Mobile : face à Free, SFR mise sur des forfaits pas chers

 

Le numéro 2 français de la téléphonie mobile va renforcer ses offres low cost, a indiqué mardi l’un de ses dirigeants. L’opérateur a perdu des centaines de milliers de clients avec l’arrivée de Free sur le marché.

Pas de trêve dans la guerre des prix. SFR, numéro deux français du téléphone portable, qui a vu un quatrième opérateur, Free, arriver sur le marché avec des tarifs très agressifs, va renforcer ses offres sur le segment low cost. «Nous avons fait 16% de nos ventes sur ces offres low cost et cela pourrait monter jusqu’à 30%, donc il y a lieu de se renforcer dans ce segment-là», explique Franck Cadoret, le directeur général grand public et professionnels de SFR. Selon lui, «le marché du mobile français est en train de se segmenter entre les offres full service, low cost ou dédiées à l’international».

L’internet mobile intégré à l’offre Red

La marque Red, qui propose des forfaits à bas coût, sans téléphones portables subventionnés, compte 200 000 abonnés au premier trimestre, indique l’opérateur. Dès la semaine prochaine, l’accès à l’internet mobile sera ajoutée à cette offre qui propose déjà les appels et les SMS illimités pour 19,90 euros. «Dans une semaine on ajoutera l’accès à la data pour l’offre Red à 19,99 euros par mois. Nous allons en donner plus pour le même prix», assure Franck Cadoret.

620 000 clients perdus

Pour conquérir de nouveaux clients, SFR va également lancer le 5 juin une nouvelle société filiale, Buzz Mobile, spécialisée dans les appels internationaux et destinée aussi bien aux touristes qu’aux personnes qui appellent souvent à l’étranger avec des «tarifs très agressifs». Ces cartes prépayées seront vendues sur internet, dans les réseaux de distribution spécialisés et dans les lieux de tourisme.

Côté bilan, l’opérateur filiale de Vivendi a rapporté lundi soir la perte de 620 000 clients mobiles, dont 274 000 abonnés, au premier trimestre 2012, après l’arrivée tonitruante sur le marché de Free Mobile (Iliad).

Concurrencé par Free, SFR revoit son offre low cost

Accès illimité à Internet, cartes prépayées pour les appels internationaux  : le n°2 français du mobile s’apprête à renforcer son offre à bas coût.

Pas de trêve dans la guerre des prix. SFR, numéro deux français du mobile, qui a vu un quatrième opérateur, Free, arriver sur le marché avec des tarifs très agressifs, va renforcer ses offres sur le segment low cost. «Nous faisons déjà 16% de nos ventes sur ces offres low cost et cela pourrait monter jusqu’à 30%», explique Franck Cadoret, le directeur général grand public et professionnels de SFR. Selon lui, «le marché du mobile français est en train de se segmenter entre les offres full service, low cost ou dédiées à l’international».

Donner plus pour le même prix

La marque Red de SFR, qui propose des forfaits à bas coût, sans mobiles subventionnés, compte 200 000 abonnés au premier trimestre, indique l’opérateur. Dès la semaine prochaine, l’accès à l’internet mobile sera ajoutée à cette offre qui propose déjà les appels et les SMS illimités pour 19,90 euros. «Dans une semaine on ajoutera l’accès à la data pour l’offre Red à 19,99 euros par mois. Nous allons en donner plus pour le même prix», assure Franck Cadoret.

620 000 clients en moins au premier trimestre

Pour conquérir de nouveaux clients, SFR va également lancer le 5 juin une nouvelle société filiale, Buzz Mobile, spécialisée dans les appels internationaux et destinée aussi bien aux touristes qu’aux personnes qui appellent souvent à l’étranger avec des «tarifs très agressifs». Ces cartes prépayées seront vendues sur internet, dans les réseaux de distribution spécialisés et dans les lieux de tourisme.

Côté bilan, l’opérateur filiale de Vivendi a rapporté lundi soir la perte de 620 000 clients mobiles, dont 274 000 abonnés, au premier trimestre 2012, après l’arrivée tonitruante sur le marché de Free Mobile (Iliad).

Prix du carburant : une baisse de 2 à 4 centimes seulement

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Publié le 30 août 2012 par philippe

Le gouvernement a annoncé lundi que la baisse des prix des carburants devrait être proche de 2 à 4 centimes, une mesure qui peine à convaincre les consommateurs alors que le gazole n’en finit pas de flamber, et qui divise les professionnels, en désaccord sur le soutien qu’on leur réclame.

