L’équipe resserrée de Jean-Marc Ayrault

L’équipe qui entourera Jean-Marc Ayrault à Matignon se dessine.

Un directeur de cabinet expérimenté et germanophile

Christophe Chantepy, ce conseiller d’Etat, âgé de 52 ans, d’abord pressenti pour rejoindre l’Élysée, ira finalement à Matignon.M. Chantepy est un habitué des cabinets ministériels.

Fils de marionnettiste, ce pur produit de la méritocratie républicaine, passé par Centrale, Sciences Po et l’ENA (et aussi par le service société du Monde), fut, sous la présidence de François Mitterrand, conseiller technique de Michel Charasse, ministre délégué au budget, puis conseiller à Matignon auprès d’Edith Cresson puis de Pierre Bérégovoy.

De 1997 à 2000, il dirigea le cabinet de Ségolène Royal, alors ministre déléguée à l’enseignement scolaire, puis, quand celle-ci changea de maroquin en 2000 pour s’occuper de la famille, rejoignit Michel Sapin, qui en fit son directeur de cabinet au ministère de la fonction publique. Ancien président de l’association Désirs d’avenir, il dirigea, en 2007, la campagne présidentielle de Ségolène Royal en 2007.

Propriétaire d’un appartement à Berlin, il partage avec Jean-Marc Ayrault, ancien professeur d’allemand, la germanophilie.

Un chef de cabinet, élu local

Jean-Pierre Guérin est âgé de 47 ans.  Il était jusqu’à présent premier conseiller du tribunal administratif de Montreuil (Seine-Saint-Denis).

Ancien directeur de cabinet de Vincent Eblé à la présidence du conseil général de Seine-et-Marne, M. Guérin est également conseiller général (PS) du canton du Mée-sur-Seine. Ce canton est situé sur la circonscription dont le candidat aux prochaines législatives est Olivier Faure, un proche de Jean-Marc Ayrault.

Chef du service de presse, une fidèle de François Hollande

Dominique Bouissou va diriger le service de presse de Matignon. Chargée de la presse pendant la campagne de François Hollande, comme elle l’avait été dans les derniers mois de celle de Ségolène Royal en 2007, cette ancienne collaboratrice de Julien Dray retrouve la rue de Varenne qu’elle connaît bien : c’est à quelques mètres de Matignon, en 1983, qu’elle a commencé sa carrière d’attachée de presse. C’était à l’époque au cabinet de Max Gallo, alors porte-parole du gouvernement de Pierre Mauroy. Et le directeur de cabinet s’appelait François Hollande.

La composition du gouvernement devrait être connue demain après-midi. « Les coups de fil seront passés demain. Pour l’heure, Jean-Marc Ayrault est allé dîner tranquillement avec sa femme et sa fille », expliquait au Monde, un collaborateur du nouveau premier ministre.

Mer : les chercheurs alertent sur la pollution plastique en corse.

Ils avaient trois jours pour réfléchir, comprendre et proposer. En séminaire en corse, quatre vingt scientifiques et professionnels de la mer ont dénoncé l’invasion des déchets plastiques.

Organisé par la Dreal (direction régionale de l’environnement), en début de semaine, ce rendez vous bi-annuel avait pour objectif de réfléchir ensemble sur les nouvelles problématiques du milieu marin comme celle de la pollution des eaux par les déchets plastiques.

90% des déchets sont en plastique

Si « les détritus ne présentent pas de risque significatif pour la vie marine et pour la santé humaine »,comme l’a souligné Marc Bouchoucha, chercheur à l’Ifremer (institut français de recherche pour l’exploitation de la mer), 90 % des déchets sont en plastique. Et pourraient contaminer directement les chaînes alimentaires.

Les Grenelles de l’environnement et de la mer ont imposé des mesures nouvelles de protection du milieu marin. Et l’objectif est maintenant de réfléchir sur les projets en amont et de coordonner les actions.

Cette pollution plastique est donc étudiée de très près par les scientifiques a Staréso (près de calvi) dans la station de recherches sous-marines et océanographiques . « L’est du Cap Corse est le plus touché par ce type de contamination, a affirmé Marc Bouchoucha. Car il correspond à un trafic de ferry très important. » Pour autant, ces déchets ne sont pas forcément produits sur place. Certains viennent de pays voisins. Et plus particulièrement d’Italie.

un plancton plastique

En collaboration avec l’ONG « Planète Urgence », plusieurs équipes dont l’Ifremer mènent une étude sur ces microplastiques très présents en Méditerranée occidentale.

