Six personnes sont mortes dans un séisme, de magnitude 6, hier matin à Finale Emilia, à 36km au nord de Bologne. Plus de cinquante personnes ont été blessées la région  de la Plaine du Pô. A Sant’Agostino 3.000 personnes ont dû être évacuées.

Le séisme, de magnitude 6, a été enregistré à 4h04, hier matin. Il est survenu à 5,1km de profondeur. Son épicentre a été localisé à Finale Emilia, à 36km au nord de Bologne. Le dernier bilan dressé par les autorités fait état de six morts. Parmi les victimes du tremblement de terre figurent quatre ouvriers qui travaillaient de nuit dans des usines. L’un d’eux, un Marocain de 29 ans, a été tué par la chute d’une poutrelle lors de l’écroulement d’un hangar dans une fabrique de polystyrène expansé.

La forte secousse a duré une vingtaine de secondes interminables. Elle a été ressentie dans tout le nord-est de la péninsule. Les rescapés racontent «le chaos»: «je suis sorti quand j’ai senti la maison bouger. Les meubles tombaient, les gens couraient dans tous les sens», a raconté Claudio Bignami, électricien à la retraite de 68 ans, qui habite San Carlo près de Ferrare. Selon des spécialistes, plus d’une centaine de répliques ont été recensées dont une plus forte, de magnitude 5,1, vers 13h20. Un pompier qui effectuait des contrôles sur un bâtiment ancien a été blessé dans cette secousse.

Cinquante blessés dans la Plaine du Pô

Le séisme de la nuit a aussi eu ses miraculés: une fillette de cinq ans restée emprisonnée sous les ruines de sa maison à Finale Emilia. Une cinquantaine de personnes ont été blessées dans cette région prospère et très peuplée au coeur de la Plaine du Pô, où alternent exploitations agricoles, zones industrielles, villages riches de tours et clochers moyenâgeux. Selon un responsable du consortium du Grana Padano, un fromage similaire au parmesan, plus de 300.000 meules ont été détruites ainsi que des entrepôts pour un coût de 250millions d’euros.

Au total, quelque 3.000 personnes ont dû être évacuées, a indiqué la protection civile. À Sant’Agostino, l’une des bourgades les plus touchées où la mairie éventrée menace de s’écrouler, des rescapés ont afflué hier dans un gymnase pour y trouver refuge mais rien n’était prêt: ni lits, ni cantine. Dans la zone la plus touchée se succèdent maisons à demi écroulées, amoncellements de gravats sur les routes, corniches d’églises ou de tours détachées. Le riche patrimoine culturel de la région a subi d’«importants dégâts», a indiqué le ministère de la Culture.

carte de localisation Italie.

Photos et vidéos…..

Un séisme d’une magnitude 6 sur l’échelle de Richter a fait six mort et une cinquantaine de blessés hier matin dans la région de Bologne, au nord-est de l’Italie. En plus des 3 000 rescapés désormais sans-abri, le riche patrimoine culturel de la région a subi d’importants dégâts.

Le séisme, de magnitude 6, a été enregistré à 4h04, hier matin. Il est survenu à 5,1km de profondeur. Son épicentre a été localisé à Finale Emilia, à 36km au nord de Bologne. Le dernier bilan dressé par les autorités fait état de six morts. Parmi les victimes du tremblement de terre figurent quatre ouvriers qui travaillaient de nuit dans des usines. L’un d’eux, un Marocain de 29 ans, a été tué par la chute d’une poutrelle lors de l’écroulement d’un hangar dans une fabrique de polystyrène expansé.

Plus d’une centaine de répliques

La forte secousse a duré une vingtaine de secondes interminables. Elle a été ressentie dans tout le nord-est de la péninsule. Les rescapés racontent «le chaos»: «je suis sorti quand j’ai senti la maison bouger. Les meubles tombaient, les gens couraient dans tous les sens», a raconté Claudio Bignami, électricien à la retraite de 68 ans, qui habite San Carlo près de Ferrare. Selon des spécialistes, plus d’une centaine de répliques ont été recensées dont une plus forte, de magnitude 5,1, vers 13h20. Un pompier qui effectuait des contrôles sur un bâtiment ancien a été blessé dans cette secousse.