Dans la soirée, le chef du gouvernement Jean-Marc Ayrault, interrogé sur France 2 sur l’ampleur de la baisse des prix des carburants, a admis qu’elle devrait être proche d’une fourchette de 2 à 4 centimes.

Peu après, le ministère de l’Energie a révélé que le prix moyen du litre de gazole, qui frôlait depuis des semaines son record du début d’année, avait atteint un nouveau record historique dans les stations-service hexagonales, à 1,4592 euro précisément.

Parallèlement, le ministre de l’Economie Pierre Moscovici et son collègue Benoît Hamon (Consommation) ont rencontré dans l’après-midi les principales organisations de défense des consommateurs, avant de négocier le lendemain avec les pétroliers et distributeurs de carburant la mise en oeuvre de cette baisse promise par le gouvernement depuis plusieurs jours.

Mobile : SFR lance de nouveaux forfaits pour concurrencer Free

SFR va renforcer ses offres sur les forfaits à bas coût. Le numéro deux français du mobile compte ainsi mieux contre-attaquer Free

Pas de trêve dans la guerre des prix. SFR, numéro deux français du mobile, qui a vu un quatrième opérateur, Free, arriver sur le marché avec des tarifs très agressifs, va renforcer ses offres sur le segment low cost. «Nous avons fait 16% de nos ventes sur ces offres low cost et cela pourrait monter jusqu’à 30%, donc il y a lieu de se renforcer dans ce segment-là», explique Franck Cadoret, le directeur général grand public et professionnels de SFR. Selon lui, «le marché du mobile français est en train de se segmenter entre les offres full service, low cost ou dédiées à l’international».

L’internet mobile pour 19,90 euros

La marque Red, qui propose des forfaits à bas coût, sans mobiles subventionnés, compte 200 000 abonnés au premier trimestre, indique l’opérateur. Dès la semaine prochaine, l’accès à l’internet mobile sera ajoutée à cette offre qui propose déjà les appels et les SMS illimités pour 19,90 euros. «Dans une semaine on ajoutera l’accès à la data pour l’offre Red à 19,99 euros par mois. Nous allons en donner plus pour le même prix», assure Franck Cadoret.

SFR annonce la perte de 620 000 clients

Pour conquérir de nouveaux clients, SFR va également lancer le 5 juin une nouvelle société filiale, Buzz Mobile, spécialisée dans les appels internationaux et destinée aussi bien aux touristes qu’aux personnes qui appellent souvent à l’étranger avec des «tarifs très agressifs». Ces cartes prépayées seront vendues sur internet, dans les réseaux de distribution spécialisés et dans les lieux de tourisme.

Côté bilan, l’opérateur filiale de Vivendi a rapporté lundi soir la perte de 620 000 clients mobiles, dont 274 000 abonnés, au premier trimestre 2012, après l’arrivée tonitruante sur le marché de Free Mobile (Iliad).

Essence : une baisse de 2 à 4 centimes du prix à la pompe

Le gouvernement a annoncé lundi que la baisse des prix des carburants devrait être proche de 2 à 4 centimes, une mesure qui peine à convaincre les consommateurs alors que le gazole n’en finit pas de flamber, et qui divise les professionnels, en désaccord sur le soutien qu’on leur réclame.

Dans la soirée, le chef du gouvernement Jean-Marc Ayrault, interrogé sur France 2 sur l’ampleur de la baisse des prix des carburants, a admis qu’elle devrait être proche d’une fourchette de 2 à 4 centimes.

Peu après, le ministère de l’Energie a révélé que le prix moyen du litre de gazole, qui frôlait depuis des semaines son record du début d’année, avait atteint un nouveau record historique dans les stations-service hexagonales, à 1,4592 euro précisément.

Parallèlement, le ministre de l’Economie Pierre Moscovici et son collègue Benoît Hamon (Consommation) ont rencontré dans l’après-midi les principales organisations de défense des consommateurs, avant de négocier le lendemain avec les pétroliers et distributeurs de carburant la mise en oeuvre de cette baisse promise par le gouvernement depuis plusieurs jours.