Des premiers prélèvements ont été réalisés l’année dernière entre Toulon et la Balagne. Et ont permis de constater une présence très forte de ce « plancton plastique ». D’autres prélèvements vont être réalisés. Le projet établi sur cinq ans permettra de mieux comprendre ce type de phénomène.

 

 

Les eaux Corses menacées par l’Italie

Les fonds marins de l’Est du Cap Corse sont attaqués par une invasion de déchets plastiques venus principalement d’Italie. C’est le premier constat du séminaire scientifique organisé en ce moment  au Stareso de Calvi.

Chercheurs, scientifiques, professionnels de la mer, administrations  et ONG sont unanimes : la pollution a atteint notre littoral de manière sournoise sous la forme d’un « plancton plastique« . Venue du continent cette nappe de particules  concentre les hydrocarbures et les pesticides.

Quel avenir pour la mer ?
Les chaînes alimentaires marines peuvent être contaminées et l’Ifremer a publié un rapport qui  démontre que le phénomène s’accentue.  Il est donc temps de réagir et de juguler cette menace en laissant poursuivre les travaux de l’ONG « Planète Urgence », et des équipes de l’Ifremer qui  mènent une étude sur ces microplastiques très présents en Méditerranée occidentale.  Notre économie et notre patrimoine ne doivent pas être menacés par l’impact écologique de cette pollution.

 

Selon l’IFREMER, le plastique menace mers et océans

Les déchets marins sont constitués à 90% de matières plastiques.  Un sujet présenté au séminaire sur le milieu marin à Calvi.

 

Un risque de contamination de la chaine alimentaire

Sous l’action des rayons UV du soleil et de la température, la matière plastique en mer « se morcelle en particules de plus en plus fines, pour constituer ce qu’on a pu appeler un plancton plastique », démontre le rapport de l’Ifremer.

Les particules de plastique flottant généralement en surface attirent comme un aimant, une concentration de déchets polluant comme les hydrocarbures ou encore des pesticides, nuisibles aux espèces marines.

Marc Bouchoucha, chercheur à l’Ifremer  précise que « les détritus ne présentent pas de risque significatif pour la vie marine et pour la santé humaine ».

La Corse particulèrement concernée par la pollution plastique

« L’est du Cap Corse est le plus touché par ce type de contamination, a affirmé Marc Bouchoucha. Car il correspond à un trafic de ferry très important. » Pour autant, ces déchets ne sont pas forcément produits sur place. Certains viennent de pays voisins. Et plus particulièrement d’Italie.

En collaboration avec l’ONG « Planète Urgence », plusieurs équipes dont l’Ifremer mènent une étude sur ces microplastiques très présents en Méditerranée occidentale. Des premiers prélèvements ont été réalisés l’année dernière entre Toulon et la Balagne. Ils ont permis de constater une présence très forte de ce « plancton plastique ».

D’autres prélèvements vont être réalisés. Le projet établi sur cinq ans permettra de mieux comprendre ce type de phénomène.

 

A Stareso, les scientifiques se penchent sur les déchets marins

Quel impact écologique représentent ces déchets échoués en pleine mer ? C’est l’un des axes de réflexion du séminaire sur le milieu marin réuni lundi, mardi et mercredi à la station de recherches sous-marines et océanographiques de Stareso à l’initiative de la Dreal (direction régionale de l’environnement).

Il faut savoir que 90 % des déchets marisn sont en plastique.  Si « les détritus ne présentent pas de risque significatif pour la vie marine et pour la santé humaine », selon Marc Bouchoucha, chercheur à l’Ifremer (institut français de recherche pour l’exploitation de la mer), ils pourraient tout de même contaminer directement les chaînes alimentaires.

Sous l’action des rayons UV du soleil et de la température, la matière plastique en mer « se morcelle en particules de plus en plus fines, pour constituer ce qu’on a pu appeler un planctonplastique », démontre le rapport de l’Ifremer. Ces constituants toxiques sont alors libérés en mer

L’est du cap Corse touché par les contaminations

Par ailleurs,  ces particules de plastique, qui flottent en surface, attirent comme un aimant, une concentration de déchets polluant comme les hydrocarbures ou encore des pesticides, nuisibles aux espèces marines.

« L’est du Cap Corse est le plus touché par ce type de contamination, a affirmé Marc Bouchoucha. Car il correspond à un trafic de ferry très important. » Pour autant, ces déchets ne sont pas forcément produits sur place. Certains viennent de pays voisins. Et plus particulièrement d’Italie.

En collaboration avec l’ONG « Planète Urgence », plusieurs équipes dont l’Ifremer mènent une étude sur ces microplastiques très présents en Méditerranée occidentale.

Des premiers prélèvements ont été réalisés l’année dernière entre Toulon et la Balagne.  D’autres prélèvements vont être réalisés. Le projet est  établi sur cinq ans.