Une cinquantaine de blessés

Le séisme de la nuit a aussi eu ses miraculés: une fillette de cinq ans restée emprisonnée sous les ruines de sa maison à Finale Emilia. Une cinquantaine de personnes ont été blessées dans cette région prospère et très peuplée au coeur de la Plaine du Pô, où alternent exploitations agricoles, zones industrielles, villages riches de tours et clochers moyenâgeux. Selon un responsable du consortium du Grana Padano, un fromage similaire au parmesan, plus de 300.000 meules ont été détruites ainsi que des entrepôts pour un coût de 250millions d’euros.

La Plaine du Pô zone sinistrée

Au total, quelque 3.000 personnes ont dû être évacuées, a indiqué la protection civile. À Sant’Agostino, l’une des bourgades les plus touchées où la mairie éventrée menace de s’écrouler, des rescapés ont afflué hier dans un gymnase pour y trouver refuge mais rien n’était prêt: ni lits, ni cantine. Dans la zone la plus touchée se succèdent maisons à demi écroulées, amoncellements de gravats sur les routes, corniches d’églises ou de tours détachées. Le riche patrimoine culturel de la région a subi d’«importants dégâts», a indiqué le ministère de la Culture.

 

CHAPO: Un tremblement de terre de magnitude 6 a fait au moins six victimes, hier matin, dans la région de Bologne (nord-est de l’Italie) et une cinquantaine de blessés. 3000 personnes ont été évacuées et les dégâts matériels sont considérables.

 

L’épicentre du séisme, de magnitude 6, a été enregistré à 4h04, hier matin, a été localisé à Finale Emilia, à 36km au nord de Bologne. Le dernier bilan dressé par les autorités fait état de six morts. Parmi les victimes du tremblement de terre figurent quatre ouvriers qui travaillaient de nuit dans des usines, dont un Marocain de 29 ans, tué par la chute d’une poutrelle lors de l’écroulement d’un hangar dans une fabrique de polystyrène expansé. La forte secousse a duré une vingtaine de secondes interminables. Elle a été ressentie dans tout le nord-est de la péninsule. Les rescapés racontent «le chaos»: «je suis sorti quand j’ai senti la maison bouger. Les meubles tombaient, les gens couraient dans tous les sens», a raconté Claudio Bignami, électricien à la retraite de 68 ans, qui habite San Carlo près de Ferrare. Selon des spécialistes, plus d’une centaine de répliques ont été recensées dont une plus forte, de magnitude 5,1, vers 13h20. Un pompier qui effectuait des contrôles sur un bâtiment ancien a été blessé dans cette secousse.

INTER: 300.000 meules de fromage détruites

Le séisme de la nuit a aussi eu ses miraculés: une fillette de cinq ans restée emprisonnée sous les ruines de sa maison à Finale Emilia. Une cinquantaine de personnes ont été blessées dans cette région prospère et très peuplée au coeur de la Plaine du Pô, où alternent exploitations agricoles, zones industrielles, villages riches de tours et clochers moyenâgeux. Selon un responsable du consortium du Grana Padano, un fromage similaire au parmesan, plus de 300.000 meules ont été détruites ainsi que des entrepôts pour un coût de 250millions d’euros.

Au total, quelque 3.000 personnes ont dû être évacuées, a indiqué la protection civile. À Sant’Agostino, l’une des bourgades les plus touchées où la mairie éventrée menace de s’écrouler, des rescapés ont afflué hier dans un gymnase pour y trouver refuge mais rien n’était prêt: ni lits, ni cantine. Dans la zone la plus touchée se succèdent maisons à demi écroulées, amoncellements de gravats sur les routes, corniches d’églises ou de tours détachées. Le riche patrimoine culturel de la région a subi d’«importants dégâts», a indiqué le ministère de la Culture.

Six personnes sont décédées et une cinquantaine ont été blessées dans un tremblement de terre survenu à Finale Emilia, au nord de Bologne, dans la nuit de samedi à dimanche.

