53 000 Midi-Pyrénéen consommeraient une eau polluée

C’est ce qui ressort d’une étude publiée par l’UFC-Que Choisir, 53 000 habitants de notre région, consomment une eau du robinet non conforme à la réglementation.

La pollution est la conséquence, le plus souvent, des pratiques agricoles. C’est le cas notamment dans le Gers où on constate un excès de pesticides et de nitrates dans l’eau du robinet.

Dans ce département du Gers, pas moins de 38 communes sont ainsi pointées dans l’enquête que dévoile l’UFC-Que Choisir. L’association de consommateurs s’est appuyée sur les résultats des analyses publiées par l’Agence régionale de Santé (ARS), mais s’est attachée cette fois à la notion de « territoires », les contrôles sanitaires étant réputés moins fréquents dans les zones rurales.

http://www.quechoisir.org/environnement-energie/eau/eau-potable/etude-la-qualite-de-l-eau-du-robinet-de-votre-commune-au-regard-de-6-contaminants

 

En Midi-Pyrénées, sur 3021 communes, 224 présenteraient des niveaux de pollution supérieurs aux normes en vigueur

Des pollutions qui sont liées à la présence de pesticides, d’aluminium (les sels d’aluminium rendent l’eau plus limpide en éliminant les oxydes de fer), mais aussi de bactéries coliformes. Sans surprise, sont visées par cette dernière contamination, les collectivités du piémont pyrénéen et les zones rurales où l’assainissement collectif est inexistant. Dans les Hautes-Pyrénées, plus de 70 communes sont ainsi classées en rouge.

La France fait actuellement l’objet de poursuites par Bruxelles pour son incapacité à lutter contre la pollution aux nitrates

Pour le nitrate, le seuil de dangerosité pour la santé est de 250 milligrammes par litre, là où la norme s’établit à 50 mg. Sont concernées par ce taux excessif, les communes de Campagnac-d’Armagnac et du Houga (32). La France fait actuellement l’objet de poursuites par Bruxelles pour son incapacité à lutter contre cette pollution qui fait l’objet d’une directive. Pour les pesticides, la dose est dangereuse à 2 microgrammes par litre, la limite à ne pas dépasser étant de 0,1mcg.

Fût-elle longue, la liste des communes ne doit pas alarmer pour autant les usagers. Jean-Bernard Rinaldi de l’UFC Midi-Pyrénées, rappelle que 98,2 % des consommateurs régionaux « ont accès tout au long de l’année à une eau de bonne qualité ». En revanche, 52 674 paieraient pour une eau non conforme. Dans leur globalité, les chiffres ne sont pas formellement contestés par l’Agence de bassin Adour-Garonne qui tente de corriger au quotidien ces dysfonctionnements à travers un système d’aides à taux bonifiés.

L’UFC n’en est pas à son coup d’essai. L’association publie à un rythme annuel des enquêtes sur le prix de l’eau. « Pour nous, il y a urgence à agir car l’avenir ne peut pas être l’eau en bouteille 133 fois plus cher », répond Alain Bazot, le président national, qui réclame une protection efficace de tous les captages.

53 000 personnes consomment encore une eau polluée dans la région

Selon une enquête de l’UFC-Que Choisir sur la qualité de l’eau, en France, deux millions de personnes consomment une eau du robinet non conforme à la réglementation. Dans la région 53 000 personnes seraient concernées.

En Midi-Pyrénées, sur 3021 communes, 224 présenteraient des niveaux de pollution supérieurs aux normes en vigueur. Des pollutions qui sont liées à la présence de pesticides, d’aluminium (les sels d’aluminium rendent l’eau plus limpide en éliminant les oxydes de fer), mais aussi de bactéries coliformes. Sans surprise, sont visées par cette dernière contamination, les collectivités du piémont pyrénéen et les zones rurales où l’assainissement collectif est inexistant. Dans les Hautes-Pyrénées, plus de 70 communes sont ainsi classées en rouge.

Nitrates et pesticides, les principales sources de pollution

Ces pollutions sont très liées aux pratiques agricoles, comme c’est le cas dans le Gers où on constate un excès de pesticides et de nitrates dans l’eau du robinet. Dans ce département, pas moins de 38 communes sont ainsi pointées dans l’enquête que dévoile l’UFC-Que Choisir. L’association de consommateurs s’est appuyée sur les résultats des analyses publiées par l’Agence régionale de Santé (ARS), mais s’est attachée cette fois à la notion de « territoires », les contrôles sanitaires étant réputés moins fréquents dans les zones rurales.

Pour le nitrate, le seuil de dangerosité pour la santé est de 250 milligrammes par litre, là où la norme s’établit à 50 mg. Sont concernées par ce taux excessif, les communes de Campagnac-d’Armagnac et du Houga (32). La France fait actuellement l’objet de poursuites par Bruxelles pour son incapacité à lutter contre cette pollution qui fait l’objet d’une directive. Pour les pesticides, la dose est dangereuse à 2 microgrammes par litre, la limite à ne pas dépasser étant de 0,1mcg.

Une eau potable abordable et de qualité

Fût-elle longue, la liste des communes ne doit pas alarmer pour autant les usagers. Jean-Bernard Rinaldi de l’UFC Midi-Pyrénées, rappelle que 98,2 % des consommateurs régionaux « ont accès tout au long de l’année à une eau de bonne qualité ». En revanche, 52 674 paieraient pour une eau non conforme… Dans leur globalité, les chiffres ne sont pas formellement contestés par l’Agence de bassin Adour-Garonne qui tente de corriger au quotidien ces dysfonctionnements à travers un système d’aides à taux bonifiés. L’UFC n’en est pas à son coup d’essai. L’association publie à un rythme annuel des enquêtes sur le prix de l’eau. « Pour nous, il y a urgence à agir car l’avenir ne peut pas être l’eau en bouteille 133 fois plus cher », répond Alain Bazot, le président national, qui réclame une protection efficace de tous les captages.

