Vacances insolites : passez la nuit au chaud… dans un igloo !
Dormir sous un igloo quand le thermomètre affiche des températures négatives, la proposition n’est pas très chaleureuse et pourtant, en quête de dépaysement, de plus en plus de vacanciers se laissent séduire, comme dans la station du Semnoz, en Haute-Savoie, où a été installé un village d’igloos.
« N’oubliez pas, vous n’allez pas dormir dans un frigo, mais dans un congélateur ! », lance non sans humour le guide aux randonneurs en raquettes qui, après une brève balade au-dessus du lac d’Annecy, s’apprêtent à rejoindre par une nuit glaciale l’un des dix igloos installés à 1.700 mètres d’altitude. Mesurant trois mètres de diamètre et guère plus d’1,50 mètre de haut, les dômes de neige (construits au début de l’hiver grâce à un ballon gonflable recouvert de neige qui est ensuite dégonflé) peuvent accueillir – pour moins de 100 euros la nuit – jusqu’à cinq personnes.
La petite société Alpes Bivouac accueille aujourd’hui 3.000 clients par hiver, soit « dix fois plus qu’à ses débuts », se réjouit son créateur, Julien Perillat, ancien sportif de haut niveau et guide de moyenne montagne. Celui qui a été l’un des premiers à développer – et à breveter – ce type d’hébergement en France, a aujourd’hui fait des émules. En trois ans, une dizaine de projets similaires ont vu le jour dans les stations françaises, à l’image de Gourette dans les Pyrénées, qui pour la première fois cette saison propose des nuits dans des igloos avec en prime un bain chaud sous les étoiles. Dans les Alpes, la station de La Plagne accueille quant à elle six igloos à quelques mètres des pistes.
« L’aventure sans risque »…
Plus largement développé en Suisse, dans une version haut de gamme, l’igloo rappelle « le mythe de la cabane d’enfant. C’est l’aventure sans risque », avance, pour expliquer le phénomène, Sylvain Fauth, à la tête des igloos de La Plagne. « Les personnes viennent ici pour couper avec le confort du quotidien et avec l’envie de vivre une aventure insolite », à la manière des inuits qui construisaient leurs igloos pour se protéger du froid lors de la chasse, remarque Baptiste Turrel, d’Alpes Bivouac. Dans les igloos qu’il propose, une simple planche de bois surmontée d’un fin matelas gonflable fait office de sommier.
« C’est paradoxal, mais l’intérieur semble cosy et plutôt chaleureux », s’étonne Olivier Habert, un jeune habitant d’Annecy en ouvrant la porte en bois de l’igloo illuminé à la bougie, dans lequel la température descend rarement en-dessous de moins 5°C.
… Mais pas sans quelques désagréments
« On a l’impression de vivre une expérience hors du temps, d’être au bout du monde », s’enthousiasme de son côté une quinquagénaire, Marie Larue, agent immobilier dans le Loiret, en découvrant ce « cocon accueillant », avec peaux de bête, perdu dans une forêt de sapins loin du tumulte des villes. Sans eau, sans électricité et des toilettes sèches, la vie en pleine nature à cette altitude peut se révéler plus délicate qu’elle n’y paraît, découvrira finalement Mme Larue, qui n’a pas fermé l’œil de la nuit à cause du froid.
« Le plus surprenant, c’est ce silence de plomb », ajoute Stéphane Maurice, cadre commercial dans la région de Rouen. Habitué à dormir dans des hôtels spacieux, il reconnaît avoir eu l’angoisse d’être « étouffé » par le toit en neige, mais se dit ravi de « ce retour à l’essentiel et aux choses simples ».
Une vie d’inuit à seulement quelques kilomètres de la civilisation qui fait également fureur auprès des entreprises cherchant à souder leurs salariés, ont rapidement constaté les dirigeants d’Alpes Bivouac. Ils projettent de développer leur village 100% écolo dans d’autres stations.