Le séisme, de magnitude 6, a été enregistré à 4h04, hier matin. Il est survenu à 5,1km de profondeur. Son épicentre a été localisé à Finale Emilia, à 36km au nord de Bologne. Le dernier bilan dressé par les autorités fait état de six morts. Parmi les victimes du tremblement de terre figurent quatre ouvriers qui travaillaient de nuit dans des usines. L’un d’eux, un Marocain de 29 ans, a été tué par la chute d’une poutrelle lors de l’écroulement d’un hangar dans une fabrique de polystyrène expansé.

Vingt secondes de secousse

La forte secousse a duré une vingtaine de secondes interminables. Elle a été ressentie dans tout le nord-est de la péninsule. Les rescapés racontent «le chaos»: «je suis sorti quand j’ai senti la maison bouger. Les meubles tombaient, les gens couraient dans tous les sens», a raconté Claudio Bignami, électricien à la retraite de 68 ans, qui habite San Carlo près de Ferrare. Selon des spécialistes, plus d’une centaine de répliques ont été recensées dont une plus forte, de magnitude 5,1, vers 13h20. Un pompier qui effectuait des contrôles sur un bâtiment ancien a été blessé dans cette secousse.

Les miraculés du séisme

Le séisme de la nuit a aussi eu ses miraculés: une fillette de cinq ans restée emprisonnée sous les ruines de sa maison à Finale Emilia. Une cinquantaine de personnes ont été blessées dans cette région prospère et très peuplée au coeur de la Plaine du Pô, où alternent exploitations agricoles, zones industrielles, villages riches de tours et clochers moyenâgeux. Selon un responsable du consortium du Grana Padano, un fromage similaire au parmesan, plus de 300.000 meules ont été détruites ainsi que des entrepôts pour un coût de 250millions d’euros.

3000 personnes évacuées

Au total, quelque 3.000 personnes ont dû être évacuées, a indiqué la protection civile. À Sant’Agostino, l’une des bourgades les plus touchées où la mairie éventrée menace de s’écrouler, des rescapés ont afflué hier dans un gymnase pour y trouver refuge mais rien n’était prêt: ni lits, ni cantine. Dans la zone la plus touchée se succèdent maisons à demi écroulées, amoncellements de gravats sur les routes, corniches d’églises ou de tours détachées. Le riche patrimoine culturel de la région a subi d’«importants dégâts», a indiqué le ministère de la Culture.

Un fort tremblement de terre a causé six victimes dans le nord de l’Italie. Environ 3000 personnes ont dû être évacuées dans un gymnase du centre-ville de Sant’Agostino.

 

Le séisme, de magnitude 6, a été enregistré à 4h04, hier matin. Il est survenu à 5,1km de profondeur. Son épicentre a été localisé à Finale Emilia, à 36km au nord de Bologne. Le dernier bilan dressé par les autorités fait état de six morts. Parmi les victimes du tremblement de terre figurent quatre ouvriers qui travaillaient de nuit dans des usines. L’un d’eux, un Marocain de 29 ans, a été tué par la chute d’une poutrelle lors de l’écroulement d’un hangar dans une fabrique de polystyrène expansé.

Une centaine de répliques enregistrées
La forte secousse a duré une vingtaine de secondes interminables. Elle a été ressentie dans tout le nord-est de la péninsule. Les rescapés racontent «le chaos»: «je suis sorti quand j’ai senti la maison bouger. Les meubles tombaient, les gens couraient dans tous les sens», a raconté Claudio Bignami, électricien à la retraite de 68 ans, qui habite San Carlo près de Ferrare. Selon des spécialistes, plus d’une centaine de répliques ont été recensées dont une plus forte, de magnitude 5,1, vers 13h20. Un pompier qui effectuait des contrôles sur un bâtiment ancien a été blessé dans cette secousse.

Des dégâts colossaux
Le séisme de la nuit a aussi eu ses miraculés: une fillette de cinq ans restée emprisonnée sous les ruines de sa maison à Finale Emilia. Une cinquantaine de personnes ont été blessées dans cette région prospère et très peuplée au coeur de la Plaine du Pô, où alternent exploitations agricoles, zones industrielles, villages riches de tours et clochers moyenâgeux. Selon un responsable du consortium du Grana Padano, un fromage similaire au parmesan, plus de 300.000 meules ont été détruites ainsi que des entrepôts pour un coût de 250millions d’euros.

