Le bac à sable

L’épreuve d’histoire-géographie sera scindée en trois parties à partir de l’année prochaine et certaines disciplines comme les maths comporteront davantage d’exercices.

Du nouveau pour les collégiens. L’examen du brevet va évoluer en juin 2013, avec une dictée plus longue, des exercices de mathématiques plus nombreux et trois épreuves d’histoire, de géographie et d’instruction civique, a-t-on appris mardi auprès du ministère de l’Education nationale.

• Un questionnaire mis en place en français

En français, la dictée sera plus longue, révèle mardi RTL. Elle passera de 600 à 800 caractères; deux sujets de rédaction seront proposés au choix de l’élève (un d’imagination, l’autre de réflexion), mais ils ne comporteront plus de consignes explicitées, comme auparavant. De plus, un questionnaire laissera la place aux réactions personnelles de l’élève face au texte proposé. L’épreuve de français dure trois heures.

• « Une tâche complexe » en maths

L’épreuve de mathématiques, qui dure deux heures, comptera un plus grand nombre d’exercices (dix contre six). Ceux-ci seront conçus de façon indépendante, afin qu’il ne soit pas nécessaire de réussir le premier pour pouvoir faire les autres. L’un au moins de ces exercices sera « une tâche complexe », pour laquelle « l’élève n’est pas guidé; il doit utiliser connaissances et savoir-faire différents », précise le ministère.

• L’histoire-géo divisée en trois
  

Autre évolution, l’épreuve d’histoire-géographie se déclinera désormais en trois disciplines (histoire, géographie et instruction civique) qui devront obligatoirement être traitées chacune par l’élève. Auparavant il avait le choix entre histoire et géographie. L’épreuve dure toujours 2 heures. Les sujets de ce diplôme retouché porteront sur les nouveaux programmes de 3e et permettront d’évaluer les compétences du socle commun défini pour ce niveau (maîtrise de la langue française, culture humaniste…).

 

• Le premier diplôme majeur

En 2011, 750.000 élèves de 3e avaient passé l’examen du brevet, qui avait constitué un tournant, avec une nouvelle épreuve obligatoire: l’histoire des arts, qui se déroule à l’oral. L’enseignement de l’histoire des arts est obligatoire dans les écoles primaires depuis 2008 et dans les collèges depuis 2009. Premier grand diplôme de la scolarité française, le diplôme national du brevet (DNB) est constitué des épreuves de fin d’année ainsi que d’un contrôle continu tout au long de l’année. En 2010, 623.400 élèves toutes séries confondues avaient été admis à l’examen, soit un taux de réussite globale de 83,3%, en légère augmentation par rapport à l’année précédente. Le DNB ne conditionne pas l’accès à la classe de seconde.

L’opérateur mobile SFR enrichie son offre low-cost Red. L’accès à Internet est désormais inclus dans l’abonnement illimité à 19,90 euros.

Plus pour le même prix. SFR, numéro deux français du mobile, va renforcer ses offres sur le segment low cost, a indiqué mardi l’un de ses dirigeants.  Pas de trêve dans la guerre des prix. SFR, numéro deux français du mobile, qui a vu un quatrième opérateur, Free, arriver sur le marché avec des tarifs très agressifs, va renforcer ses offres sur le segment low cost.

«Nous avons fait 16% de nos ventes sur ces offres low cost et cela pourrait monter jusqu’à 30%, donc il y a lieu de se renforcer dans ce segment-là», explique Franck Cadoret, le directeur général grand public et professionnels de SFR. Selon lui, «le marché du mobile français est en train de se segmenter entre les offres full service, low cost ou dédiées à l’international».

Accès Internet inclus dans l’offre illimitée

La marque Red, qui propose des forfaits à bas coût, sans mobiles subventionnés, compte 200 000 abonnés au premier trimestre, indique l’opérateur. Dès la semaine prochaine, l’accès à l’internet mobile sera ajoutée à cette offre qui propose déjà les appels et les SMS illimités pour 19,90 euros.

«Dans une semaine on ajoutera l’accès à la data pour l’offre Red à 19,99 euros par mois. Nous allons en donner plus pour le même prix», assure Franck Cadoret.

Bientôt des cartes prépayées pour l’international

Pour conquérir de nouveaux clients, SFR va également lancer le 5 juin une nouvelle société filiale, Buzz Mobile, spécialisée dans les appels internationaux et destinée aussi bien aux touristes qu’aux personnes qui appellent souvent à l’étranger avec des «tarifs très agressifs». Ces cartes prépayées seront vendues sur internet, dans les réseaux de distribution spécialisés et dans les lieux de tourisme.