La nuit en igloo, un effet boule de neige
Chapô – Dormir sous un igloo quand le thermomètre affiche des températures négatives, la proposition n’est pas très chaleureuse. Pourtant, de plus en plus de vacanciers se laissent séduire, comme dans la station du Semnoz, en Haute-Savoie, où a été installé un village d’igloos.
« N’oubliez pas vous n’allez pas dormir dans un frigo, mais dans un congélateur ! », lance non sans humour le guide aux randonneurs en raquettes qui, après une brève balade au-dessus du lac d’Annecy, s’apprêtent à rejoindre par une nuit glaciale l’un des dix igloos installés à 1.700 mètres d’altitude.
Mesurant trois mètres de diamètre et guère plus d’1,50 mètre de haut, les dômes de neige (construits au début de l’hiver grâce à un ballon gonflable recouvert de neige qui est ensuite dégonflé) peuvent accueillir jusqu’à cinq personnes, pour moins de 100 euros la nuit.
Un nouveau filon dans l’hébergement
La petite société Alpes Bivouac accueille aujourd’hui 3.000 clients par hiver, soit « dix fois plus qu’à ses débuts », se réjouit son créateur, Julien Perillat, ancien sportif de haut niveau et guide de moyenne montagne. Celui qui a été l’un des premiers à développer – et à breveter – ce type d’hébergement en France, a aujourd’hui fait des émules.
En trois ans, une dizaine de projets similaires ont vu le jour dans les stations françaises, à l’image de Gourette dans les Pyrénées, qui pour la première fois cette saison propose des nuits dans des igloos avec en prime un bain chaud sous les étoiles. Dans les Alpes, la station de La Plagne accueille quant à elle six igloos à quelques mètres des pistes.
Froid mais accueillant
Plus largement développé en Suisse, dans une version haut de gamme, l’igloo rappelle « le mythe de la cabane d’enfant. C’est l’aventure sans risque », avance, pour expliquer le phénomène, Sylvain Fauth, à la tête des igloos de La Plagne.
« Les personnes viennent ici pour couper avec le confort du quotidien et avec l’envie de vivre une aventure insolite », à la manière des inuits qui construisaient leurs igloos pour se protéger du froid lors de la chasse, remarque Baptiste Turrel, d’Alpes Bivouac. Dans les igloos qu’il propose, une simple planche de bois surmontée d’un fin matelas gonflable fait office de sommier.
« C’est paradoxal, mais l’intérieur semble cosy et plutôt chaleureux », s’étonne Olivier Habert, un jeune habitant d’Annecy en ouvrant la porte en bois de l’igloo illuminé à la bougie dans lequel la température descend rarement en-dessous de moins 5°C.
Un retour aux choses simples
« On a l’impression de vivre une expérience hors du temps, d’être au bout du monde », s’enthousiasme de son côté une quinquagénaire, Marie Larue, agent immobilier dans le Loiret, en découvrant ce « cocon accueillant », avec peaux de bête, perdu dans une forêt de sapins loin du tumulte des villes.
Sans eau, sans électricité et des toilettes sèches, la vie en pleine nature à cette altitude peut se révéler plus délicate qu’elle n’y paraît, découvrira finalement Mme Larue, qui n’a pas fermé l’oeil de la nuit à cause du froid.
« Le plus surprenant, c’est ce silence de plomb », ajoute Stéphane Maurice, cadre commercial dans la région de Rouen. Habitué à dormir dans des hôtels spacieux, il reconnaît avoir eu l’angoisse d’être « étouffé » par le toit en neige, mais se dit ravi de « ce retour à l’essentiel et aux choses simples ».
Une vie d’inuit à seulement quelques kilomètres de la civilisation qui fait également fureur auprès des entreprises cherchant à souder leurs salariés, ont rapidement constaté les dirigeants d’Alpes Bivouac, qui projettent de développer leur village 100% écolo dans d’autres stations.
L’igloo, une solution 100% écolo pour dormir autrement en vacances
Dormir sous un igloo quand le thermomètre affiche des températures négatives, la proposition n’est pas très chaleureuse et pourtant, en quête de dépaysement, de plus en plus de vacanciers se laissent séduire, comme dans la station du Semnoz, en Haute-Savoie, où a été installé un village d’igloos.