Le gymnase sert de refuge
Au total, quelque 3.000 personnes ont dû être évacuées, a indiqué la protection civile. À Sant’Agostino, l’une des bourgades les plus touchées où la mairie éventrée menace de s’écrouler, des rescapés ont afflué hier dans un gymnase pour y trouver refuge mais rien n’était prêt: ni lits, ni cantine. Dans la zone la plus touchée se succèdent maisons à demi écroulées, amoncellements de gravats sur les routes, corniches d’églises ou de tours détachées. Le riche patrimoine culturel de la région a subi d’«importants dégâts», a indiqué le ministère de la Culture.

Six personnes ont trouvé la mort lors d’un tremblement de terre de magnitude 6 sur l’échelle de Richter, survenu hier matin, dans la région de Bologne (nord de l’Italie). Près de cinquante personnes ont été blessées et trois mille habitants ont dû être évacués.

Le séisme, de magnitude 6, a été enregistré à 4h04, hier matin. Il est survenu à 5,1km de profondeur. Son épicentre a été localisé à Finale Emilia, à 36km au nord de Bologne. Le dernier bilan dressé par les autorités fait état de six morts. Parmi les victimes du tremblement de terre figurent quatre ouvriers qui travaillaient de nuit dans des usines. L’un d’eux, un Marocain de 29 ans, a été tué par la chute d’une poutrelle lors de l’écroulement d’un hangar dans une fabrique de polystyrène expansé.

Une cinquantaine de blessés

La forte secousse a duré une vingtaine de secondes interminables. Elle a été ressentie dans tout le nord-est de la péninsule. Les rescapés racontent «le chaos»: «je suis sorti quand j’ai senti la maison bouger. Les meubles tombaient, les gens couraient dans tous les sens», a raconté Claudio Bignami, électricien à la retraite de 68 ans, qui habite San Carlo près de Ferrare. Selon des spécialistes, plus d’une centaine de répliques ont été recensées dont une plus forte, de magnitude 5,1, vers 13h20. Un pompier qui effectuait des contrôles sur un bâtiment ancien a été blessé dans cette secousse.

Le séisme de la nuit a aussi eu ses miraculés: une fillette de cinq ans restée emprisonnée sous les ruines de sa maison à Finale Emilia. Une cinquantaine de personnes ont été blessées dans cette région prospère et très peuplée au coeur de la Plaine du Pô, où alternent exploitations agricoles, zones industrielles, villages riches de tours et clochers moyenâgeux. Selon un responsable du consortium du Grana Padano, un fromage similaire au parmesan, plus de 300.000 meules ont été détruites ainsi que des entrepôts pour un coût de 250 millions d’euros.

Trois mille évacués

Au total, quelque 3.000 personnes ont dû être évacuées, a indiqué la protection civile. À Sant’Agostino, l’une des bourgades les plus touchées où la mairie éventrée menace de s’écrouler, des rescapés ont afflué hier dans un gymnase pour y trouver refuge mais rien n’était prêt: ni lits, ni cantine. Dans la zone la plus touchée se succèdent maisons à demi écroulées, amoncellements de gravats sur les routes, corniches d’églises ou de tours détachées. Le riche patrimoine culturel de la région a subi d’«importants dégâts», a indiqué le ministère de la Culture.

Le nord-est de l’Italie a été secoué mercredi 22 août par un tremblement de terre de forte magnitude. Un dernier bilan fait était de six morts et d’une cinquantaine de blessés.

Le séisme, de magnitude 6, a été enregistré à 4h04, hier matin. Il est survenu à 5,1km de profondeur. Son épicentre a été localisé à Finale Emilia, à 36km au nord de Bologne. Le dernier bilan dressé par les autorités fait état de six morts. Parmi les victimes du tremblement de terre figurent quatre ouvriers qui travaillaient de nuit dans des usines. L’un d’eux, un Marocain de 29 ans, a été tué par la chute d’une poutrelle lors de l’écroulement d’un hangar dans une fabrique de polystyrène expansé.

