Brevet des collèges : ce qui va changer

L’examen du brevet national des collèges va évoluer en juin 2013, a-ton-appris mardi auprès du ministère de l’Education nationale. Metro fait le point sur les changements annoncés.

1. Une dictée plus longue

En français, la dictée sera plus longue, révèle mardi RTL. Elle passera de 600 à 800 caractères; deux sujets de rédaction seront proposés au choix de l’élève (un d’imagination, l’autre de réflexion), mais ils ne comporteront plus de consignes explicitées, comme auparavant.

De plus, un questionnaire laissera la place aux réactions personnelles de l’élève face au texte proposé. L’épreuve de français dure trois heures.

2. Davantage d’exercices de maths

L’épreuve de mathématiques, qui dure deux heures, comptera un plus grand nombre d’exercices (dix contre six). Ceux-ci seront conçus de façon indépendante, afin qu’il ne soit pas nécessaire de réussir le premier pour pouvoir faire les autres.

L’un au moins de ces exercices sera « une tâche +complexe+ », pour laquelle « l’élève n’est pas guidé; il doit utiliser connaissances et savoir-faire différents », précise le ministère.

3. Histoire, géographie et instruction civique obligatoires

Autre évolution, l’épreuve d’histoire-géographie se déclinera désormais en trois disciplines (histoire, géographie et instruction civique) qui devront obligatoirement être traitées chacune par l’élève. Auparavant il avait le choix entre histoire et géographie. L’épreuve dure toujours 2 heures.

 

L’Education nationale réforme le brevet des collèges

L’examen du brevet national des collèges va évoluer en juin 2013. Les épreuves de français de mathématiques, d’histoire-géographie et d’instruction civiques vont être modifiées.

C’est une petite révolution dans le monde scolaire. Le ministère de l’Education nationale a annoncé mardi que l’examen du brevet des collèges allait connaître quelques modifications.

Français : une dictée plus longue et en questionnaire

Selon RTL, la traditionnelle dictée de français va être plus longue. Elle passera de 600 à 800 caractères; deux sujets de rédaction seront proposés au choix de l’élève (un d’imagination, l’autre de réflexion), mais ils ne comporteront plus de consignes explicitées, comme auparavant.

Mathématiques : plus d’exercices et plus d’autonomie

De plus, un questionnaire laissera la place aux réactions personnelles de l’élève face au texte proposé. L’épreuve de français dure trois heures.

L’épreuve de mathématiques, qui dure deux heures, comptera un plus grand nombre d’exercices (dix contre six). Ceux-ci seront conçus de façon indépendante, afin qu’il ne soit pas nécessaire de réussir le premier pour pouvoir faire les autres.

L’un au moins de ces exercices sera « une tâche complexe », pour laquelle « l’élève n’est pas guidé; il doit utiliser connaissances et savoir-faire différents », précise le ministère.

Histoire, géographie et instruction civique : trois épreuves distinctes

Autre évolution, l’épreuve d’histoire-géographie se déclinera désormais en trois disciplines (histoire, géographie et instruction civique) qui devront obligatoirement être traitées chacune par l’élève. Auparavant il avait le choix entre histoire et géographie. L’épreuve dure toujours 2 heures.

Les sujets de ce diplôme retouché porteront sur les nouveaux programmes de 3e et permettront d’évaluer les compétences du socle commun défini pour ce niveau (maîtrise de la langue française, culture humaniste…).

En 2010, 83,3% de réussite à l’examen

En 2011, 750.000 élèves de 3e avaient passé l’examen du brevet, qui avait constitué un tournant, avec une nouvelle épreuve obligatoire: l’histoire des arts, qui se déroule à l’oral. L’enseignement de l’histoire des arts est obligatoire dans les écoles primaires depuis 2008 et dans les collèges depuis la rentrée 2009.

Premier grand diplôme de la scolarité française, le diplôme national du brevet (DNB) évalue les connaissances et compétences acquises à la fin du collège. Il est constitué des épreuves nationales de fin d’année ainsi que d’un contrôle continu tout au long de l’année scolaire. En 2010, 623.400 élèves toutes séries confondues (séries collège, technologique et professionnelle) avaient été admis à l’examen, soit un taux de réussite globale de 83,3%, en légère augmentation par rapport à l’année précédente.

 

Brevet des collèges : des nouveautés pour 2013

Pour le brevet national des collèges, le changement, c’est pour 2013. Le ministère de l’Education nationale a en effet annoncé que l’examen national du brevet national des collèges (DNB) – constitué des épreuves nationales de fin d’année ainsi que d’un contrôle continu – évoluerait en juin 2013. Dictée plus longue, exercices de mathématiques plus nombreux… Metro fait le point.