« N’oubliez pas vous n’allez pas dormir dans un frigo, mais dans un congélateur ! », lance non sans humour le guide aux randonneurs en raquettes qui, après une brève balade au-dessus du lac d’Annecy, s’apprêtent à rejoindre par une nuit glaciale l’un des dix igloos installés à 1.700 mètres d’altitude. Mesurant trois mètres de diamètre et guère plus d’1,50 mètre de haut, les dômes de neige (construits au début de l’hiver grâce à un ballon gonflable recouvert de neige qui est ensuite dégonflé) peuvent accueillir – pour moins de 100 euros la nuit – jusqu’à cinq personnes.
La petite société Alpes Bivouac accueille aujourd’hui 3.000 clients par hiver, soit « dix fois plus qu’à ses débuts », se réjouit son créateur, Julien Perillat, ancien sportif de haut niveau et guide de moyenne montagne.
Celui qui a été l’un des premiers à développer – et à breveter – ce type d’hébergement en France, a aujourd’hui fait des émules. En trois ans, une dizaine de projets similaires ont vu le jour dans les stations françaises, à l’image de Gourette dans les Pyrénées, qui pour la première fois cette saison propose des nuits dans des igloos avec en prime un bain chaud sous les étoiles. Dans les Alpes, la station de La Plagne accueille quant à elle six igloos à quelques mètres des pistes.
Couper avec le confort du quotidien
Plus largement développé en Suisse, dans une version haut de gamme, l’igloo rappelle « le mythe de la cabane d’enfant. C’est l’aventure sans risque », avance, pour expliquer le phénomène, Sylvain Fauth, à la tête des igloos de La Plagne. « Les personnes viennent ici pour couper avec le confort du quotidien et avec l’envie de vivre une aventure insolite », à la manière des inuits qui construisaient leurs igloos pour se protéger du froid lors de la chasse, remarque Baptiste Turrel, d’Alpes Bivouac. Dans les igloos qu’il propose, une simple planche de bois surmontée d’un fin matelas gonflable fait office de sommier.
« C’est paradoxal, mais l?intérieur semble cosy et plutôt chaleureux », s’étonne Olivier Habert, un jeune habitant d’Annecy en ouvrant la porte en bois de l’igloo illuminé à la bougie dans lequel la température descend rarement en-dessous de moins 5°C.
Etre au bout du monde
« On a l’impression de vivre une expérience hors du temps, d’être au bout du monde », s’enthousiasme de son côté une quinquagénaire, Marie Larue, agent immobilier dans le Loiret, en découvrant ce « cocon accueillant », avec peaux de bête, perdu dans une forêt de sapins loin du tumulte des villes. Sans eau, sans électricité et des toilettes sèches, la vie en pleine nature à cette altitude peut se révéler plus délicate qu’elle n’y paraît, découvrira finalement Mme Larue, qui n’a pas fermé l’oeil de la nuit à cause du froid. « Le plus surprenant, c’est ce silence de plomb », ajoute Stéphane Maurice, cadre commercial dans la région de Rouen. Habitué à dormir dans des hôtels spacieux, il reconnaît avoir eu l’angoisse d’être « étouffé » par le toit en neige, mais se dit ravi de « ce retour à l’essentiel et aux choses simples ».
Une vie d’inuit à seulement quelques kilomètres de la civilisation qui fait également fureur auprès des entreprises cherchant à souder leurs salariés, ont rapidement constaté les dirigeants d’Alpes Bivouac, qui projettent de développer leur village 100% écolo dans d’autres stations.
Haute-Savoie : offrez-vous une nuit insolite dans un village d’igloos
« N’oubliez pas vous n’allez pas dormir dans un frigo mais dans un congélateur! ». Dormir sous un igloo à 1700 mètres d’altitudes quand le thermomètre affiche des températures négatives, la proposition n’est pas très chaleureuse. Et pourtant, en quête de dépaysement, de plus en plus de vacanciers se laissent séduire. Notamment dans la station du Semnoz, en Haute-Savoie, où a été installé un village d’igloos.
