale couvre le dommage, selon les règles habituelles de la responsabilité« , souligne Benoît Rigo, porte-parole.

Un exemple ?  » Si un enfant écrit des commentaires désobligeants sur un professeur sur Facebook et qu’il est poursuivi en justice, la familiale intervient pour autant qu’on se place dans le cadre des Articles 1 382 et suivants du code civil (faute, dommage, lien de causalité) , explique-t-il. La protection juridique prend en charge l’action en justice si c’est notre assuré qui est cette fois la victime. »

Service « effacement »

Les produits d’Axa, d’Arag et de la DAS n’en balaient pas moins un horizon plus large. C’est par exemple la garantie « Delete Service ». « Elle consiste à supprimer un contenu préjudiciable et illégal présent sur le Net , explique Vincent Locus, directeur commercial chez Arag. Pour ce faire, il est fait appel à une société spécialisée sous le couvert du contrat. » Il est également possible de faire appel à l’équipe, en appelant une « hot line juridique ». « Il est possible de demander un conseil en l’absence d’un litige » , rappelle-t-on chez Axa.

Combien coûte l’e-protection?

Succès mitigé

Le succès est-il au rendez-vous ? Arag évoque plusieurs centaines de souscriptions. Axa ne donne pas de chiffres précis. DAS souligne pour sa part que « la sinistralité n’est pas spécialement importante » . Tout est dit…

S’assurer contre les mésaventures du Net

Les compagnies d’assurances s’adaptent aux nouvelles réalités du monde numérique et proposent des formules afin de protéger sa vie privée et sa réputation sur Internet.  

Voilà bientôt un an, Axa était la première compagnie à proposer une protection spécifique contre les dérives du monde virtuel. Quelques semaines plus tard, Arag, lançait à son tout Web@ctive. « Cette garantie est couverte depuis toujours dans notre police consommateur », note Marina Crasset, directrice commerciale chez DAS.

Une offre en stagnation

Depuis lors, le marché est resté calme : aucun nouveau joueur n’est venu compléter l’offre. « Nous estimons que le potentiel dans le segment de marché particuliers est très limité » , remarque Gerrit Feyaerts, porte-parole d’AG Insurance. Ce n’est pas, non plus, au programme de Belfius Insurance.

« Si une faute est commise, la familiale couvre le dommage, selon les règles habituelles de la responsabilité ».  Benoît Rigo, porte-parole d’Ethias.

La compagnie Ethias rappelle de son côté que l’assuré n’est pas totalement démuni face à des dérives sur Internet, qu’il bénéficie d’une protection spécifique ou non. « Si une faute est commise, la familiale couvre le dommage, selon les règles habituelles de la responsabilité« , souligne Benoît Rigo, porte-parole Exemple ? « Si un enfant écrit des commentaires désobligeants sur un professeur sur Facebook et qu’il est poursuivi en justice, la familiale intervient pour autant qu’on se place dans le cadre des Articles 1 382 et suivants du code civil (faute, dommage, lien de causalité) , explique-t-il. La protection juridique prend en charge l’action en justice si c’est notre assuré qui est cette fois la victime.

Un service de « nettoyage » du Net

Les produits d’Axa, d’Arag et de la DAS n’en balaient pas moins un horizon plus large. C’est par exemple la garantie « Delete Service ». « Elle consiste à supprimer un contenu préjudiciable et illégal présent sur le Net , explique Vincent Locus, directeur commercial chez Arag. Pour ce faire, il est fait appel à une société spécialisée sous le couvert du contrat. » Il est également possible de faire appel à l’équipe, en appelant une « hot line juridique » et de demander un conseil en l’absence d’un litige » , rappelle-t-on chez Axa.

  • Chez Arag, Web@ctive est un produit spécifique auquel les particuliers peuvent souscrire pour 119 euros par an. La prime peut être réduite pour les personnes disposant déjà d’une protection Bronze, Silver, Access et Gold, qui contiennent des garanties s’appliquant aussi en cas de problèmes rencontrés sur le Net. C’est 110 euros pour « la police consommateur » de DAS.
  • Chez Axa, il n’est, cette fois, pas possible de souscrire directement à l’e-protection. Elle peut uniquement être souscrite comme complément de l’assurance Daylife Protect. Le surcoût est alors compris entre 8 et 12 euros par mois.

Un démarrage en douceur

Le succès est-il au rendez-vous ? Arag évoque plusieurs centaines de souscriptions. Axa ne donne pas de chiffres précis. DAS souligne pour sa part que « la sinistralité n’est pas spécialement importante » .