Côté bilan, l’opérateur filiale de Vivendi a rapporté lundi soir la perte de 620 000 clients mobiles, dont 274 000 abonnés, au premier trimestre 2012, après l’arrivée tonitruante sur le marché de Free Mobile (Iliad).

Le gouvernement a présenté mardi la nouvelle formule du brevet national des collèges. Tour d’horizon des nouveautés qui attentent les élèves.

Mauvaise nouvelle pour les collégiens : le brevet va se corser. L’examen va en effet évoluer en juin 2013, avec une dictée plus longue, des exercices de mathématiques plus nombreux et une épreuve d’histoire, de géographie et d’instruction civique, a indiqué mardi le ministère de l’Education nationale.

Le nouveau brevet dans le détails :

• Français : La dictée sera plus longue, révèle RTL. Elle passera de 600 à 800 caractères et deux sujets de rédaction seront proposés au choix de l’élève, mais ils ne comporteront plus de consignes explicitées. De plus, un questionnaire laissera la place aux réactions personnelles de l’élève face au texte proposé. L’épreuve dure trois heures.

• Mathématiques : L’épreuve, qui dure deux heures, comptera un plus grand nombre d’exercices (dix contre six). Ceux-ci seront conçus de façon indépendante, afin qu’il ne soit pas nécessaire de réussir le premier pour pouvoir faire les autres. L’un au moins de ces exercices sera « une tâche +complexe+ », pour laquelle « l’élève n’est pas guidé; il doit utiliser connaissances et savoir-faire différents », précise le ministère.

• Histoire-géographie : L’épreuve dure toujours deux heures et se déclinera désormais en trois disciplines (histoire, géographie et instruction civique) qui devront obligatoirement être traitées chacune par l’élève. Auparavant il avait le choix entre histoire et géographie.

Les sujets de ce diplôme retouché porteront sur les nouveaux programmes de 3e et permettront d’évaluer les compétences du socle commun défini pour ce niveau (maîtrise de la langue française, culture humaniste…).

Un changement amorcé en 2011

En 2011, 750.000 élèves de 3e avaient passé l’examen du brevet, qui avait constitué un tournant, avec une nouvelle épreuve obligatoire : l’histoire des arts, qui se déroule à l’oral. L’enseignement de l’histoire des arts est obligatoire dans les écoles primaires depuis 2008 et dans les collèges depuis la rentrée 2009.

Premier grand diplôme de la scolarité française, le diplôme national du brevet (DNB) évalue les connaissances et compétences acquises à la fin du collège. Il est constitué des épreuves nationales de fin d’année ainsi que d’un contrôle continu tout au long de l’année scolaire.

En 2010, 623.400 élèves toutes séries confondues (séries collège, technologique et professionnelle) avaient été admis à l’examen, soit un taux de réussite globale de 83,3%, en légère augmentation par rapport à l’année précédente.Le DNB ne conditionne pas l’accès à la classe de seconde.

L’examen du brevet national des collèges va évoluer en juin 2013, a annoncé le ministère de l’Education nationale. Les élèves de troisième devront plancher sur une dictée plus longue, des exercices de mathématiques plus nombreux et une épreuve d’histoire, de géographie et d’instruction civique.

Une dictée de 800 caractères

En français, la dictée sera plus longue, a révélé mardi matin RTL. Elle passera de 600 à 800 caractères; deux sujets de rédaction seront proposés au choix de l’élève (un d’imagination, l’autre de réflexion), mais ils ne comporteront plus de consignes explicitées, comme auparavant.

De plus, un questionnaire laissera la place aux réactions personnelles de l’élève face au texte proposé. L’épreuve de français dure trois heures.

Dix exercices de maths contre six auparavant

L’épreuve de mathématiques, qui dure deux heures, comptera un plus grand nombre d’exercices (dix contre six). Ceux-ci seront conçus de façon indépendante, afin qu’il ne soit pas nécessaire de réussir le premier pour pouvoir faire les autres.

L’un au moins de ces exercices sera « une tâche complexe », pour laquelle « l’élève n’est pas guidé; il doit utiliser connaissances et savoir-faire différents », précise le ministère.

 

Le retour de l’instruction civique

Autre évolution, l’épreuve d’histoire-géographie se déclinera désormais en trois disciplines (histoire, géographie et instruction civique) qui devront obligatoirement être traitées chacune par l’élève. Auparavant il avait le choix entre histoire et géographie. L’épreuve dure toujours 2 heures.