Mesurant trois mètres de diamètre et guère plus d’1,50 mètre de haut, les dômes de neige peuvent accueillir – pour moins de 100 euros la nuit – jusqu’à cinq personnes. La petite société Alpes Bivouac accueille aujourd’hui 3.000 clients par hiver, soit « dix fois plus qu’à ses débuts », se réjouit son créateur, Julien Perillat, ancien sportif de haut niveau et guide de moyenne montagne. Celui qui a été l’un des premiers à développer – et à breveter – ce type d’hébergement en France, a aujourd’hui fait des émules.En trois ans, une dizaine de projets similaires ont en effet vu le jour dans les stations françaises, à l’image de Gourette dans les Pyrénées, qui pour la première fois cette saison propose des nuits dans des igloos avec en prime un bain chaud sous les étoiles. Dans les Alpes, la station de La Plagne accueille quant à elle six igloos à quelques mètres des pistes.
Couper avec le confort du quotidien
Plus largement développé en Suisse, l’igloo rappelle « le mythe de la cabane d’enfant. C’est l’aventure sans risque », avance, pour expliquer le phénomène, Sylvain Fauth, à la tête des igloos de La Plagne. « Les personnes viennent ici pour couper avec le confort du quotidien et avec l’envie de vivre une aventure insolite », à la manière des inuits qui construisaient leurs igloos pour se protéger du froid lors de la chasse, remarque Baptiste Turrel, d’Alpes Bivouac. Dans les igloos qu’il propose, une simple planche de bois surmontée d’un fin matelas gonflable fait office de sommier.
« C’est paradoxal, mais l’intérieur semble cosy et plutôt chaleureux », s’étonne Olivier Habert, un jeune habitant d’Annecy en ouvrant la porte en bois de l’igloo illuminé à la bougie. Un igloo dans lequel la température descend rarement en-dessous de moins 5°C. « On a l’impression de vivre une expérience hors du temps, d’être au bout du monde », s’enthousiasme de son côté une quinquagénaire, Marie Larue, en découvrant ce « cocon accueillant », avec peaux de bête, perdu dans une forêt de sapins loin du tumulte des villes.
« Le plus surprenant, c’est ce silence de plomb »
Sans eau, sans électricité et des toilettes sèches, la vie en pleine nature à cette altitude peut se révéler plus délicate qu’elle n’y paraît. Mme Larue n’a d’ailleurs pas fermé l’oeil de la nuit à cause du froid. « Le plus surprenant, c’est ce silence de plomb », ajoute Stéphane Maurice, cadre commercial dans la région de Rouen. Habitué à dormir dans des hôtels spacieux, il reconnaît avoir eu l’angoisse d’être « étouffé » par le toit en neige, mais se dit ravi de « ce retour à l’essentiel et aux choses simples ».
Une vie d’inuit à seulement quelques kilomètres de la civilisation ? Le projet fait fureur auprès des entreprises cherchant à souder leurs salariés. Les dirigeants d’Alpes Bivouac ont flairé l’affaire : ils projettent de développer leur village 100% écolo dans d’autres stations.
Dormir dans un igloo, une idée de week-end séduisante
Dormir sous un igloo quand le thermomètre affiche des températures négatives, la proposition n’est pas très chaleureuse et pourtant, en quête de dépaysement, de plus en plus de vacanciers se laissent séduire, comme dans la station du Semnoz, en Haute-Savoie, où a été installé un village d’igloos.
« N’oubliez pas vous n’allez pas dormir dans un frigo, mais dans un congélateur ! », lance non sans humour le guide aux randonneurs en raquettes qui, après une brève balade au-dessus du lac d’Annecy, s’apprêtent à rejoindre par une nuit glaciale l’un des dix igloos installés à 1.700 mètres d’altitude.
Mesurant trois mètres de diamètre et guère plus d’1,50 mètre de haut, les dômes de neige (construits au début de l’hiver grâce à un ballon gonflable recouvert de neige qui est ensuite dégonflé) peuvent accueillir – pour moins de 100 euros la nuit – jusqu’à cinq personnes.