Pour en savoir plus:

 

Faut-il s’assurer contre les dérives d’internet?

Les assureurs Axa, Arag et DAS proposent une couverture contre les risques du monde virtuel, par exemple des commentaires insultants qu’un enfant pourrait poser. Jusqu’à présent, les autres compagnies estiment que l’assurance familiale classique suffit. 

Voilà bientôt un an, Axa était la première compagnie à proposer une protection spécifique contre les dérives du monde virtuel. Quelques semaines plus tard, Arag, lançait à son tout Web@ctive. « Cette garantie est couverte depuis toujours dans notre police consommateur », note Marina Crasset, directrice commerciale chez DAS.

Depuis lors, le marché est resté calme : aucun nouveau joueur n’est venu compléter l’offre. « Nous estimons que le potentiel dans le segment de marché particuliers est très limité » , remarque Gerrit Feyaerts, porte-parole d’AG Insurance. Ce n’est pas, non plus, au programme de Belfius Insurance.

Ethias: l’assurance familiale suffit

Ethias rappelle que l’assuré n’est pas totalement démuni face à des dérives sur Internet, qu’il bénéficie d’une protection spécifique ou non. « Si une faute est commise, la familiale couvre le dommage, selon les règles habituelles de la responsabilité », souligne Benoît Rigo, porte-parole. Exemple ?  » Si un enfant écrit des commentaires désobligeants sur un professeur sur Facebook et qu’il est poursuivi en justice, la familiale intervient pour autant qu’on se place dans le cadre des Articles 1 382 et suivants du code civil (faute, dommage, lien de causalité) , explique-t-il. La protection juridique prend en charge l’action en justice si c’est notre assuré qui est cette fois la victime. »

Delete Service efface votre historique « préjudiciable »

Les produits d’Axa, d’Arag et de la DAS n’en balaient pas moins un horizon plus large. C’est par exemple la garantie « Delete Service ». « Elle consiste à supprimer un contenu préjudiciable et illégal présent sur le Net , explique Vincent Locus, directeur commercial chez Arag. Pour ce faire, il est fait appel à une société spécialisée sous le couvert du contrat. » Il est également possible de faire appel à l’équipe, en appelant une « hot line juridique ». « Il est possible de demander un conseil en l’absence d’un litige » , rappelle-t-on chez Axa.

Chez Arag, Web@ctive est un produit spécifique auquel les particuliers peuvent souscrire pour 119 euros par an. La prime peut être réduite pour les personnes disposant déjà d’une protection Bronze, Silver, Access et Gold, qui contiennent des garanties s’appliquant aussi en cas de problèmes rencontrés sur le Net.

C’est 110 euros pour « la police consommateur » de DAS. Chez Axa, il n’est, cette fois, pas possible de souscrire directement à l’e-protection. Elle peut uniquement être souscrite comme complément de l’assurance Daylife Protect. Le surcoût est alors compris entre 8 et 12 euros par mois.

Le succès est-il au rendez-vous ? Arag évoque plusieurs centaines de souscriptions. Axa ne donne pas de chiffres précis. DAS souligne pour sa part que « la sinistralité n’est pas spécialement importante »

Comment faire respecter ses droits sur le web

  • S’assurer contre les dérives d’Internet c’est possible aujourd’hui avec Axa, Arag et DAS.
  • Un commentaire vous porte préjudice ? Faites-le supprimer.

 

Voilà bientôt un an, Axa était la première compagnie à proposer une protection spécifique contre les dérives du monde virtuel. Quelques semaines plus tard, Arag, lançait à son tour Web@ctive. « Cette garantie est couverte depuis toujours dans notre police consommateur« , note Marina Crasset, directrice commerciale chez DAS.

Peu d’assurés parmi les particuliers

Depuis lors, le marché est resté calme : aucun nouveau joueur n’est venu compléter l’offre. « Nous estimons que le potentiel dans le segment de marché particuliers est très limité » , remarque Gerrit Feyaerts, porte-parole d’AG Insurance. Ce n’est pas, non plus, au programme de Belfius Insurance.

L’assurance familiale peut couvrir des dommages

Ethias rappelle que l’assuré n’est pas totalement démuni face à des dérives sur Internet, qu’il bénéficie d’une protection spécifique ou non. « Si une faute est commise, la familiale couvre le dommage, selon les règles habituelles de la responsabilité« , souligne Benoît Rigo, porte-parole.