Les sujets de ce diplôme retouché porteront sur les nouveaux programmes de 3e et permettront d’évaluer les compétences du socle commun défini pour ce niveau (maîtrise de la langue française, culture humaniste…).

83,3 % des élèves de troisième ont obtenu le brevet en 2010

En 2011, 750.000 élèves de 3e avaient passé l’examen du brevet, qui avait constitué un tournant, avec une nouvelle épreuve obligatoire: l’histoire des arts, qui se déroule à l’oral. L’enseignement de l’histoire des arts est obligatoire dans les écoles primaires depuis 2008 et dans les collèges depuis la rentrée 2009.

Premier grand diplôme de la scolarité française, le diplôme national du brevet (DNB) évalue les connaissances et compétences acquises à la fin du collège. Il est constitué des épreuves nationales de fin d’année ainsi que d’un contrôle continu tout au long de l’année scolaire.

En 2010, 623.400 élèves toutes séries confondues (séries collège, technologique et professionnelle) avaient été admis à l’examen, soit un taux de réussite globale de 83,3%, en légère augmentation par rapport à l’année précédente.

Le DNB ne conditionne pas l’accès à la classe de seconde.

Depuis l’arrivée de Free et de ses prix bas sur le marché, 620 000 clients ont quitté SFR. Pour endiguer les pertes, le deuxième opérateur français mobile entend développer ses offres low cost.

Pas de trêve dans la guerre des prix. SFR, numéro deux français du mobile, qui a vu un quatrième opérateur, Free, arriver sur le marché avec des tarifs très agressifs, va renforcer ses offres sur le segment low cost. «Nous avons fait 16% de nos ventes sur ces offres low cost et cela pourrait monter jusqu’à 30%, donc il y a lieu de se renforcer dans ce segment-là», explique Franck Cadoret, le directeur général grand public et professionnels de SFR. Selon lui, «le marché du mobile français est en train de se segmenter entre les offres full service, low cost ou dédiées à l’international».

Le forfait illimité à moins de 20 euros

La marque Red, qui propose des forfaits à bas coût, sans mobiles subventionnés, compte 200 000 abonnés au premier trimestre, indique l’opérateur. Dès la semaine prochaine, l’accès à l’internet mobile sera ajoutée à cette offre qui propose déjà les appels et les SMS illimités pour 19,90 euros. «Dans une semaine on ajoutera l’accès à la data pour l’offre Red à 19,99 euros par mois. Nous allons en donner plus pour le même prix», assure Franck Cadoret.

Pour conquérir de nouveaux clients, SFR va également lancer le 5 juin une nouvelle société filiale, Buzz Mobile, spécialisée dans les appels internationaux et destinée aussi bien aux touristes qu’aux personnes qui appellent souvent à l’étranger avec des «tarifs très agressifs». Ces cartes prépayées seront vendues sur internet, dans les réseaux de distribution spécialisés et dans les lieux de tourisme.

Côté bilan, l’opérateur filiale de Vivendi a rapporté lundi soir la perte de 620 000 clients mobiles, dont 274 000 abonnés, au premier trimestre 2012, après l’arrivée tonitruante sur le marché de Free Mobile (Iliad).

Pour faire face à la concurrence de Free Mobile, qui a déjà conduit 274 000 abonnés à quitter l’opérateur, les dirigeants de SFR vont étendre leurs forfaits low cost et appliquer des tarifs très agressifs.

 

Pas de trêve dans la guerre des prix. SFR, numéro deux français du mobile, va renforcer ses offres sur le segment low cost, quelques mois après l’arrivée sur le marché d’un quatrième opérateur, Free, avec des tarifs très agressifs. «Nous avons fait 16% de nos ventes sur ces offres low cost et cela pourrait monter jusqu’à 30%, donc il y a lieu de se renforcer dans ce segment-là», explique Franck Cadoret, le directeur général grand public et professionnels de SFR. Selon lui, «le marché du mobile français est en train de se segmenter entre les offres full service, low cost ou dédiées à l’international».

Déjà 200 000 abonnés pour la marque Red

La marque Red, qui propose des forfaits à bas coût, sans mobiles subventionnés, compte 200 000 abonnés au premier trimestre, indique l’opérateur. Dès la semaine prochaine, l’accès à l’internet mobile sera ajoutée à cette offre qui propose déjà les appels et les SMS illimités pour 19,90 euros. «Dans une semaine on ajoutera l’accès à la data pour l’offre Red à 19,99 euros par mois. Nous allons en donner plus pour le même prix», assure Franck Cadoret.