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Le gouvernement a annoncé lundi que la baisse des prix des carburants devrait être proche de 2 à 4 centimes, une mesure qui peine à convaincre les consommateurs alors que le gazole n’en finit pas de flamber, et qui divise les professionnels, en désaccord sur le soutien qu’on leur réclame.

Dans la soirée, le chef du gouvernement Jean-Marc Ayrault, interrogé sur France 2 sur l’ampleur de la baisse des prix des carburants, a admis qu’elle devrait être proche d’une fourchette de 2 à 4 centimes.

Peu après, le ministère de l’Energie a révélé que le prix moyen du litre de gazole, qui frôlait depuis des semaines son record du début d’année, avait atteint un nouveau record historique dans les stations-service hexagonales, à 1,4592 euro précisément.

Parallèlement, le ministre de l’Economie Pierre Moscovici et son collègue Benoît Hamon (Consommation) ont rencontré dans l’après-midi les principales organisations de défense des consommateurs, avant de négocier le lendemain avec les pétroliers et distributeurs de carburant la mise en oeuvre de cette baisse promise par le gouvernement depuis plusieurs jours.

Italie : un séisme fait six morts

Un séisme de magnitude 6 a frappé le nord de Bologne hier. Le bilan provisoire fait état de six morts et d’une cinquantaine de blessés. 

Le séisme, de magnitude 6, a été enregistré à 4h04, hier matin. Il est survenu à 5,1km de profondeur. Son épicentre a été localisé à Finale Emilia, à 36km au nord de Bologne. Le dernier bilan dressé par les autorités fait état de six morts. Parmi les victimes du tremblement de terre figurent quatre ouvriers qui travaillaient de nuit dans des usines. L’un d’eux, un Marocain de 29 ans, a été tué par la chute d’une poutrelle lors de l’écroulement d’un hangar dans une fabrique de polystyrène expansé.

La forte secousse a duré une vingtaine de secondes interminables. Elle a été ressentie dans tout le nord-est de la péninsule. Les rescapés racontent «le chaos»: «je suis sorti quand j’ai senti la maison bouger. Les meubles tombaient, les gens couraient dans tous les sens», a raconté Claudio Bignami, électricien à la retraite de 68 ans, qui habite San Carlo près de Ferrare. Selon des spécialistes, plus d’une centaine de répliques ont été recensées dont une plus forte, de magnitude 5,1, vers 13h20. Un pompier qui effectuait des contrôles sur un bâtiment ancien a été blessé dans cette secousse.

Le séisme de la nuit a aussi eu ses miraculés: une fillette de cinq ans restée emprisonnée sous les ruines de sa maison à Finale Emilia. Une cinquantaine de personnes ont été blessées dans cette région prospère et très peuplée au coeur de la Plaine du Pô, où alternent exploitations agricoles, zones industrielles, villages riches de tours et clochers moyenâgeux. Selon un responsable du consortium du Grana Padano, un fromage similaire au parmesan, plus de 300.000 meules ont été détruites ainsi que des entrepôts pour un coût de 250millions d’euros.

Au total, quelque 3.000 personnes ont dû être évacuées, a indiqué la protection civile. À Sant’Agostino, l’une des bourgades les plus touchées où la mairie éventrée menace de s’écrouler, des rescapés ont afflué hier dans un gymnase pour y trouver refuge mais rien n’était prêt: ni lits, ni cantine. Dans la zone la plus touchée se succèdent maisons à demi écroulées, amoncellements de gravats sur les routes, corniches d’églises ou de tours détachées. Le riche patrimoine culturel de la région a subi d’«importants dégâts», a indiqué le ministère de la Culture.

Séisme destructeur dans le nord-est de l’Italie

Un puissant tremblement de terre a fait six morts, plusieurs blessés et des dégâts considérables hier dans la région de Bologne

Le séisme, de magnitude 6, a été enregistré à 4h04, hier matin. Il est survenu à 5,1km de profondeur. Son épicentre a été localisé à Finale Emilia, à 36km au nord de Bologne. Le dernier bilan dressé par les autorités fait état de six morts. Parmi les victimes du tremblement de terre figurent quatre ouvriers qui travaillaient de nuit dans des usines. L’un d’eux, un Marocain de 29 ans, a été tué par la chute d’une poutrelle lors de l’écroulement d’un hangar dans une fabrique de polystyrène expansé.