  • Dictée plus longue 

Selon RTL, la dictée sera plus longue. Elle passera de 600 à 800 caractères; deux sujets de rédaction seront proposés au choix de l’élève (un d’imagination, l’autre de réflexion), mais ils ne comporteront plus de consignes explicitées, comme auparavant.

De plus, un questionnaire laissera la place aux réactions personnelles de l’élève face au texte proposé. L’épreuve de français dure trois heures.

  • Exercices de math’ plus nombreux 

L’épreuve de mathématiques, qui dure deux heures, comptera un plus grand nombre d’exercices (dix contre six). Ceux-ci seront conçus de façon indépendante, afin qu’il ne soit pas nécessaire de réussir le premier pour pouvoir faire les autres.

L’un au moins de ces exercices sera « une tâche +complexe+ », pour laquelle « l’élève n’est pas guidé; il doit utiliser connaissances et savoir-faire différents », précise le ministère.

  • Histoire-géo et… instruction civique

Cette épreuve se déclinera désormais en trois disciplines (histoire, géographie et instruction civique) qui devront obligatoirement être traitées chacune par l’élève. Auparavant il avait le choix entre histoire et géographie. L’épreuve dure toujours 2 heures.

En 2011, 750.000 élèves de 3e avaient passé l’examen du brevet, qui avait constitué un tournant, avec une nouvelle épreuve obligatoire: l’histoire des arts, qui se déroule à l’oral. L’enseignement de l’histoire des arts est obligatoire dans les écoles primaires depuis 2008 et dans les collèges depuis la rentrée 2009.

 

Brevet des collèges, ce qui va changer en 2013

Français, maths, histoire-géo : dès juin prochain, l’examen se corse pour les 750 000 élèves de troisième

L’examen du brevet national des collèges va évoluer en juin 2013, avec une dictée plus longue, des exercices de mathématiques plus nombreux et une épreuve d’histoire, de géographie et d’instruction civique, a-t-on appris mardi auprès du ministère de l’Education nationale.

Des changements dans toutes les matières

  • Français : dictée rallongée, rédaction plus libre et questionnaire

En français, la dictée sera plus longue, révèle mardi RTL. Elle passera de 600 à 800 caractères; deux sujets de rédaction seront proposés au choix de l’élève (un d’imagination, l’autre de réflexion), mais ils ne comporteront plus de consignes explicitées, comme auparavant.

De plus, un questionnaire laissera la place aux réactions personnelles de l’élève face au texte proposé. L’épreuve de français dure trois heures.

  • Maths : davantage d’exercices et des « taches complexes »

L’épreuve de mathématiques, qui dure deux heures, comptera un plus grand nombre d’exercices (dix contre six). Ceux-ci seront conçus de façon indépendante, afin qu’il ne soit pas nécessaire de réussir le premier pour pouvoir faire les autres.

L’un au moins de ces exercices sera « une tâche +complexe+ », pour laquelle « l’élève n’est pas guidé; il doit utiliser connaissances et savoir-faire différents », précise le ministère.

  • Histoire, géo et instruction civique : fini de choisir

Autre évolution, l’épreuve d’histoire-géographie se déclinera désormais en trois disciplines (histoire, géographie et instruction civique) qui devront obligatoirement être traitées chacune par l’élève. Auparavant il avait le choix entre histoire et géographie. L’épreuve dure toujours 2 heures.

Une épreuve orale depuis 2011

Les sujets de ce diplôme retouché porteront sur les nouveaux programmes de 3e et permettront d’évaluer les compétences du socle commun défini pour ce niveau (maîtrise de la langue française, culture humaniste…).

En 2011, 750.000 élèves de 3e avaient passé l’examen du brevet, qui avait constitué un tournant, avec une nouvelle épreuve obligatoire: l’histoire des arts, qui se déroule à l’oral. L’enseignement de l’histoire des arts est obligatoire dans les écoles primaires depuis 2008 et dans les collèges depuis la rentrée 2009.

83,3% de réussite pour ce « premier diplôme »

Premier grand diplôme de la scolarité française, le diplôme national du brevet (DNB) évalue les connaissances et compétences acquises à la fin du collège. Il est constitué des épreuves nationales de fin d’année ainsi que d’un contrôle continu tout au long de l’année scolaire.