 

Calvi : des scientifiques analysent les déchets marins à Stareso

Plus de 80 scientifiques, chercheurs et professionnels de la mer se sont réunis de lundi à mercredi à la station de recherches sous-marines et océanographiques (Stareso), près de Calvi. Trois jours pour réfléchir et discuter sur les nouvelles problématiques du milieu marin.

Parmi elles, l’étude des déchets marins. Et leur impact écologique. 90 % des déchets sont en plastique. Et pourraient contaminer directement les chaînes alimentaires. « L’est du Cap Corse est le plus touché par ce type de contamination, selon Marc Bouchoucha, chercheur à l’Ifremer. Car il correspond à un trafic de ferry très important. » Pour autant, ces déchets ne sont pas forcément produits sur place. Certains viennent de pays voisins. Et plus particulièrement d’Italie.

En collaboration avec l’ONG « Planète Urgence », plusieurs équipes dont l’Ifremer mènent une étude sur ces microplastiques très présents en Méditerranée occidentale. Des premiers prélèvements ont été réalisés l’année dernière entre Toulon et la Balagne. Et ont permis de constater une présence très forte de « plancton plastique ».

Sous l’action des rayons UV du soleil et de la température, la matière plastique en mer « se morcelle en particules de plus en plus fines, pour constituer ce qu’on a pu appeler un plancton plastique », démontre le rapport de l’Ifremer. Ainsi des constituants toxiques sont libérés en mer.

Le projet établi sur cinq ans permettra de mieux comprendre ce type de phénomène.

Méditerranée : les déchets plastiques en mer menacent les chaines alimentaires

Les micro-déchets de plastiques et leur impact sur l’environnement marin étaient au coeur d’un séminaire organisé du 21 au 23 mai 2012, à Strareso, près de Calvi (Haute-Corse).

« les détritus ne présentent pas de risque significatif pour la vie marine et pour la santé humaine », souligne Marc Bouchoucha, chercheur à l’Ifremer (institut français de recherche pour l’exploitation de la mer). Mais ils pourraient contaminer directement les chaînes alimentaires

Une pollution invisible

90 % des déchets sont en plastique.  Sous l’action des rayons UV du soleil et de la température, la matière plastique en mer « se morcelle en particules de plus en plus fines, pour constituer ce qu’on a pu appeler un plancton plastique », démontre le rapport de l’Ifremer.

De plus,  ces particules de plastique, qui flottent généralement en surface attirent comme un aimant, une concentration de déchets polluant comme les hydrocarbures ou encore des pesticides, nuisibles aux espèces marines.

Des micro-plastiques étudiés de près en Corse

« L’est du Cap Corse est le plus touché par ce type de contamination, a affirmé Marc Bouchoucha. Car il correspond à un trafic de ferry très important. »Pour autant, ces déchets ne sont pas forcément produits sur place. Certains viennent de pays voisins. Et plus particulièrement d’Italie.

En collaboration avec l’ONG « Planète Urgence », plusieurs équipes mènent une étude sur ces microplastiques très présents en Méditerranée occidentale. Des premiers prélèvements ont été réalisés l’année dernière entre Toulon (Var) et la Balagne (Corse). Ils ont permis de constater une présence très forte de ce « plancton plastique ». D’autres prélèvements vont être réalisés. Le projet établi sur cinq ans permettra de mieux comprendre ce type de phénomène.

 

Stareso en Corse: milieux marins en danger!

3 jours de séminaire pour la mer

La station de recherches sous-marines et océanographiques , près de Calvi était donc en ce début de semaine très animée.
Organisé par la Dreal (direction régionale de l’environnement), ce séminaire sur le milieu marin a réuni , plus de 80 participants, scientifiques, chercheurs, professionnels de la mer.

ensemble: réfléchir, comprendre et proposer .

Tous ont répondu présent pour venir discuter et réfléchir ensemble sur les nouvelles problématiques du milieu marin.

Ce séminaire a lieu tous les deux ans, a souligné Isabelle Clemenceau, adjointe au chef de service de la diversité, coordination de la mission mer à la Dreal.
L’objectif est de coordonner les actions. Et réfléchir sur les projets en amont. »

les détritus en mer

Si « les détritus ne présentent pas de risque significatif pour la vie marine et pour la santé humaine »,comme l’a souligné Marc Bouchoucha, chercheur à l’Ifremer (institut français de recherche pour l’exploitation de la mer), 90 % des déchets sont en plastique. Et pourraient contaminer directement les chaînes alimentaires. Sous l’action des rayons UV du soleil et de la température, la matière plastique en mer « se morcelle en particules de plus en plus fines, pour constituer ce qu’on a pu appeler un plancton plastique », démontre le rapport de l’Ifremer. Ainsi des constituants toxiques sont libérés en mer.