De plus en plus de stations de ski s’y mettent
La petite société Alpes Bivouac accueille aujourd’hui 3.000 clients par hiver, soit « dix fois plus qu’à ses débuts », se réjouit son créateur, Julien Perillat, ancien sportif de haut niveau et guide de moyenne montagne.
Celui qui a été l’un des premiers à développer – et à breveter – ce type d’hébergement en France, a aujourd’hui fait des émules. En trois ans, une dizaine de projets similaires ont vu le jour dans les stations françaises, à l’image de Gourette dans les Pyrénées, qui pour la première fois cette saison propose des nuits dans des igloos avec en prime un bain chaud sous les étoiles. Dans les Alpes, la station de La Plagne accueille quant à elle six igloos à quelques mètres des pistes.
Couper avec le confort du quotidien mais…
Plus largement développé en Suisse, dans une version haut de gamme, l’igloo rappelle « le mythe de la cabane d’enfant. C’est l’aventure sans risque », avance, pour expliquer le phénomène, Sylvain Fauth, à la tête des igloos de La Plagne.
« Les personnes viennent ici pour couper avec le confort du quotidien et avec l’envie de vivre une aventure insolite », à la manière des inuits qui construisaient leurs igloos pour se protéger du froid lors de la chasse, remarque Baptiste Turrel, d’Alpes Bivouac. Dans les igloos qu’il propose, une simple planche de bois surmontée d’un fin matelas gonflable fait office de sommier.
« C’est paradoxal, mais l’intérieur semble cosy et plutôt chaleureux », s’étonne Olivier Habert, un jeune habitant d’Annecy en ouvrant la porte en bois de l’igloo illuminé à la bougie dans lequel la température descend rarement en-dessous de moins 5°C.
…dormir dans un silence de plomb
« On a l’impression de vivre une expérience hors du temps, d’être au bout du monde », s’enthousiasme de son côté une quinquagénaire, Marie Larue, agent immobilier dans le Loiret, en découvrant ce « cocon accueillant », avec peaux de bête, perdu dans une forêt de sapins loin du tumulte des villes.
Sans eau, sans électricité et des toilettes sèches, la vie en pleine nature à cette altitude peut se révéler plus délicate qu’elle n’y paraît, découvrira finalement Mme Larue, qui n’a pas fermé l’oeil de la nuit à cause du froid.
« Le plus surprenant, c’est ce silence de plomb », ajoute Stéphane Maurice, cadre commercial dans la région de Rouen. Habitué à dormir dans des hôtels spacieux, il reconnaît avoir eu l’angoisse d’être « étouffé » par le toit en neige, mais se dit ravi de « ce retour à l’essentiel et aux choses simples ».
Une vie d’inuit à seulement quelques kilomètres de la civilisation qui fait également fureur auprès des entreprises cherchant à souder leurs salariés, ont rapidement constaté les dirigeants d’Alpes Bivouac, qui projettent de développer leur village 100% écolo dans d’autres stations.
VIDEO. Oui, un igloo, c’est du solide. La preuve :
Ailleurs sur le web :
→ Apprendre à construire un igloo
→ Magnifiques photos d’igloo
Dormir dans un igloo : une expérience insolite pour vos vacances
Dormir sous un igloo quand le thermomètre affiche des températures négatives, la proposition n’est pas très chaleureuse et pourtant, en quête de dépaysement, de plus en plus de vacanciers se laissent séduire, comme dans la station du Semnoz, en Haute-Savoie, où a été installé un village d’igloos.
« N’oubliez pas vous n’allez pas dormir dans un frigo, mais dans un congélateur ! », lance non sans humour le guide aux randonneurs en raquettes qui, après une brève balade au-dessus du lac d’Annecy, s’apprêtent à rejoindre par une nuit glaciale l’un des dix igloos installés à 1.700 mètres d’altitude. Mesurant trois mètres de diamètre et guère plus d’1,50 mètre de haut, les dômes de neige (construits au début de l’hiver grâce à un ballon gonflable recouvert de neige qui est ensuite dégonflé) peuvent accueillir – pour moins de 100 euros la nuit – jusqu’à cinq personnes.