Lancement de Buzz Mobile sur le marché

Pour conquérir de nouveaux clients, SFR va également lancer le 5 juin une nouvelle société filiale, Buzz Mobile, spécialisée dans les appels internationaux et destinée aussi bien aux touristes qu’aux personnes qui appellent souvent à l’étranger avec des «tarifs très agressifs». Ces cartes prépayées seront vendues sur internet, dans les réseaux de distribution spécialisés et dans les lieux de tourisme. Côté bilan, l’opérateur filiale de Vivendi a rapporté lundi soir la perte de 620 000 clients mobiles, dont 274 000 abonnés, au premier trimestre 2012, après l’arrivée tonitruante sur le marché de Free Mobile (Iliad).

Concurrencé par les offres low cost du nouvel opérateur Free, SFR, le numéro deux français du mobile a annoncé mardi qu’il allait renforcer ses offres à bas coût. Arguments principaux, un forfait appels, internet et SMS illimités à 19,99 euros par mois et des prix cassés vers l’étranger.

SFR, numéro deux français du mobile, va renforcer ses offres sur le segment low cost, a indiqué mardi l’un de ses dirigeants. SFR, numéro deux français du mobile, qui a vu un quatrième opérateur, Free, arriver sur le marché avec des tarifs très agressifs, va renforcer ses offres sur le segment low cost. «Nous avons fait 16% de nos ventes sur ces offres low cost et cela pourrait monter jusqu’à 30%, donc il y a lieu de se renforcer dans ce segment-là», explique Franck Cadoret, le directeur général grand public et professionnels de SFR. Selon lui, «le marché du mobile français est en train de se segmenter entre les offres full service, low cost ou dédiées à l’international».

Red, la marque low cost de SFR

La marque Red, qui propose des forfaits à bas coût, sans mobiles subventionnés, compte 200 000 abonnés au premier trimestre, indique l’opérateur. Dès la semaine prochaine, l’accès à l’internet mobile sera ajoutée à cette offre qui propose déjà les appels et les SMS illimités pour 19,90 euros. «Dans une semaine on ajoutera l’accès à la data pour l’offre Red à 19,99 euros par mois. Nous allons en donner plus pour le même prix», assure Franck Cadoret.

Endiguer la fuite des clients et en séduire des nouveaux

Pour conquérir de nouveaux clients, SFR va également lancer le 5 juin une nouvelle société filiale, Buzz Mobile, spécialisée dans les appels internationaux et destinée aussi bien aux touristes qu’aux personnes qui appellent souvent à l’étranger avec des «tarifs très agressifs». Ces cartes prépayées seront vendues sur internet, dans les réseaux de distribution spécialisés et dans les lieux de tourisme. Côté bilan, l’opérateur filiale de Vivendi a rapporté lundi soir la perte de 620 000 clients mobiles, dont 274 000 abonnés, au premier trimestre 2012, après l’arrivée tonitruante sur le marché de Free Mobile (Iliad).

 

SFR a annoncé mardi qu’il allait étoffer ses services pour sa marque low-cost Red. L’opérateur va également lancer Buzz Mobile pour les appels internationaux.

SFR, numéro deux français du mobile, qui a vu un quatrième opérateur, Free, arriver sur le marché avec des tarifs très agressifs, va renforcer ses offres sur le segment low cost. «Nous avons fait 16% de nos ventes sur ces offres low cost et cela pourrait monter jusqu’à 30%, donc il y a lieu de se renforcer dans ce segment-là», explique Franck Cadoret, le directeur général grand public et professionnels de SFR. Selon lui, «le marché du mobile français est en train de se segmenter entre les offres full service, low cost ou dédiées à l’international».

L’offre low-cost Red enrichie

La marque Red, qui propose des forfaits à bas coût, sans mobiles subventionnés, compte 200 000 abonnés au premier trimestre, indique l’opérateur. Dès la semaine prochaine, l’accès à l’internet mobile sera ajoutée à cette offre qui propose déjà les appels et les SMS illimités pour 19,90 euros. «Dans une semaine on ajoutera l’accès à la data pour l’offre Red à 19,99 euros par mois. Nous allons en donner plus pour le même prix», assure Franck Cadoret.

Des cartes prépayées chez Buzz Mobile

Pour conquérir de nouveaux clients, SFR va également lancer le 5 juin une nouvelle société filiale, Buzz Mobile, spécialisée dans les appels internationaux et destinée aussi bien aux touristes qu’aux personnes qui appellent souvent à l’étranger avec des «tarifs très agressifs». Ces cartes prépayées seront vendues sur internet, dans les réseaux de distribution spécialisés et dans les lieux de tourisme.