Une centaine de répliques

La forte secousse a duré une vingtaine de secondes interminables. Elle a été ressentie dans tout le nord-est de la péninsule. Les rescapés racontent «le chaos»: «je suis sorti quand j’ai senti la maison bouger. Les meubles tombaient, les gens couraient dans tous les sens», a raconté Claudio Bignami, électricien à la retraite de 68 ans, qui habite San Carlo près de Ferrare. Selon des spécialistes, plus d’une centaine de répliques ont été recensées dont une plus forte, de magnitude 5,1, vers 13h20. Un pompier qui effectuait des contrôles sur un bâtiment ancien a été blessé dans cette secousse.

La Plaine du Pô touchée

Le séisme de la nuit a aussi eu ses miraculés: une fillette de cinq ans restée emprisonnée sous les ruines de sa maison à Finale Emilia. Une cinquantaine de personnes ont été blessées dans cette région prospère et très peuplée au coeur de la Plaine du Pô, où alternent exploitations agricoles, zones industrielles, villages riches de tours et clochers moyenâgeux. Selon un responsable du consortium du Grana Padano, un fromage similaire au parmesan, plus de 300.000 meules ont été détruites ainsi que des entrepôts pour un coût de 250millions d’euros.

Au total, quelque 3.000 personnes ont dû être évacuées, a indiqué la protection civile. À Sant’Agostino, l’une des bourgades les plus touchées où la mairie éventrée menace de s’écrouler, des rescapés ont afflué hier dans un gymnase pour y trouver refuge mais rien n’était prêt: ni lits, ni cantine. Dans la zone la plus touchée se succèdent maisons à demi écroulées, amoncellements de gravats sur les routes, corniches d’églises ou de tours détachées. Le riche patrimoine culturel de la région a subi d’«importants dégâts», a indiqué le ministère de la Culture.

Deux personnes ont trouvé la mort et cinq personnes se trouvent dans état « d’urgence absolue » samedi après le rallye du Pays des Maures dans le Var. C’est une violente sortie de route d’un des concurrents qui est à l’origine de la tragédie.

16 h 30, seulement 4 kilomètres après le départ de la 2e spéciale. La Golf  n°63 pilotée par Yann Buron quitte la route, et fonce sur la foule. Le 14e Rallye Régional Pays des Maures – Le Plan-de-la-Tour, vire au drame. Arrivé à un carrefour où il aurait dû tourner à droite, le pilote a continué sa course, se déportant vers la gauche et percutant de plein fouet le commissaire de course et les spectateurs placés derrière les rubans de sécurité. Certains ont même été projetés à plusieurs mètres dans un champ de vignes.

Le rallye vire à la « boucherie »

Le bilan : deux morts, un spectateur de 20 ans et un commissaire de course âgé de 50 ans, et de nombreux blessés, âgés « de 9 à 65 ans », dont cinq d’entre dans un état « d’urgence absolue ». Un témoin a comparé la scène à « une boucherie ». Le pilote de la voiture, Yann Buron, est « choqué » mais indemne. Son copilote, Jean-Luc Ferrero, est blessé au thorax. Rapidement, la course a été interrompue et les sapeurs-pompiers du Var ont mobilisé d’importants moyens de secours : soixante hommes ont été dépêchés sur place, ainsi qu’une vingtaine d’ambulances et plusieurs hélicoptères. Les blessés ont été conduits vers les différents hôpitaux du Var, ainsi qu’à Marseille et à Nice. Dans la foulée, les gendarmes de la  brigade de recherche de la compagnie de gendarmerie de Gassin-Saint-Tropez ont débuté leurs investigations pour comprendre les circonstances du drame. « Aucune piste n’est écartée », ni la défailllance technique, ni l’erreur de pilotage, a insisté ce dimanche matin Danielle Drouy-Ayral, procureur de Draguignan. L’enquête sera longue a précisé le procureur. Des analyses poussées vont être effectuées par des experts, notamment sur les métaux de la voiture. Les enquêteurs doivent également visionner des photos et films amateurs recueillis auprès des spectateurs.

Deux personnes ont trouvé la mort, samedi après-midi sur le 14e Rallye Régional Pays des Maures – Le Plan-de-la-Tour. Plusieurs spectateurs ont été blessés dans cet accident d’une violence extrême.