La petite société Alpes Bivouac accueille aujourd’hui 3.000 clients par hiver, soit « dix fois plus qu’à ses débuts », se réjouit son créateur, Julien Perillat, ancien sportif de haut niveau et guide de moyenne montagne. Celui qui a été l’un des premiers à développer – et à breveter – ce type d’hébergement en France, a aujourd’hui fait des émules. En trois ans, une dizaine de projets similaires ont vu le jour dans les stations françaises, à l’image de Gourette dans les Pyrénées, qui pour la première fois cette saison propose des nuits dans des igloos avec en prime un bain chaud sous les étoiles. Dans les Alpes, la station de La Plagne accueille quant à elle six igloos à quelques mètres des pistes.
Couper avec le confort du quotidien
Plus largement développé en Suisse, dans une version haut de gamme, l’igloo rappelle « le mythe de la cabane d’enfant. C’est l’aventure sans risque », avance, pour expliquer le phénomène, Sylvain Fauth, à la tête des igloos de La Plagne. « Les personnes viennent ici pour couper avec le confort du quotidien et avec l’envie de vivre une aventure insolite », à la manière des inuits qui construisaient leurs igloos pour se protéger du froid lors de la chasse, remarque Baptiste Turrel, d’Alpes Bivouac. Dans les igloos qu’il propose, une simple planche de bois surmontée d’un fin matelas gonflable fait office de sommier.
« C’est paradoxal, mais l’intérieur semble cosy et plutôt chaleureux », s’étonne Olivier Habert, un jeune habitant d’Annecy en ouvrant la porte en bois de l’igloo illuminé à la bougie dans lequel la température descend rarement en-dessous de moins 5°C.
L’impression d’être au bout du monde
« On a l’impression de vivre une expérience hors du temps, d’être au bout du monde », s’enthousiasme de son côté une quinquagénaire, Marie Larue, agent immobilier dans le Loiret, en découvrant ce « cocon accueillant », avec peaux de bête, perdu dans une forêt de sapins loin du tumulte des villes. Sans eau, sans électricité et des toilettes sèches, la vie en pleine nature à cette altitude peut se révéler plus délicate qu’elle n’y paraît, découvrira finalement Mme Larue, qui n’a pas fermé l’oeil de la nuit à cause du froid. « Le plus surprenant, c’est ce silence de plomb », ajoute Stéphane Maurice, cadre commercial dans la région de Rouen. Habitué à dormir dans des hôtels spacieux, il reconnaît avoir eu l’angoisse d’être « étouffé » par le toit en neige, mais se dit ravi de « ce retour à l’essentiel et aux choses simples ».
Une vie d’inuit à seulement quelques kilomètres de la civilisation qui fait également fureur auprès des entreprises cherchant à souder leurs salariés, ont rapidement constaté les dirigeants d’Alpes Bivouac, qui projettent de développer leur village 100% écolo dans d’autres stations.
Plus d’infos, tarifs et réservations sur le site d’Alpes Bivouac
L’igloo séduit les vacanciers d’hiver
Les yourtes de Mongolie ont conquis les aficionados de tourisme « décalé ». À leur tour, les igloos, ces habitations inuits, font leur apparition dans les stations de sport d’hiver françaises. Ce concept écolo initié en Suisse attire les vacanciers, adeptes de nouvelles expériences et soucieux de leur environnement. Analyse d’un phénomène qui prend de l’ampleur en cette période hivernale.
N’oubliez pas vous n’allez pas dormir dans un frigo, mais dans un congélateur ! », lance non sans humour le guide aux randonneurs en raquettes qui, après une brève balade au-dessus du lac d’Annecy, s’apprêtent à rejoindre par une nuit glaciale l’un des dix igloos installés à 1.700 mètres d’altitude. Mesurant trois mètres de diamètre et guère plus d’1,50 mètre de haut, les dômes de neige (construits au début de l’hiver grâce à un ballon gonflable recouvert de neige qui est ensuite dégonflé) peuvent accueillir – pour moins de 100 euros la nuit – jusqu’à cinq personnes.
