DIRECT : un couple de forcenés retranché au Pôle Emploi de Cenon

Fin de matinée mouvementée au pôle emploi de Cenon. Vers 11h15, un couple d’usagers muni d’un produit inflammable est entré dans bâtiment.

Le GIPN appelé en renfort a évacué les lieux et installé un périmétre de sécurité. Des négociations sont en cours pour déloger les 2 personnes retranchées dans les locaux de Pôle Emploi.

#Coupleretranché #PôleEmploi #Cenon Le dispositif de sécurité est levé. #FinduLive

 

 

Deux forcenés retranchés au pôle emploi de Cenon (33)- Le direct

Depuis la fin de matinée, un couple s’est retranché à l’agence Pôle Emploi de Cenon. Les locaux sont évacués, usagers et personnel ont été mis en sécurité à l’extérieur.

 

Suivez l’évolution de la situation en direct :

  

Le couple a pénétré en fin de matinée dans l’agence Pôle Emploi de Cenon, une commune limitrophe de Bordeaux, sur la rive droite de la Garonne. Il a menacé les salariés, en menaçant d’utiliser un produit inflammable. Le GIPN est sur place. Le couple aurait quitté les lieux.

 

 

 

 





Cenon : prise d’otages au pôle emploi

Deux forcenés sont retranchés au pôle emploi de Cenon depuis le milieu de journée. Le couple serait actuellement en pourparlers avec la police.

Ils ne pouvaient plus regarder la coupe du monde, les huissiers leur avaient saisi l’écran plat…

L’évacuation des locaux a été rapidement effectuée. Les forces de l’ordre sont intervenues. Mais le Gipn n’est pas parvenu à arrêter les forcenés. Ils seraient introuvables.


Ondes magnétiques : un rapport du CHSCT qui inquiète les salariés de la RATP

Une étude remise à la RATP fait état de niveaux d’ondes électromagnétiques parfois plus élevés dans le métro parisien qu’en surface. Les résultats inquiètent les salariés, au moment où les députés planchent sur une proposition de loi visant à encadrer le déploiement de la 4G. Pour la RATP, le niveau constaté reste très inférieur aux seuils en vigueur.

Le métro parisien : high tech et santé, ne font pas bon ménage

Alors que la RATP s’apprête à déployer, d’ici trois ans, un vaste réseau 3G et 4G, une étude rendue ces derniers jours pourrait refroidir certains partisans de la connectivité à tout prix.

Le rapport, réclamé il y a un an par le syndicat Sud-RATP, a été transmis au Comité d’hygiène et de sécurité (CHSCT) de la régie.

Les mesures, effectuées depuis une cabine de conduite en mouvement de la ligne 3, font état de niveaux de champs électromagnétiques pouvant aller de 1 à 8V/mètre, au-delà du seuil fixé, quelques mètres plus haut, pour les rues de Paris, par la Charte de la téléphonie mobile.

Or, ces mesures ne concernent que le vieux réseau 2G. Il n’en fallait pas tant pour alerter le syndicat Sud-RATP. « L’arrivée de la 4G dans le métro va entraîner un doublement des valeurs actuelles, assure le délégué syndical François-Xavier Arouls. Nous demandons une étude d’impact sanitaire avant son déploiement, dans l’intérêt des salariés mais aussi des voyageurs. »

Des ondes classées possiblement cancérigènes par l’OMS

L’association Robin des toits réclame de son côté la suspension provisoire de la 4G, rappelant les effets « possiblement cancérigènes » de ces ondes.

« La norme préconisée par le Conseil de l’Europe est de 0,6 V/m », rappelle à metronews Etienne Cendrier, son porte-parole.

De son côté, la RATP se veut rassurante.

« 8V/m, c’est la valeur maximale qui a été constatée lors de ces mesures, insiste Olivier Salson, référent sur le sujet à la régie. Les valeurs sont largement inférieures aux normes nationales. »

 Dans le cadre du déploiement de la 4G, la RATP se veut transparente et s’engage au strict respect des seuils actuels.

« Nous réalisons de façon continue une surveillance des niveaux de champs », assure l’intéressé. A Châtelet et à la Gare de Lyon, où la 4G est déployée, les niveaux d’ondes resteraient « nettement inférieurs » aux normes.

Limiter l’exposition aux champs électromagnétiques : une proposition de loi ?

Ces résultats tombent alors que les députés s’apprêtent à plancher sur une proposition de loi écologiste, amendée par la PS, visant à instaurer un principe de précaution en matière d’ondes électromagnétiques.

« Ce texte pose le principe de la modération en matière d’exposition aux ondes, indique le député EELV Denis Baupin. Les niveaux constatés dans le métro sont inquiétants, d’autant plus qu’il s’agit d’un espace clos. Cela mérite une réflexion et une concertation avec les salariés et les usagers. »

Pour l’association Robin des toits, le seul respect des normes actuelles est insuffisant. « Les seuils réglementaires actuels en France sont si élevés qu’ils sont inatteignables, juge Etienne Cendrier. C’est comme si on recommandait aux automobilistes de ne pas dépasser les 800 km/h. »

«Une réglementation nationale plus stricte »

Mao Péninou, adjoint PS au maire et artisan de la Charte parisienne de la téléphonie mobile, précise « A Paris, nous avons négocié les seuils avec les opérateurs. Dans le métro, de l’autre côté du périph’ ou ailleurs, c’est autre chose.» Pour l’adjoint, la « modération » consisterait également à mutualiser les antennes entre opérateurs pour réguler leur déploiement et garder le contrôle sur les niveaux d’émission. Il cite en exemple Aéroports de Paris, propriétaire de ses antennes-relais, qui loue les infrastructures aux opérateurs de téléphonie mobile.