Exemple ?  » Si un enfant écrit des commentaires désobligeants sur un professeur sur Facebook et qu’il est poursuivi en justice, la familiale intervient pour autant qu’on se place dans le cadre La protection juridique prend en charge l’action en justice si c’est notre assuré qui est cette fois la victime.des Articles 1 382 et suivants du code civil (faute, dommage, lien de causalité) , explique-t-il. « 

 

Supprimer un contenu préjudiciable

Les produits d’Axa, d’Arag et de la DAS n’en balaient pas moins un horizon plus large. C’est par exemple la garantie « Delete Service ». « Elle consiste à supprimer un contenu préjudiciable et illégal présent sur le Net , explique Vincent Locus, directeur commercial chez Arag. Pour ce faire, il est fait appel à une société spécialisée sous le couvert du contrat. » Il est également possible de faire appel à l’équipe, en appelant une « hot line juridique ». « Il est possible de demander un conseil en l’absence d’un litige » , rappelle-t-on chez Axa.

 

Comment s’assurer ?

Chez Arag, Web@ctive est un produit spécifique auquel les particuliers peuvent souscrire pour 119 euros par an. La prime peut être réduite pour les personnes disposant déjà d’une protection Bronze, Silver, Access et Gold, qui contiennent des garanties s’appliquant aussi en cas de problèmes rencontrés sur le Net. C’est 110 euros pour « la police consommateur » de DAS. Chez Axa, il n’est, cette fois, pas possible de souscrire directement à l’e-protection. Elle peut uniquement être souscrite comme complément de l’assurance Daylife Protect. Le surcoût est alors compris entre 8 et 12 euros par mois.

 

Un succès modéré

Le succès est-il au rendez-vous ? Arag évoque plusieurs centaines de souscriptions. Axa ne donne pas de chiffres précis. DAS souligne pour sa part que « la sinistralité n’est pas spécialement importante » .

A peine 2 compagnies en Belgique proposent de s’assurer contre les risques du Web

Voici un an, Axa était la première compagnie à proposer une couverture contre les abus du Web. Une seule compagnie, Arag, lui a emboîté le pas. Cela coûte environ 10 euros par mois. Dans certains cas, la « Familiale » suffit déjà.

Voilà bientôt un an, Axa était la première compagnie à proposer une protection spécifique contre les dérives du monde virtuel. Quelques semaines plus tard, Arag, lançait à son tout Web@ctive. « Cette garantie est couverte depuis toujours dans notre police consommateur », note Marina Crasset, directrice commerciale chez DAS.

  • Les autres compagnies n’emboîtent pas le pas

Depuis lors, le marché est resté calme : aucun nouveau joueur n’est venu compléter l’offre. « Nous estimons que le potentiel dans le segment de marché particuliers est très limité » , remarque Gerrit Feyaerts, porte-parole d’AG Insurance. Ce n’est pas, non plus, au programme de Belfius Insurance.

  • La Familiale offre déjà une petite couverture

Ethias rappelle que l’assuré n’est pas totalement démuni face à des dérives sur Internet, qu’il bénéficie d’une protection spécifique ou non. « Si une faute est commise, la familiale couvre le dommage, selon les règles habituelles de la responsabilité », souligne Benoît Rigo, porte-parole. Exemple ?  » Si un enfant écrit des commentaires désobligeants sur un professeur sur Facebook et qu’il est poursuivi en justice, la familiale intervient pour autant qu’on se place dans le cadre des Articles 1 382 et suivants du code civil (faute, dommage, lien de causalité) , explique-t-il. La protection juridique prend en charge l’action en justice si c’est notre assuré qui est cette fois la victime. »

  • Atout: supprimer le contenu préjudiciable sur le Net

Les produits d’Axa, d’Arag et de la DAS n’en balaient pas moins un horizon plus large. C’est par exemple la garantie « Delete Service ». « Elle consiste à supprimer un contenu préjudiciable et illégal présent sur le Net , explique Vincent Locus, directeur commercial chez Arag. Pour ce faire, il est fait appel à une société spécialisée sous le couvert du contrat. » Il est également possible de faire appel à l’équipe, en appelant une « hot line juridique ». « Il est possible de demander un conseil en l’absence d’un litige » , rappelle-t-on chez Axa.

  • Entre 8 et 12 euros par mois

Chez Arag, Web@ctive est un produit spécifique auquel les particuliers peuvent souscrire pour 119 euros par an. La prime peut être réduite pour les personnes disposant déjà d’une protection Bronze, Silver, Access et Gold, qui contiennent des garanties s’appliquant aussi en cas de problèmes rencontrés sur le Net. C’est 110 euros pour « la police consommateur » de DAS. Chez Axa, il n’est, cette fois, pas possible de souscrire directement à l’e-protection. Elle peut uniquement être souscrite comme complément de l’assurance Daylife Protect. Le surcoût est alors compris entre 8 et 12 euros par mois.