La petite société Alpes Bivouac accueille aujourd’hui 3.000 clients par hiver, soit « dix fois plus qu’à ses débuts », se réjouit son créateur, Julien Perillat, ancien sportif de haut niveau et guide de moyenne montagne. Celui qui a été l’un des premiers à développer – et à breveter – ce type d’hébergement en France, a aujourd’hui fait des émules. En trois ans, une dizaine de projets similaires ont vu le jour dans les stations françaises, à l’image de Gourette dans les Pyrénées, qui pour la première fois cette saison propose des nuits dans des igloos avec en prime un bain chaud sous les étoiles. Dans les Alpes, la station de La Plagne accueille quant à elle six igloos à quelques mètres des pistes.
Couper avec le confort du quotidien
Plus largement développé en Suisse, dans une version haut de gamme, l’igloo rappelle « le mythe de la cabane d’enfant. C’est l’aventure sans risque », avance, pour expliquer le phénomène, Sylvain Fauth, à la tête des igloos de La Plagne. »Les personnes viennent ici pour couper avec le confort du quotidien et avec l’envie de vivre une aventure insolite », à la manière des inuits qui construisaient leurs igloos pour se protéger du froid lors de la chasse, remarque Baptiste Turrel, d’Alpes Bivouac. Dans les igloos qu’il propose, une simple planche de bois surmontée d’un fin matelas gonflable fait office de sommier. « C’est paradoxal, mais l’intérieur semble cosy et plutôt chaleureux », s’étonne Olivier Habert, un jeune habitant d’Annecy en ouvrant la porte en bois de l’igloo illuminé à la bougie dans lequel la température descend rarement en-dessous de moins 5°C.
L’impression d’être au bout du monde
« On a l’impression de vivre une expérience hors du temps, d’être au bout du monde », s’enthousiasme de son côté une quinquagénaire, Marie Larue, agent immobilier dans le Loiret, en découvrant ce « cocon accueillant », avec peaux de bête, perdu dans une forêt de sapins loin du tumulte des villes. Sans eau, sans électricité et des toilettes sèches, la vie en pleine nature à cette altitude peut se révéler plus délicate qu’elle n’y paraît, découvrira finalement Mme Larue, qui n’a pas fermé l’œil de la nuit à cause du froid.
« Le plus surprenant, c’est ce silence de plomb », ajoute Stéphane Maurice, cadre commercial dans la région de Rouen. Habitué à dormir dans des hôtels spacieux, il reconnaît avoir eu l’angoisse d’être « étouffé » par le toit en neige, mais se dit ravi de « ce retour à l’essentiel et aux choses simples ».
Une vie d’inuit à seulement quelques kilomètres de la civilisation qui fait également fureur auprès des entreprises cherchant à souder leurs salariés, ont rapidement constaté les dirigeants d’Alpes Bivouac, qui projettent de développer leur village 100% écolo dans d’autres stations.
Elle découvre son dossier médical sur Internet
Un médecin examine un patient. JAUBERT/SIPA
SANTE – Une patiente a eu la mauvaise surprise de découvrir son dossier médical en ligne, lorsqu’elle a tapé son nom sur Google. Un document censé rester confidentiel.
La notion de vie privée a-t-elle toujours un sens sur Internet ? La question se pose sérieusement après la découverte du dossier médical rendu public sur la toile de Sandra, une mère de famille de 37 ans. « Pâleur cutanée, signe de détresse respiratoire, cyanose du visage, transfert en réanimation », voilà ce qu’a pu lire cette Ardéchoise, après avoir tapé son nom sur Google au mois de février dernier.
Des dizaines de patients concernés
Elle a notamment atterri sur des données confidentielles concernant son accouchement à l’hôpital nord de Marseille. Des données, qu’elle pouvait modifier ou supprimer. « Elle se souvient qu’elle a pu dérouler un menu qui, manifestement, concernait des dizaines de patients », écrit La Provence, qui a révélé cette affaire.