En 2010, 623.400 élèves toutes séries confondues (séries collège, technologique et professionnelle) avaient été admis à l’examen, soit un taux de réussite globale de 83,3%, en légère augmentation par rapport à l’année précédente. Le DNB ne conditionne pas l’accès à la classe de seconde.

Un brevet des collèges plus complet dès 2013

Plus d’exercices et de réflexion seront demandés aux collégiens de 3e

L’examen du brevet national des collèges va évoluer en juin 2013, avec une dictée plus longue, des exercices de mathématiques plus nombreux et une épreuve d’histoire, de géographie et d’instruction civique, a-t-on appris mardi auprès du ministère de l’Education nationale. Les sujets de ce diplôme retouché porteront sur les nouveaux programmes de 3e et permettront d’évaluer les compétences du socle commun défini pour ce niveau (maîtrise de la langue française, culture humaniste…).

Français : une dictée, deux rédactions au choix et un questionnaire

En français, la dictée sera plus longue, révèle mardi RTL. Elle passera de 600 à 800 caractères; deux sujets de rédaction seront proposés au choix de l’élève (un d’imagination, l’autre de réflexion), mais ils ne comporteront plus de consignes explicitées, comme auparavant. De plus, un questionnaire laissera la place aux réactions personnelles de l’élève face au texte proposé. L’épreuve de français dure trois heures.

Maths : dix exercices indépendants

L’épreuve de mathématiques, qui dure deux heures, comptera un plus grand nombre d’exercices (dix contre six). Ceux-ci seront conçus de façon indépendante, afin qu’il ne soit pas nécessaire de réussir le premier pour pouvoir faire les autres. L’un au moins de ces exercices sera « une tâche +complexe+ », pour laquelle « l’élève n’est pas guidé; il doit utiliser connaissances et savoir-faire différents », précise le ministère.

Histoire ET géographie ET instruction civique

Autre évolution, l’épreuve d’histoire-géographie se déclinera désormais en trois disciplines (histoire, géographie et instruction civique) qui devront obligatoirement être traitées chacune par l’élève. Auparavant il avait le choix entre histoire et géographie. L’épreuve dure toujours 2 heures.

L’histoire des arts obligatoire depuis 2011

En 2011, 750.000 élèves de 3e avaient passé l’examen du brevet, qui avait constitué un tournant, avec une nouvelle épreuve obligatoire: l’histoire des arts, qui se déroule à l’oral. L’enseignement de l’histoire des arts est obligatoire dans les écoles primaires depuis 2008 et dans les collèges depuis la rentrée 2009.

Un diplôme évaluateur avant tout

Premier grand diplôme de la scolarité française, le diplôme national du brevet (DNB) évalue les connaissances et compétences acquises à la fin du collège. Il est constitué des épreuves nationales de fin d’année ainsi que d’un contrôle continu tout au long de l’année scolaire. Le DNB ne conditionne pas l’accès à la classe de seconde.

En 2010, 623.400 élèves toutes séries confondues (séries collège, technologique et professionnelle) avaient été admis à l’examen, soit un taux de réussite globale de 83,3%, en légère augmentation par rapport à l’année précédente.

 

Mobile : SFR muscle son offre à bas prix face à Free

 

Le numéro 2 de la téléphonie mobile renforce ses forfaits Red et son offre internationale pour concurrencer le nouvel opérateur

Pas de trêve dans la guerre des prix. SFR, numéro deux français du mobile, qui a vu un quatrième opérateur, Free, arriver sur le marché avec des tarifs très agressifs, va renforcer ses offres sur le segment low cost. «Nous avons fait 16% de nos ventes sur ces offres low cost et cela pourrait monter jusqu’à 30%, donc il y a lieu de se renforcer dans ce segment-là», explique Franck Cadoret, le directeur général grand public et professionnels de SFR. Selon lui, «le marché du mobile français est en train de se segmenter entre les offres full service, low cost ou dédiées à l’international».

Internet, appels et SMS illimités pour 19,90 euros

La marque Red, qui propose des forfaits à bas coût, sans mobiles subventionnés, compte 200 000 abonnés au premier trimestre, indique l’opérateur. Dès la semaine prochaine, l’accès à l’internet mobile sera ajoutée à cette offre qui propose déjà les appels et les SMS illimités pour 19,90 euros. «Dans une semaine on ajoutera l’accès à la data pour l’offre Red à 19,99 euros par mois. Nous allons en donner plus pour le même prix», assure Franck Cadoret.