Le succès est-il au rendez-vous ? Arag évoque plusieurs centaines de souscriptions. Axa ne donne pas de chiffres précis. DAS souligne pour sa part que « la sinistralité n’est pas spécialement importante » . Conseils pour éviter les dérives virtuelles.

Football français: la pelouse du PSG plus belle que celle de Marseille

La Ligue professionnelle de football français (LFP) a lancé cette année un championnat des pelouses. Et elle vient de publier sur son site un premier classement de mi-saison.  Dans ce petit championnat dans le championnat, c’est le Paris Saint-Germain qui domine, tandis que Bastia et Marseille sont en position de reléguables…

  • Gazons bénis: le club de la capitale figure dans le premier tiers de ce classement atypique, aux côtés de Nantes, Sochaux, Montpellier et Rennes.
  • Gazons maudits: les bonnets d’âne s’appellent pour l’instant Ajaccio, Saint-Etienne, Guingamps, Bordeaux, Nice, Marseille et Bastia.
  • Dans le ventre mou du classement, on retrouve Monaco, Evian/Thonon, Lille, Lyon, Reims, Toulouse et Valenciennes.
  • Enfin, Lorient, qui évolue sur une pelouse synthétique, n’a pas été intégré à l’évaluation.

Un classement revu après chaque journée

  • Les pelouses sont évaluées selon cinq critères : la trajectoire du ballon, la souplesse du terrain, la qualité des appuis, la qualité du tapis végétal auxquelles ils ajoutent une note d’appréciation globale.
  • Le classement des pelouses est établi à partir des notes attribuées après chaque journée «par les capitaines des équipes de Ligue 1, les entraîneurs, l’arbitre et le réalisateur du match», indique la LFP.

Pourquoi un tel classement?

La LFP prévient que «ce point d’étape doit nécessairement être pris avec toutes les précautions d’usage (…) et doit permettre à chaque club de se situer et de redoubler d’efforts alors que s’annonce la fin de la période hivernale, souvent la période la plus délicate sur le plan météorologique.»

Se rapprocher de l’exemple anglais

Cette récompense est honorifique, mais est plus qu’encourageante pour le PSG, qui a recruté Jonathan Calderwood, le meilleur jardinier du championnat anglais (2008 et 2012): les dirigeants parisiens veulent mettre la pelouse du Parc au même niveau que les stars qui la foulent. En juin 2014, le PSG doit s’équiper d’un terrain dernier cri, mi-naturel, mi-synthétique, fourni par une société néerlandaise, afin de se rapprocher des standards anglais.

http://www.lfp.fr/

Football: un premier championnat des pelouses

La Ligue professionnelle de football a lancé un championnat des pelouses à la mi-saison.

Dans le top du classement, le PSG.

Lanterne rouge, Bastia.

Pas repris, Lorient… et sa pelouse synthétique.

Cette année, la Ligue professionnelle  de football (LFP) a lancé un championnat des pelouses. Le premier classement de mi-saison est sur son site, découpé en trois  groupes, dans un ordre décroissant de qualité.

Pour se situer avant la période hivernale

La LFP prévient que «ce point d’étape doit nécessairement être pris avec toutes les précautions d’usage (…) et doit permettre à chaque club de se situer
et de redoubler d’efforts alors que s’annonce la fin de la période hivernale, souvent la période la plus délicate sur le plan météorologique.»

Le Jury

Le classement des pelouses est établi à partir des notes attribuées après chaque journée «par les capitaines des équipes de Ligue 1, les entraîneurs,
l’arbitre et le réalisateur du match», indique la LFP.

Les cinq critères

Les pelouses sont évaluées selon cinq critères :

  • la trajectoire du ballon,
  • la souplesse du terrain,
  • la qualité des appuis,
  • la qualité du tapis végétal
  • une note d’appréciation globale.

Le PSG dans les meilleurs grâce à son jardinier anglais

Du côté des meilleurs, on retrouve le PSG aux côtés de Nantes, Sochaux, Montpellier, Rennes. Il faut dire que le club de la capitale a recruté au printemps dernier Jonathan Calderwood, élu meilleur jardinier du championnat anglais en 2008 et 2012.

Une récompense encourageante pour les dirigeants parisiens qui veulent mettre la pelouse du Parc au même niveau que les stars qui la foulent. En juin 2014, le PSG doit s’équiper d’un terrain dernier cri, mi-naturel, mi-synthétique, fourni par une société néerlandaise, afin de se rapprocher des standards anglais.