La mère de famille a déposé plainte à la gendarmerie de son lieu de résidence à Bourg-Saint-Andéol (Ardèche). Joint par les militaires, un directeur de l’hôpital marseillais a alors promis de mener une enquête. Et visiblement, il pourrait s’agir d’un dossier sur les enfants prématurés qui s’est retrouvé par erreur sur le web.
La justice va être saisie
« Les médecins qui ont mené cette étude l’ont fait héberger à l’extérieur de l’hôpital par un site qui n’avait pas pris toutes les précautions pour en garantir la confidentialité. Depuis, l’erreur a été rectifiée », explique Jean-Michel Budet, directeur général adjoint de l’Assistance publique des hôpitaux de Marseille à La Provence. L’avocat de la patiente va tout de même saisir la justice et la Commission nationale informatique et liberté (CNIL).
Le reportage de BFM TV sur le sujet :
Jambon beurre et fast food écrasent la restauration traditionnelle
CONSOMMATION – Fast food, snack ou boulangerie, le marché de la restauration rapide a dépassé en 2012 celui des brasseries et des restaurants. Une évolution qui s’explique par des prix plus bas mais aussi par une montée en gamme du sandwich.
Le snack et le fast food ont conquis la France. Voilà déjà un moment que l’Hexagone est le deuxième marché de McDonald’s après les Etats-Unis. Mais le succès du géant américain n’est pas suffisant pour comprendre comment le marché de la restauration rapide, qui a représenté 34 milliards d’euros de ventes en France en 2012, a dépassé celui de la restauration traditionnelle avec service à table, ainsi que l’a révélé une étude du cabinet spécialisé Gira conseil, publiée jeudi.
« Malgré un ralentissement et une conjoncture économique peu optimiste, le marché de la restauration rapide fait encore bonne figure en 2012″ avec une croissance de près de 4% des ventes, relève l’étude. « Cette croissance est très supérieure à celle de l’ensemble de la restauration », détaille le directeur du cabinet Bernard Boutboul, ajoutant que le service au comptoir pèse désormais 54% des ventes de la restauration.
Le jambon-beurre, champion incontesté des sandwitchs
Le marché du sandwich fait encore mieux avec une croissance de plus de 6% à 7 milliards d’euros en 2012 et une consommation en hausse de 4%, tous circuits de distribution confondus. Un succès qui n’est pas dû qu’à la crise selon M. Boutboul, mais aussi à « la montée en gamme du produit, qui se diversifie, notamment avec le pain ». Il s’est consommé 2,105 milliards de sandwichs l’année dernière, pour un prix moyen de 3,34 euros (+2,14%).
Le jambon-beurre, qui représente plus de la moitié (62%) des sandwiches consommés en France, coûte en moyenne 2,68 euros, soit 1,5% plus cher que l’année d’avant, selon l’indice de Gira conseil publié à l’occasion de la présentation du salon du sandwich. Ce sandwich emblématique reste plus cher de 6,15% dans les grandes agglomérations. Dans le détail, le moins cher est a Saint-Brieuc (2,20 euros) et le plus cher a Paris (3,26 euros en moyenne).
Cafés et restaurants en recul
Pour les sandwiches, les parts de marché des cafés et restaurants reculent au détriment de celles des grandes surfaces en raison du prix, note M. Boutboul. Le sandwich se laisse cependant dépasser par les pâtes : pour un sandwich, trois plats de pâtes ont été consommés l’an dernier, selon l’étude. Les consommateurs se tournent aussi de plus en plus vers les boulangeries, attirés par la qualité.
Au niveau des tendances, la livraison au bureau décolle, tout comme le phénomène des camions ambulants, « ce qui marche c’est de se déplacer là où le consommateur en a besoin », explique M. Boutboul. Le salon professionnel Sandwich&Snack show se tiendra à Paris (Porte de Versailles) les 20 et 21 mars.