Une centaine de répliques a suivi

La forte secousse a duré une vingtaine de secondes interminables. Elle a été ressentie dans tout le nord-est de la péninsule. Les rescapés racontent «le chaos»: «je suis sorti quand j’ai senti la maison bouger. Les meubles tombaient, les gens couraient dans tous les sens», a raconté Claudio Bignami, électricien à la retraite de 68 ans, qui habite San Carlo près de Ferrare. Selon des spécialistes, plus d’une centaine de répliques ont été recensées dont une plus forte, de magnitude 5,1, vers 13h20. Un pompier qui effectuait des contrôles sur un bâtiment ancien a été blessé dans cette secousse.

Importants dégâts matériels

Le séisme de la nuit a aussi eu ses miraculés: une fillette de cinq ans restée emprisonnée sous les ruines de sa maison à Finale Emilia. Une cinquantaine de personnes ont été blessées dans cette région prospère et très peuplée au coeur de la Plaine du Pô, où alternent exploitations agricoles, zones industrielles, villages riches de tours et clochers moyenâgeux. Selon un responsable du consortium du Grana Padano, un fromage similaire au parmesan, plus de 300.000 meules ont été détruites ainsi que des entrepôts pour un coût de 250millions d’euros.

Des réfugiés sans accueil

Au total, quelque 3.000 personnes ont dû être évacuées, a indiqué la protection civile. À Sant’Agostino, l’une des bourgades les plus touchées où la mairie éventrée menace de s’écrouler, des rescapés ont afflué hier dans un gymnase pour y trouver refuge mais rien n’était prêt: ni lits, ni cantine. Dans la zone la plus touchée se succèdent maisons à demi écroulées, amoncellements de gravats sur les routes, corniches d’églises ou de tours détachées. Le riche patrimoine culturel de la région a subi d’«importants dégâts», a indiqué le ministère de la Culture.

Italie : Un séisme à Bologne fait six morts

Un tremblement de terre de magnitude 6 a été à l’origine de six morts au nord de Bologne (Italie).

Le séisme, de magnitude 6, a été enregistré à 4h04, hier matin. Il est survenu à 5,1km de profondeur. Son épicentre a été localisé à Finale Emilia, à 36km au nord de Bologne. Le dernier bilan dressé par les autorités fait état de six morts. Parmi les victimes du tremblement de terre figurent quatre ouvriers qui travaillaient de nuit dans des usines. L’un d’eux, un Marocain de 29 ans, a été tué par la chute d’une poutrelle lors de l’écroulement d’un hangar dans une fabrique de polystyrène expansé.

La forte secousse a duré une vingtaine de secondes interminables. Elle a été ressentie dans tout le nord-est de la péninsule. Les rescapés racontent «le chaos»: «je suis sorti quand j’ai senti la maison bouger. Les meubles tombaient, les gens couraient dans tous les sens», a raconté Claudio Bignami, électricien à la retraite de 68 ans, qui habite San Carlo près de Ferrare. Selon des spécialistes, plus d’une centaine de répliques ont été recensées dont une plus forte, de magnitude 5,1, vers 13h20. Un pompier qui effectuait des contrôles sur un bâtiment ancien a été blessé dans cette secousse.

3 000 personnes évacuées

Le séisme de la nuit a aussi eu ses miraculés: une fillette de cinq ans restée emprisonnée sous les ruines de sa maison à Finale Emilia. Une cinquantaine de personnes ont été blessées dans cette région prospère et très peuplée au coeur de la Plaine du Pô, où alternent exploitations agricoles, zones industrielles, villages riches de tours et clochers moyenâgeux. Selon un responsable du consortium du Grana Padano, un fromage similaire au parmesan, plus de 300.000 meules ont été détruites ainsi que des entrepôts pour un coût de 250millions d’euros.

Au total, quelque 3.000 personnes ont dû être évacuées, a indiqué la protection civile. À Sant’Agostino, l’une des bourgades les plus touchées où la mairie éventrée menace de s’écrouler, des rescapés ont afflué hier dans un gymnase pour y trouver refuge mais rien n’était prêt: ni lits, ni cantine. Dans la zone la plus touchée se succèdent maisons à demi écroulées, amoncellements de gravats sur les routes, corniches d’églises ou de tours détachées. Le riche patrimoine culturel de la région a subi d’«importants dégâts», a indiqué le ministère de la Culture.

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