Le réseau du métro parisien compte actuellement 2.500 antennes-relais, soit autant que dans les rues de Paris. Leur nombre devrait doubler d’ici trois ans avec l’arrivée de la 4G, réparties pour moitié en antennes émettrices et en antennes réceptrices. D’ici là, la réglementation nationale pourrait être amenée à bouger.

titre FB : inquiétude dans le métro : et si on débranchait les mobiles pour se préserver ?

Métro : mauvaises ondes pour les accros aux téléphones mobiles

Facebook :

Téléphoner dans le métro est ce bien raisonnable ? Les niveaux d’ondes électromagnétiques y sont plus élevés qu’en surface. Et l’arrivée de la 4G pourrait doubler les valeurs actuelles.

Twitter :

#Métro #Téléphonemobile Des niveaux d’ondes plus élévés qu’en surface. Enfin un #Principedeprécaution avant l’arrivée de la #4G ?

Vous ne pouvez pas vous passer du téléphone dans le métro? Ce pourrait être une bonne nouvelle pour vous : la RATP s’apprête à déployer, d’ici trois ans, un vaste réseau 3G et 4G. Mais une étude récente pourrait refroidir vos envies de connexion à tout prix.

Une étude remise à la RATP fait état de niveaux d’ondes électromagnétiques parfois plus élevés dans le métro parisien qu’en surface. Les résultats inquiètent les salariés, au moment où les députés planchent sur une proposition de loi visant à encadrer le déploiement de la 4G. Pour la RATP, le niveau constaté reste très inférieur aux seuils en vigueur.

Des niveaux au delà des seuils fixés

Le rapport, réclamé il y a un an par le syndicat Sud-RATP, a été transmis au Comité d’hygiène et de sécurité (CHSCT) de la régie. Les mesures, effectuées depuis une cabine de conduite en mouvement de la ligne 3, font état de niveaux de champs électromagnétiques pouvant aller de 1 à 8V/mètre, au-delà du seuil fixé, quelques mètres plus haut, pour les rues de Paris, par la Charte de la téléphonie mobile.

La 4G nouvelle donne

Or, ces mesures ne concernent que le vieux réseau 2G. Il n’en fallait pas tant pour alerter le syndicat Sud-RATP.

« L’arrivée de la 4G dans le métro va entraîner un doublement des valeurs actuelles, assure le délégué syndical François-Xavier Arouls. Nous demandons une étude d’impact sanitaire avant son déploiement, dans l’intérêt des salariés mais aussi des voyageurs. »

Robin des toits alerte

L’association Robin des toits réclame de son côté la suspension provisoire de la 4G, rappelant les effets « possiblement cancérigènes » de ces ondes. « La norme préconisée par le Conseil de l’Europe est de 0,6 V/m », rappelle à metronews Etienne Cendrier, son porte-parole.

La RATP temporise

De son côté, la RATP se veut rassurante. « 8V/m, c’est la valeur maximale qui a été constatée lors de ces mesures, insiste Olivier Salson, référent sur le sujet à la régie. Les valeurs sont largement inférieures aux normes nationales. » Dans le cadre du déploiement de la 4G, la RATP se veut transparente et s’engage au strict respect des seuils actuels.

« Nous réalisons de façon continue une surveillance des niveaux de champs », assure l’intéressé.

A Châtelet et à la Gare de Lyon, où la 4G est déployée, les niveaux d’ondes resteraient « nettement inférieurs » aux normes.

Les écolos proposent

Ces résultats tombent alors que les députés s’apprêtent à plancher sur une proposition de loi écologiste, amendée par la PS, visant à instaurer un principe de précaution en matière d’ondes électromagnétiques.

« Ce texte pose le principe de la modération en matière d’exposition aux ondes, indique le député EELV Denis Baupin. Les niveaux constatés dans le métro sont inquiétants, d’autant plus qu’il s’agit d’un espace clos. Cela mérite une réflexion et une concertation avec les salariés et les usagers. »

Faut il des normes plus strictes ?

Pour l’association Robin des toits, le seul respect des normes actuelles est insuffisant.

« Les seuils réglementaires actuels en France sont si élevés qu’ils sont inatteignables, juge Etienne Cendrier. C’est comme si on recommandait aux automobilistes de ne pas dépasser les 800 km/h. »

Mao Péninou, adjoint PS au maire et artisan de la Charte parisienne de la téléphonie mobile, réclame lui aussi « une réglementation nationale plus stricte ».

« A Paris, précise-t-il, nous avons négocié les seuils avec les opérateurs. Dans le métro, de l’autre côté du périph’ ou ailleurs, c’est autre chose. »

Pour l’adjoint, la « modération » consisterait également à mutualiser les antennes entre opérateurs pour réguler leur déploiement et garder le contrôle sur les niveaux d’émission. Il cite en exemple Aéroports de Paris, propriétaire de ses antennes-relais, qui loue les infrastructures aux opérateurs de téléphonie mobile.

Le nombre d’antennes va augmenter

Le réseau du métro parisien compte actuellement 2.500 antennes-relais, soit autant que dans les rues de Paris. Leur nombre devrait doubler d’ici trois ans avec l’arrivée de la 4G, réparties pour moitié en antennes émettrices et en antennes réceptrices. D’ici là, la réglementation nationale pourrait être amenée à bouger.

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de Cookies pour réaliser des statistiques de visites. Plus d'informations

Nous utilisons des cookies sur le site pour suivre la fréquentation de nos contenus. Si vous poursuivez votre navigation sur le site ou si vous cliquez sur le bouton "Accepter", alors vous acceptez que nous collections des données anonymes à des fins de statistiques de fréquentation.

Fermer