Cette pollution plastique est donc étudiée de très près par les scientifiques. « L’est du Cap Corse est le plus touché par ce type de contamination, a affirmé Marc Bouchoucha. Car il correspond à un trafic de ferry très important. »
Pour autant, ces déchets ne sont pas forcément produits sur place.
Certains viennent de pays voisins. Et plus particulièrement d’Italie.

En collaboration avec l’ONG « Planète Urgence », plusieurs équipes dont l’Ifremer mènent une étude sur ces microplastiques très présents en Méditerranée occidentale. Des premiers prélèvements ont été réalisés l’année dernière entre Toulon et la Balagne. Et ont permis de constater une présence très forte de ce « plancton plastique ». D’autres prélèvements vont être réalisés. Le projet établi sur cinq ans permettra de mieux comprendre ce type de phénomène.

 

 

 

 

Rallye des Maures : 2 morts et 19 blessés.

Un tragique accident endeuille le rallye du Var

L’accident s’est produit au cours du 14e Rallye Régional Pays des Maures à 16h30, au niveau du carrefour des Vignes. La Golf orange n°63 a quitté la route, fonçant sur la foule. Un premier bilan fait état de deux morts et dix-neuf blessés.

Arrivé à un croisement où il aurait dû tourner à droite, le pilote a continué sa course, se déportant vers la gauche et percutant de plein fouet le commissaire de course et les spectateurs placés derrière les rubans de sécurité.

Un spectateur de 20 ans et un commissaire de course âgé de 50 ans ont trouvé la mort.

60 pompiers, 20 ambulances et plusieurs hélicoptères 

Les sapeurs-pompiers du Var ont mobilisé d’importants moyens de secours : soixante hommes ont été dépêchés sur place, ainsi qu’une vingtaine d’ambulances et plusieurs hélicoptères.

Les blessés, âgés « de 9 à 65 ans », ont été conduits vers les différents hôpitaux du Var, ainsi qu’à Marseille et à Nice. Cinq d’entre eux étaient toujours dans un état « d’urgence absolue ».

Le pilote de la voiture, Yann Buron, est « choqué » mais indemne. Son copilote, Jean-Luc Ferrero, est blessé au thorax

Le 14e Rallye Régional Pays des Maures – Le Plan-de-la-Tour, comporte deux étapes sur 157,21km. Il avait débuté ce matin et devait se poursuivre ce dimanche, mais la course a du coup été interrompue.

Aucune piste n’est écartée.

L’enquête sera longue a précisé le procureur. Elle a été confiée à la brigade de recherche de la compagnie de gendarmerie de Gassin-Saint-Tropez.  « Aucune piste n’est écartée , ni la défaillance technique, ni l’erreur de pilotage, a insisté ce dimanche matin Danielle Drouy-Ayral, procureur de Draguignan.

Les enquêteurs doivent également visionner des photos et films amateurs recueillis auprès des spectateurs qui décrivent des scènes d’horreur.

Certaines victimes ont même été projetés à plusieurs mètres dans un champ de vignes. Un témoin a ainsi comparé la scène à « une boucherie ».

Rallye des Maures (Var) : une voiture tue deux personnes

Un commissaire de course de cinquante ans et un  spectateur de vingt ans sont morts fauchés par une voiture  samedi après-midi à Plan de la Tour dans le Var.  La sortie de route a également fait dix-huit blessés sont cinq gravement touchés.  Le pilote et le co-pilote ont été placés en garde à vue.

 

L’accident s’est produit à 16 heures à 4 kilomètres du départ du rallye régional des Maures. La Golf a quitté sa trajectoire à un carrefour, fonçant sur la foule.

Certains spectateurs ont  été projetés à plusieurs mètres dans un champ de vignes. Un témoin a comparé la scène à « une boucherie ».

Les sapeurs-pompiers du Var ont mobilisé d’importants moyens de secours : soixante hommes, ainsi qu’une vingtaine d’ambulances et plusieurs hélicoptères.

La course qui devait se poursuivre dimanche a été arrêtée.

Le pilote et le copilote de l’équipage Buron-Ferrero sont chevronnés.

L’enquête a été confiée à la brigade de recherche de gendarmerie de Saint-Tropez.

« Aucune piste n’est écartée », ni la défailllance technique, ni l’erreur de pilotage, a insisté ce dimanche matin Danielle Drouy-Ayral, procureur de Draguignan.

Les enquêteurs vont visionner des photos et films amateurs recueillis auprès des spectateurs.

 

 

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