Lire l’enquête de l’UFC Que choisir sur la qualité de l’eau potable en France

 

UFC que Choisir: deux millions de personnes consomment une eau du robinet non conforme

 

Selon l’UFC-Que Choisir, deux millions de personnes consomment une eau du robinet non conforme à la réglementation.

Deux millions de Français consommeraient une eau non conforme à la réglementation. Des pollutions qui sont très liées aux pratiques agricoles.

UFC-QueChoisir s’est appuyée sur les résultats des analyses publiées par l’Agence régionale de Santé (ARS),

Seuil de dangerosité

Pour le nitrate, le seuil de dangerosité pour la santé est de 250 milligrammes par litre, là où la norme s’établit à 50 mg.  La France fait actuellement l’objet de poursuites par Bruxelles pour son incapacité à lutter contre cette pollution qui fait l’objet d’une directive. Pour les pesticides, la dose est dangereuse à 2 microgrammes par litre, la limite à ne pas dépasser étant de 0,1mcg.

l’UFC  rappelle que 98,2 % des consommateurs  « ont accès tout au long de l’année à une eau de bonne qualité ».

L’UFC n’en est pas à son coup d’essai. L’association publie à un rythme annuel des enquêtes sur le prix de l’eau. « Pour nous, il y a urgence à agir car l’avenir ne peut pas être l’eau en bouteille 133 fois plus cher », répond Alain Bazot, le président national, qui réclame une protection efficace de tous les captages.

Deux millions de Français consommeraient une eau non conforme

Selon l’UFC-Que Choisir, deux millions de personnes consomment une eau du robinet non conforme à la réglementation. Des pollutions qui sont très liées aux pratiques agricoles.

Des conclusions dont voici le détail. Les pesticides sont responsables de l’essentiel des pollutions d’origine agricole (60%) et leur utilisation dans l’agriculture « n’a pas diminué en 10 ans », dénonce l’association. Elle rappelle que si aucun des risques suspectés n’a pu être démontré, une exposition sur le long terme et les interactions entre les différents pesticides pourraient causer cancers et troubles de la reproduction. Les zones les plus touchées sont le Bassin parisien, le Nord, la Vallée du Rhône et le Sud-Ouest, et les communes les plus peuplées recevant de l’eau polluée sont Sens (Yonne) et Lisieux (Calvados).

Seuil de dangerosité

Pour le nitrate, le seuil de dangerosité pour la santé est de 250 milligrammes par litre, là où la norme s’établit à 50 mg. La France fait actuellement l’objet de poursuites par Bruxelles pour son incapacité à lutter contre cette pollution qui fait l’objet d’une directive. Pour les pesticides, la dose est dangereuse à 2 microgrammes par litre, la limite à ne pas dépasser étant de 0,1mcg.

En dehors de l’agriculture, les autres sources de contamination de l’eau sont liées « au défaut de traitement (qualité bactériologique, aluminium) et aux contaminations naturelles (radioactivité) » et touchent « 1.500 communes et 500.000 consommateurs ».

Fût-elle longue, la liste des communes ne doit pas alarmer pour autant les usagers.

L’UFC n’en est pas à son coup d’essai. L’association publie à un rythme annuel des enquêtes sur le prix de l’eau. « Pour nous, il y a urgence à agir car l’avenir ne peut pas être l’eau en bouteille 133 fois plus cher », répond Alain Bazot, le président national, qui réclame une protection efficace de tous les captages.

 

Deux millions de Français consommeraient une eau non conforme à la réglementation

Une étude de l‘UFC-QUE Choisir démontre que prés de deux millions de personnes en France consomment une eau non conforme.

Des pollutions liées aux pratiques agricoles

Les pollutions principales sont liées aux pollutions agricoles. En midi-Pyrénées, on constate ainsi un excés de pestcide et de nitrate dans l’eau du robinet.

En Midi-Pyrénées, sur 3021 communes, 224 présenteraient des niveaux de pollution supérieurs aux normes en vigueur. Des pollutions qui sont liées à la présence de pesticides, d’aluminium (les sels d’aluminium rendent l’eau plus limpide en éliminant les oxydes de fer), mais aussi de bactéries coliformes. Sans surprise, sont visées par cette dernière contamination, les collectivités du piémont pyrénéen et les zones rurales où l’assainissement collectif est inexistant. Dans les Hautes-Pyrénées, plus de 70 communes sont ainsi classées en rouge.

Seuil de dangerosité

Pour le nitrate, le seuil de dangerosité pour la santé est de 250 milligrammes par litre, là où la norme s’établit à 50 mg.  La France fait actuellement l’objet de poursuites par Bruxelles pour son incapacité à lutter contre cette pollution qui fait l’objet d’une directive. Pour les pesticides, la dose est dangereuse à 2 microgrammes par litre, la limite à ne pas dépasser étant de 0,1mcg.

 

 

 

 

 

 

 

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de Cookies pour réaliser des statistiques de visites. Plus d'informations

Nous utilisons des cookies sur le site pour suivre la fréquentation de nos contenus. Si vous poursuivez votre navigation sur le site ou si vous cliquez sur le bouton "Accepter", alors vous acceptez que nous collections des données anonymes à des fins de statistiques de fréquentation.

Fermer