Buzz Mobile, une offre dédiée à l’international

Pour conquérir de nouveaux clients, SFR va également lancer le 5 juin une nouvelle société filiale, Buzz Mobile, spécialisée dans les appels internationaux et destinée aussi bien aux touristes qu’aux personnes qui appellent souvent à l’étranger avec des «tarifs très agressifs». Ces cartes prépayées seront vendues sur internet, dans les réseaux de distribution spécialisés et dans les lieux de tourisme.

Côté bilan, l’opérateur filiale de Vivendi a rapporté lundi soir la perte de 620 000 clients mobiles, dont 274 000 abonnés, au premier trimestre 2012, après l’arrivée tonitruante sur le marché de Free Mobile (Iliad).

Damien Meyer

Forfait : face à Free, SFR renforce son offre illimitée

SFR, numéro deux du mobile français, renforce ses offres sur le segment low cost en ajoutant l’accès à l’internet mobile à l’offre illimitée de la marque Red.

Pas de trêve dans la guerre des prix. SFR, numéro deux français du mobile, qui a vu un quatrième opérateur, Free, arriver sur le marché avec des tarifs très agressifs, va renforcer ses offres sur le segment low cost. «Nous avons fait 16% de nos ventes sur ces offres low cost et cela pourrait monter jusqu’à 30%, donc il y a lieu de se renforcer dans ce segment-là», explique Franck Cadoret, le directeur général grand public et professionnels de SFR. Selon lui, «le marché du mobile français est en train de se segmenter entre les offres full service, low cost ou dédiées à l’international».

Création de Buzz Mobile

La marque Red, qui propose des forfaits à bas coût, sans mobiles subventionnés, compte 200 000 abonnés au premier trimestre, indique l’opérateur. Dès la semaine prochaine, l’accès à l’internet mobile sera ajoutée à cette offre qui propose déjà les appels et les SMS illimités pour 19,90 euros. «Dans une semaine on ajoutera l’accès à la data pour l’offre Red à 19,99 euros par mois. Nous allons en donner plus pour le même prix», assure Franck Cadoret.

Pour conquérir de nouveaux clients, SFR va également lancer le 5 juin une nouvelle société filiale, Buzz Mobile, spécialisée dans les appels internationaux et destinée aussi bien aux touristes qu’aux personnes qui appellent souvent à l’étranger avec des «tarifs très agressifs». Ces cartes prépayées seront vendues sur internet, dans les réseaux de distribution spécialisés et dans les lieux de tourisme.

Côté bilan, l’opérateur filiale de Vivendi a rapporté lundi soir la perte de 620 000 clients mobiles, dont 274 000 abonnés, au premier trimestre 2012, après l’arrivée tonitruante sur le marché de Free Mobile (Iliad).

SFR veut concurrencer l’offre low cost de Free

Le numéro 2 français du mobile va renforcer son offre low cost en proposant plus que Free pour le même prix

Après l’arrivée de Free sur le marché du mobile avec des tarifs très agressifs, SFR va renforcer ses offres sur le segment low cost,  a indiqué mardi l’un de ses dirigeants. «Nous avons fait 16% de nos ventes sur ces offres low cost et cela pourrait monter jusqu’à 30%, donc il y a lieu de se renforcer dans ce segment-là», explique Franck Cadoret, le directeur général grand public et professionnels de SFR. Selon lui, «le marché du mobile français est en train de se segmenter entre les offres full service, low cost ou dédiées à l’international».

Proposer plus pour 19,99 euros par mois

La marque Red, qui propose des forfaits à bas coût, sans mobiles subventionnés, compte 200 000 abonnés au premier trimestre, indique l’opérateur. Dès la semaine prochaine, l’accès à l’internet mobile sera ajoutée à cette offre qui propose déjà les appels et les SMS illimités pour 19,90 euros. «Dans une semaine on ajoutera l’accès à la data pour l’offre Red à 19,99 euros par mois. Nous allons en donner plus pour le même prix», assure Franck Cadoret.

Lancement des cartes prépayées Buzz Mobile

Pour conquérir de nouveaux clients, SFR va également lancer le 5 juin une nouvelle société filiale, Buzz Mobile, spécialisée dans les appels internationaux et destinée aussi bien aux touristes qu’aux personnes qui appellent souvent à l’étranger avec des «tarifs très agressifs». Ces cartes prépayées seront vendues sur internet, dans les réseaux de distribution spécialisés et dans les lieux de tourisme.

SFR accuse une perte massive de clients

Côté bilan, l’opérateur filiale de Vivendi a rapporté lundi soir la perte de 620 000 clients mobiles, dont 274 000 abonnés, au premier trimestre 2012, après l’arrivée tonitruante sur le marché de Free Mobile (Iliad).

Damien Meyer

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