Les « moyennes »

Dans la catégorie «pelouse moyenne», on retrouve Monaco, Evian/Thonon, Lille, Lyon, Reims, Toulouse et Valenciennes.

Les clubs corses à la traîne

Les bonnets d’âne s’appellent pour l’instant Ajaccio, Saint-Etienne, Guingamp, Bordeaux, Nice, Marseille et Bastia. Lorient, qui évolue sur une pelouse synthétique, n’a pas été intégré à l’évaluation.

La pelouse du PSG, gazon sacré

  • La Ligue professionnelle de football (LFP) a lancé cette année un « championnat » de la qualité des pelouses des clubs de Ligue 1.
  • Elle vient de publier un premier classement de mi-saison.
  • Le terrain du club parisien figure dans le classement de tête  

Ce classement des pelouses est établi à partir des notes attribuées après chaque journée «par les capitaines des équipes de Ligue 1, les entraîneurs, l’arbitre et le réalisateur du match», indique la Ligue.

Ceux-ci se basent sur cinq critères pour établir leurs préférences : la trajectoire du ballon, la souplesse du terrain, la qualité des appuis, la qualité du tapis végétal auxquelles ils ajoutent une note d’appréciation globale.

Le but est d’encourager les clubs à tout mettre en oeuvre pour améliorer la qualité de leurs pelouses alors que s’annonce la fin de la période hivernale, toujours très délicates pour le gazon.

Les résultats viennent d’être publiés sur le site de la LFP. Ils sont répartis en trois groupes par ordre décroissant.

Les « champs de patates »

A ce stade du championnat, les pelouses les moins bien cotées sont celles d’Ajaccio, de Saint-Etienne, de Guingamp, de Bordeaux, de Nice, de Marseille et de Bastia.

A noter que la pelouse synthétique de Lorient n’a pas été intégrée à l’évaluation.

Le ventre mou

Dans la catégorie «pelouse moyenne», on retrouve Monaco, Evian/Thonon, Lille, Lyon, Reims, Toulouse et Valenciennes.

Paris plébiscitée

Nantes, Sochaux, Montpellier et Rennes peuvent s’enorgueillir de figurer dans le TOP 5, où figure également le Paris Saint-Germain.

Une récompense encourageante pour les dirigeants parisiens qui ont recruté au printemps dernier Jonathan Calderwood, élu meilleur jardinier du championnat anglais en 2008 et 2012.

Un nouveau terrain en juin

L’objectif affiché est de mettre la pelouse du Parc de Princes au même niveau que les stars qui la foulent. En juin 2014, le PSG s’équipera d’ailleurs d’un terrain dernier cri, mi-naturel, mi-synthétique, fourni par une société néerlandaise. Un investissement qui devrait le rapprocher des standards britanniques.

La pelouse du PSG est excellente

  • Le gazon du PSG se situe parmi les meilleurs et compte concurrencer les pelouses anglaises.
  • Voici le classement de mi-saison en trois groupes.
  1. Les meilleurs, ceux qui ont l’herbe la plus verte  : Paris, Nantes, Sochaux, Montpellier et Rennes.
  2. Les moyens, ceux qui doivent persévérer : Monaco, Evian/Thonon, Lille, Lyon, Reims, Toulouse et Valenciennes.
  3. Les mauvais, ceux qui doivent cultiver leur jardin : Ajaccio, Saint-Etienne, Guingamp, Bordeaux, Nice, Marseille et Bastia. Lorient, qui évolue sur une pelouse synthétique, n’a pas été intégré à l’évaluation.

Quels sont les critères d’évaluation ?
Les pelouses sont évaluées selon cinq critères : la trajectoire du ballon, la souplesse du terrain, la qualité des appuis, la qualité du tapis végétal auxquelles est ajoutée une note d’appréciation globale. Après chaque journée, les notes sont attribuées «par les capitaines des équipes de Ligue 1, les entraîneurs, l’arbitre et le réalisateur du match», indique la Ligue.

Pourquoi le PSG se situe-t-il dans le groupe de tête (pour une fois) ?
Le club de la capitale a recruté au printemps dernier Jonathan Calderwood (alias Wood la main verte), élu meilleur jardinier du championnat anglais en 2008 et 2012. Les dirigeants parisiens veulent mettre la pelouse du Parc au même niveau que les stars qui la foulent. En juin 2014, le PSG doit s’équiper d’un terrain dernier cri, mi-naturel, mi-synthétique, fourni par une société néerlandaise, afin de se rapprocher des standards anglais.

Plus d’infos sur le site de la Ligue Professionnelle de Football

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