Un spectateur de 20 ans et un commissaire de course âgé de 50 ans ont trouvé la mort. Parmi les nombreux blessés,  âgés « de 9 à 65 ans », cinq d’entre eux étaient toujours dans un état « d’urgence absolue ». Une jeune femme de 21 ans, dont le pronostic vital n’est pas engagé, est gravement touchée aux vertèbres. Le bilan du rallye Régional Pays des Maures – Le Plan-de-la-Tour est tragique.

« Certains spectateurs ont été projetés à plusieurs mètres dans un champ de vignes » explique un témoin qui assistait à la course qui n’hésite pas à comparer la scène à « une boucherie ». L’accident s’est produit à 16h30 au niveau du carrefour des Vignes, à 4 kilomètres du départ d’une 2e spéciale. La Golf orange n°63 a quitté la route, fonçant sur la foule.

Importants moyens de secours

Arrivé à un carrefour où il aurait dû tourner à droite, le pilote a continué sa course, se déportant vers la gauche et percutant de plein fouet le commissaire de course et les spectateurs placés derrière les rubans de sécurité.

Les sapeurs-pompiers du Var ont mobilisé d’importants moyens de secours : soixante hommes ont été dépêchés sur place, ainsi qu’une vingtaine d’ambulances et plusieurs hélicoptères.

Enquête en cours

Le pilote de la voiture, Yann Buron, est « choqué » mais indemne. Son copilote, Jean-Luc Ferrero, est blessé au thorax.

« Aucune piste n’est écartée », ni la défailllance technique, ni l’erreur de pilotage, a insisté ce dimanche matin Danielle Drouy-Ayral, procureur de Draguignan.

L’enquête sera longue a précisé le procureur. Elle a été confiée à la brigade de recherche de la compagnie de gendarmerie de Gassin-Saint-Tropez.

Des analyses poussées vont être effectuées par des experts, notamment sur les métaux de la voiture.

Les enquêteurs doivent également visionner des photos et films amateurs recueillis auprès des spectateurs.

Deux personnes ont perdu la vie lors d’un tragique accident survenu lors du 14e rallye du Pays des Maures.

Le 14e rallye du Pays des Maures a été endeuillé, samedi, par le décès tragique de deux personnes. Une des voitures engagées a percuté mortellement un spectateur de 20 ans et un commissaire de course de 50 ans, situés derrière le ruban de sécurité. L’accident a également fait plusieurs blessé âgés de 9 à 65 ans.

Cinq blessés dans un état critique

Cinq d’entre eux étaient toujours dans un état « d’urgence absolue ». Une jeune femme de 21 ans, dont le pronostic vital n’est pas engagé, est gravement touchée aux vertèbres. Les blessés ont été conduits vers les différents hôpitaux du Var, ainsi qu’à Marseille et à Nice. Soixante pompiers du Var ont été mobilisés ainsi qu’une vingtaine d’ambulances et plusieurs hélicoptères.  Certains ont même été projetés à plusieurs mètres dans un champ de vignes. Un témoin a comparé la scène à « une boucherie ».

La Golf n°63 responsable de l’accident a quitté la route quatre kilomètres après le départ d’une 2e spéciale. Au lieu de tourner à droite, le conducteur, Yann Buron, a continué sa course, se départant vers la gauche. Le pilote est « choqué » mais indemne. Son copilote, Jean-Luc Ferrero, est blessé au thorax.

Une longue enquête

« Aucune piste n’est écartée », ni la défailllance technique, ni l’erreur de pilotage, a insisté ce dimanche matin Danielle Drouy-Ayral, procureur de Draguignan. L’enquête sera longue a précisé le procureur. Elle a été confiée à la brigade de recherche de la compagnie de gendarmerie de Gassin-Saint-Tropez. Des analyses poussées vont être effectuées par des experts, notamment sur les métaux de la voiture. Les enquêteurs doivent également visionner des photos et films amateurs recueillis auprès des spectateurs.

Le 14e Rallye Régional Pays des Maures – Le Plan-de-la-Tour, comporte deux étapes sur 157,21 km. Il avait débuté hier matin avant d’être interrompu à la suite de l’accident et devrait se poursuivre ce dimanche.