Côté bilan, l’opérateur filiale de Vivendi a rapporté lundi soir la perte de 620 000 clients mobiles, dont 274 000 abonnés, au premier trimestre 2012, après l’arrivée tonitruante sur le marché de Free Mobile (Iliad).

Le numéro deux français du mobile va renforcer ses offres sur le segment low cost. SFR qui propose des forfaits à bas coût  avec appels et  SMS illimités pour 19,90 euros va ajouter à son offre l’accès à l’internet mobile. La guerre des opérateurs est déclarée.

« Pas de trêve dans la guerre des prix » a indiqué mardi Damien Meyer, un des dirigeants de SFR . Le numéro deux français du mobile, qui a vu un quatrième opérateur, Free, arriver sur le marché avec des tarifs très agressifs, va renforcer ses offres sur le segment low cost. «Nous avons fait 16% de nos ventes sur ces offres low cost et cela pourrait monter jusqu’à 30%, donc il y a lieu de se renforcer dans ce segment-là», explique Franck Cadoret, le directeur général grand public et professionnels de SFR. Selon lui, «le marché du mobile français est en train de se segmenter entre les offres full service, low cost ou dédiées à l’international».

Internet mobile pour 19,90 euros

La marque Red, qui propose des forfaits à bas coût, sans mobiles subventionnés, compte 200 000 abonnés au premier trimestre, indique l’opérateur. Dès la semaine prochaine, l’accès à l’internet mobile sera ajoutée à cette offre qui propose déjà les appels et les SMS illimités pour 19,90 euros. «Dans une semaine on ajoutera l’accès à la data pour l’offre Red à 19,99 euros par mois. Nous allons en donner plus pour le même prix», assure Franck Cadoret.

Buzz mobile pour les appels internationaux

Pour conquérir de nouveaux clients, SFR va également lancer le 5 juin une nouvelle société filiale, Buzz Mobile, spécialisée dans les appels internationaux et destinée aussi bien aux touristes qu’aux personnes qui appellent souvent à l’étranger avec des «tarifs très agressifs». Ces cartes prépayées seront vendues sur internet, dans les réseaux de distribution spécialisés et dans les lieux de tourisme.

Côté bilan, l’opérateur filiale de Vivendi a rapporté lundi soir la perte de 620 000 clients mobiles, dont 274 000 abonnés, au premier trimestre 2012, après l’arrivée tonitruante sur le marché de Free Mobile (Iliad).

CHAPO: SFR, numéro deux français du mobile, va renforcer ses offres sur le segment low cost pour contrer, notamment, l’opérateur Free. Au premier trimestre 2012, SFR a perdu un nombre record de clients mobiles, dont 274 000 abonnés.

Pas de trêve dans la guerre des prix. SFR, numéro deux français du mobile, qui a vu un quatrième opérateur, Free, arriver sur le marché avec des tarifs très agressifs, va renforcer ses offres sur le segment low cost, comme l’a annoncé mardi un de ses dirigeants, Damien Meyer. «Nous avons fait 16% de nos ventes sur ces offres low cost et cela pourrait monter jusqu’à 30%, donc il y a lieu de se renforcer dans ce segment-là», explique Franck Cadoret, le directeur général grand public et professionnels de SFR. Selon lui, «le marché du mobile français est en train de se segmenter entre les offres full service, low cost ou dédiées à l’international».

INTER: L’internet mobile dans l’offre à 19,90 euros

La marque Red, qui propose des forfaits à bas coût, sans mobiles subventionnés, compte 200 000 abonnés au premier trimestre, indique l’opérateur. Dès la semaine prochaine, l’accès à l’internet mobile sera ajoutée à cette offre qui propose déjà les appels et les SMS illimités pour 19,90 euros. «Dans une semaine on ajoutera l’accès à la data pour l’offre Red à 19,99 euros par mois. Nous allons en donner plus pour le même prix», assure Franck Cadoret.

INTER: Cartes prépayées pour les appels internationaux

Pour conquérir de nouveaux clients, SFR va également lancer le 5 juin une nouvelle société filiale, Buzz Mobile, spécialisée dans les appels internationaux et destinée aussi bien aux touristes qu’aux personnes qui appellent souvent à l’étranger avec des «tarifs très agressifs». Ces cartes prépayées seront vendues sur internet, dans les réseaux de distribution spécialisés et dans les lieux de tourisme.

INTER: Perte de 620 000 clients mobiles

Côté bilan, l’opérateur filiale de Vivendi a rapporté lundi soir la perte de 620 000 clients mobiles, dont 274 000 abonnés, au premier trimestre 2012, après l’arrivée tonitruante sur le marché de Free Mobile (Iliad).